Espace-temps

envoyés dans le camp de Drancy, près de Paris. La vie au camp est dure et inhumaine et les enfants souffrent de malnutrition. Ils en sont miraculeusement sortis un beau jour et pris en charge par des membres de leur famille habitant Paris. Peu de temps après, ils retrouvent leur mère qui s’était échappée lors de l’arrestation. Mais la guerre n’est pas finie et ils doivent rester cachés et vivre clandestinement. A la libération, il retournent dans leur maison, et bien qu’ils retrouvent un de leurs

l’absurdité de son dénouement. I. Une scène dramatique 1) Le drame en marche Le meurtre représente un drame Révolver = meurtre « j’ai été un peu surpris »= effet de surprise = drame 2) Le rôle du hasard Rencontre de l’arabe. . . . 3) Le temps suspendu « C’était le même soleil […] Maman » II. Fatalité 1) Omniprésence des éléments : Un monde hostile « Mais toute une plage brulante se pressait derrière moi » -> La chaleur « l’empêche » de faire demi-tour (pression de la plage)

sens). Tous ces procédés soulignent la variété du phénomène. Le premier paragraphe est subjectif, l'observation est personnelle. Puis les trois derniers paragraphes sont plus explicatifs, le discours est presque scientifique : -dans un premier temps le poète dit « je » ; il utilise le présent d'énonciation auquel s'ajoute des connecteurs spatio-temporel qui se rapportent à la situation d'énonciation (ls. 5,7 et 8). -Puis peu à peu le regard se fait de plus en plus impersonnel. Le poète disparaît

scène (récit en temps réel avec du dialogue qui ressemble au théâtre) : une partie de pêche en famille au Havre. I UNE SCENE REALISTE 1. Le cadre spatio-temporel a) Le cadre spatial de la mer Il s’agit d’une partie de pêche en mer. Le lieu est très confiné : la barque contenant cinq personnes. Le récit est réaliste grâce à l’utilisation du vocabulaire technique : « bâbord », « tribord », « tolet », « aviron »… b) Le traitement du temps C’est une scène en temps réel avec un déroulement

version écrite a vraisemblablement lu les pages de couverture à la recherche d'un résumé ou d'une présentation, ou est-il resté tout simplement en attente devant l'illustration comme devant une affiche de cinéma. Dans tous les cas donc, un préalable temps de prospection est toujours entrepris et, assister ou lire une pièce de théâtre, témoigne de l'intérêt initial du spectateur-lecteur. Il est alors légitime de se demander quelle est la fonction spécifique de la première scène d'une pièce, appelée

ce qui représentait encore deux collations au pain et au saucisson, plus deux bocks sur le boulevard. C'était là sa grande dépense et son grand plaisir des nuits; et il se mit à descendre la rue Notre-Dame-de-Lorette. Il marchait ainsi qu'au temps où il portait l'uniforme des hussards, la poitrine bombée, les jambes un peu entrouvertes comme s'il venait de descendre de cheval; et il avançait brutalement dans la rue pleine de monde, heurtant les épaules, poussant les gens pour ne point se

elle peut êtres libérée et il doit s'occuper d'elle. La veille de sa libération, elle met fin à ses jours en se pendant sans explication laissant seulement un testament où elle lègue toutes ses économies à la rescapée de l'incendie. Après un certain temps, il se rend chez cette femme assez âgée, qui semble totalement refuser ce que Hanna voulait lui offrir ; toutefois, on remarque qu'elle reprend la boîte enfer qui contenait l'argent, invoquant le fait qu'elle lui rappelait une autre boîte mais qui

cadre spatio-temporel? (ou et quand) -combien de temps dure l'histoire? -qui est le narrateur? ( que est le type de narrateur?) -résumez l'histoire en une quinzaine de lignes, du début à la fin. -vous utiliserez le présent de l'indicatif - ne faites pas de phrases trop longues - ajoutez des indicateurs de temps -

6 octobre 2015 Mme Veillet Introduction : Emile Zola, grand écrivain naturaliste de la deuxième moitié du XIXème siècle, cherche à travers sa grande série des Rougon-Macquart (une vingtaine de romans) à décrire la société de son temps, comme son illustre prédécesseur, Balzac. L’Assommoir est le septième roman de la fresque. Il paraît tout d’abord en feuilleton dans le journal le bien public en 1876, puis en livre en 1877. Il est le premier des écrits de Zola qui se concentre entièrement

soit écrit au présent de l’indicatif, ce qui peut plonger d’avantage le lecteur dans son histoire. Ces héros vivent, ont une discussion (« Ils parlent, […] ») et prévoient un voyage. Les descriptions spatiaux-temporelles et les précisions sur les temps de leur voyages mettent le lecteur au plus près de ce récit (« […], dans le courant de la semaine prochaine, […] »). Ainsi, les quatre textes du corpus montrent que les romanciers veulent donner l’illusion du réel dans leur manière d’introduire les