Espèce chimique

Jadis notre nature n’était pas ce qu’elle est à présent, elle était bien différente. D’abord il y avait trois espèces d’hommes, et non deux, comme aujourd’hui : le mâle, la femelle et, outre ces deux-là, une troisième composée des deux autres ; le nom seul en reste aujourd’hui, l’espèce a disparu. C’était l’espèce androgyne qui avait la forme et le nom des deux autres, mâle et femelle, dont elle était formée ; aujourd’hui elle n’existe plus et c’est un nom décrié. De plus chaque homme était dans

Les impacts prévisibles sont à la fois écologiques et socio-économiques. La destruction des écosystèmes marins, ou du moins une partie de la chaîne trophique, empêche le renouvellement des espèces péchées. Pour preuve, thons rouges, cabillauds, harengs, plies et merlans sont maintenant considérés comme espèces en voie d’extinction. Leur disparition provoquerait une crise dans le secteur de la pèche, ainsi qu’un sérieux problème pour les régions côtières dont l’économie repose sur l’exploitation

réveillais. Je me trouvais en plein milieu d'une grande avenue bordée d'arbres symétriques, d'hauteurs semblables. Il y avait des cèdres, des mûriers, des séquoias aux feuilles spiralées, pointues, vertes grisâtres. C'était du moins les trois seules espèces que je pouvais reconnaître. Le sol était fait d'une matière extrêmement lisse que je ne réussissais pas à identifier. De longs véhicules aux formes étranges, harmonieuses, planaient à environ un mètre du sol, se croisaient avec sûreté sur cette voie

concitoyens. Il déplora d’abord le triste fait qui laissait tout le monde dans un état de perplexité grandissante: il n’y avait plus de saumon rosse sur la terre. Avec la mort de ce spécimens, c’était toute une espèce qui disparaissait pour toujours. Il énuméra ensuite toutes les espèces en voie d’extinction qui n’attendaient que le secours de l’homme pour survivre. Impressionné par les caméras qui tournaient autour de lui, il pensa tout à coup qu’on le verrait probablement aux Nouvelles de fin

SAUVAGES ZINGG a répertorié en 1940, tous les cas connus, d’enfants élevés par une espèce animale. Le souci qui est récurrent, c’est qu’en faite avec ces cas là, ils recouvrent plus de 7 siècles un peu partout dans le monde. Du coup, il est très difficile d’avoir un regard objectif, de savoir vraiment ce qu’il s’est passé. 4 constantes apparaissent dans les observations faîtes sur ces enfants élevés par une espèce animale : - (1) Une socialisation animale s’est substituée à la socialisation

riche (plus de 450 espèces) avec 252 espèces qui sont endémiques à la Nouvelle-Calédonie, dont une soixantaine qui n’existent que dans ses fragments de forêt sèche. On y trouve notamment le badamier de Poya ou Terminalia cherrieri. Cet arbre, pouvant atteindre jusqu’à 15 mètres de hauteur, est localement réparti sur le littoral ouest de la Grande Terre entre Beaupé et Nékoro, dans la région de Poya d’où il tire son nom. On a aussi la Turbina inopinata ou Guirlande des bois, espèce endémique rare de

(CO², méthane, azote …) sont dû à la pollution (voitures, usines etc. …). Donc la cause de cette accélération est notre technologie ! Les causes entraînent des conséquences : Une hausse des températures, fontes des glaces, disparitions de nombreuses espèces … Un traité international, le protocole de Kyoto fais son apparition. Il vise à ratifier le plus grand nombres de pays (183) qui accepteront de diminuer leur taux de gaz à effets de serres. Les gouvernements des pays membres font en sorte de diminuer

La prolifération des lapins L'Australie est une île immense 14 fois grande comme la France, Le jour de Noël 1859, un fermier, grand chasseur, met en liberté sur ses terres, une espèce d'animal totalement inconnue dans l'île: 12 couples de lapins de Garenne. A cette époque, déjà, la principale ressource de ce pays est l'élevage du mouton, Six ans plus tard, ce fermier tue 20 000 lapins dans sa propriété! Rien d'étonnant, une seule lapine, donne naissance à 12 ou 15 petits 6 à 7 fois par an qui

La réserve appartient au domaine de la forêt atlantique littorale à Lophira alata et Saccoglottis gabonensis. Ce type de végétation recouvre la majeure partie de la réserve. Il est caractérisé par l’abondance de ces deux espèces d’émergeants. parmi les espèces dominantes dans la canopée Coula edulis (Oleaceae) est très abondant. On rencontre aussi fréquemment des Ebenaceae (Diospyros spp), des Cesalpinaceae, des Guittiferae (surtout Garcinia spp), et plus particulièrement, dans

couleur noir et sa texture granuleuse. Caractéristiques du mucor : il s’agit d’un champignon zygomycètes, trouvé le plus souvent dans les sols, les plantes mortes et dans les fruits. Il peut posséder des propriétés allergéniques. Seules certaines espèces thermotolérantes sont pathogènes pour l’homme (M. ramosissimus, M. indicus , M. circinelloides ) car ce sont les seules mucor capable d’évoluer à plus de 36°C.