Espagnol Raconter Un Souvenir

bataillon nazi. Cet acte horrible a été commis par les allemands pour se venger des résistants français. Quand au tableau de Francisco de Goya, il illustre la vengeance perpétré par les soldats de napoléon III envers les résistants espagnols. En effet, tous les Espagnols en armes faits prisonniers lors de la révolte seront fusillés. La victoire de Guernica: I Beau monde des masures De la nuit et des champs II Visages

poursuivirent la lutte après la mort de leur père assassiné en 48 en Égypte. Le premier fut tué à Munda, mais le second résista encore pendant dix ans au pouvoir central de Rome. - «sierra» : Nom espagnol des chaînes de montagnes, parce que la ligne de leurs pics évoque les dents d'une scie («sierra» en espagnol). - Mérimée fait la description d’un endroit enchanteur. Son pouvoir d'évocation est fondé sur le contraste entre la sévérité de la montagne et la douceur du «cirque naturel». Par un choix de

époustouflant. Le seul reproche que l'on pourrait objecter à tout ceci : que cela soit trop court. J'aurai tant aimé que le feu d'artifices dure un peu plus longtemps. Résumé : Dernière descendante de la lignée Carasco, Soledad entreprend de raconter le récit de l’histoire de sa famille. De mère en filles, un secret se transmet au fil des générations : une mystérieuse boîte qu’il ne faut pas ouvrir avant de l’avoir eue neuf mois en sa possession. Lorsque sa mère, Frasquita, l’ouvre, elle y découvre

Expliquez la dédicace du roman p. 7. 5. La première phrase du roman : pourquoi est-elle intrigante ? (On peut remarquer qu’elle dit la vérité du personnage, mais aussi celle du narrateur, voir ci-dessous)  Aux sources du roman : Marc Dugain a voulu raconter, lui qui voguait dans les hautes sphères de la finance (après Sciences Po, il est expert comptable puis rejoint une banque, rachète une compagnie d'aviation, Proteus, qu'il revend à Air France) l'histoire de son grand-père, Eugène Fournier, "gueule

la transcription d’une expérience personnelle, et elle met en scène le phénomène de dédoublement d’une personnalité. Le poème a une structure spéciale : Dans le premier quatrain, il exprime sa situation au présent puis il évoque une succession de souvenirs heureux en Italie (Quatrain 2), puis deux rencontres déterminantes, liées à une interrogation pressante sur son identité (Quatrain 3). Enfin, l’expérience décisive qui permet au poète de s’associer à Orphée. Il termine ensuite l’œuvre sur une note

analyse ACTE I, p. 11 à 51.Scène 1 (11-15) Zuazola, Moralès, Antonanzas.Trois officiers espagnols évoquent la trahison qui a permis à Bolivar, le chef des nationalistes vénézuéliens, de s’échapper. Leurs récits permettent de découvrir les éléments de la situation historique : la guerre de libération menée par Bolivar, la cruauté de la répression menée par les Espagnols contre les nationalistes vénézuéliens.Scène 2 (15-20) Zuazola, Moralès, Antonanzas, IzquierdoIzquierdo précise les circonstances

et j'espère que tu me seras d'un grand soutien." (p. 9, 12 juin 1942). B-Le plaisir d'écrire. Citations : -"Mon stylo-plume a toujours été pour moi un objet précieux [...]. Mon stylo a vécu une vie très longue et passionnante que je vais vous raconter..." (p. 141). -"...tu sais depuis longtemps que mon souhait le plus cher est de devenir un jour journaliste et plus tard écrivain célèbre. [...] Après la guerre, je veux en tout cas publier un livre intitulé "l'Annexe", reste à savoir si j'y arriverai

champs et apprend les secrets des plantes ce qui le mène à répandre du poison au sein du peuple, entraînant la mort de nombreux colons. Il sera plus tard capturé et tué sur le bûcher. Les esclaves croient cependant que son esprit reste éternel et le souvenir de Mackandal n'est pas exterminé par les flammes. Mackandal représente donc le lien entre la spiritualité et l'histoire : il est l'inspiration qui manquait aux natifs pour la rébellion, et est le premier à utiliser la technique du réel merveilleux

Communauté autonome de Madrid , à moins de 50 km au nord-ouest de la  capitale espagnole . Communément appelée  Valle de los Caídos , la réalisation de ce monument religieux a été commandée par le général  Francisco Franco , chef ( Caudillo ) de l' État espagnol  de  1939  à  1975 , pour rendre hommage

puisque Jupiter a dépêché Mercure de rappeler à Enée sa destinée. Celui-ci prend la résolution de partir, sous les répréhensions de Didon qui enjoint de brûler tous les souvenirs laissés par le Troyen et se suicide avec une des épées d'Enée et se jette dans un bûcher qu'Enée aperçoit depuis la mer. Une autre version des faits raconte qu'il s'agissait de Anna Perenne et non de Didon qui périssait dans les flammes (selon Varron, grand savant du Ier siècle). III. Didon à travers l'art La tragique