Espèce menacée

Article détaillé : Liste des espèces de requin. Description[modifier] Anatomie externe du requin Le requin se caractérise par sa silhouette fuselée, particulièrement hydrodynamique, et ses nageoires pectorales et dorsales, ainsi que sa nageoire caudale hétérocerque (de forme asymétrique). Il est pourvu d'un squelette entièrement cartilagineux et de cinq à sept fentes branchiales latérales selon les espèces. La taille du requin varie selon les espèces, de 15 à 20 cm pour les plus petits, comme

Millions d'années, le fossile d'Hyracothérium nous fait penser qu'il s'appuyer sur le sol avec 4 doigts, et il y a 30 Millions d'années, le fossile de Mésohippus quant à lui touchait le sol à l'aide de 3 doigt dont un seul porteur au centre: ces deux espèces d'équidés étaient des mangeurs de feuilles, vivaient donc dans un milieu naturel forestier. Il y a 25 Millions d'années, le Mérychippus possédait un seul doigt en contact avec le sol, ainsi l'équidé le plus récent: l'Equus possédait des pattes avec

La biodiversité est la diversité naturelle des organismes vivants. Le mot « biodiversité » est un néologisme composé à partir des mots bio (du grec βίος / bios, « vie ») et diversité. Elle s'apprécie en considérant la diversité des écosystèmes, des espèces, des populations et celle des gènes dans l'espace et dans le temps, ainsi que l'organisation et la répartition des écosystèmes aux échelles biogéographiques. Le maintien de la biodiversité est un composant essentiel du développement durable, pour

la rareté des certaines espèces et la baisse du chiffre d’affaire des pêcheurs sénégalais. La surexploitation des ressources forestières La plupart des écosystèmes connaissent une dégradation importante et plusieurs espèces sont menacées. En effet, la superficie des forêts a connu une diminution sensible en passant de 9 203 153 ha en 1990 à 8 558 153 ha en 2005, soit environ une baisse de 7 %. Cette dynamique régressive s’accompagne également d’une diminution des espèces. Dans le Parc National

fabrication des planches. Il n’existe presque pas de pépinières répondant à un programme cohérent de reboisement dans la plaine d’où une répercussion négative sur l’environnement et sur les zones de vie de toutes les espèces animales car elles en dépendent toutes. On trouve dans la plaine 60 espèces de végétaux réparties en 28 familles. L’élevage pratiqué dans la plaine est de type extensif, il est à la corde dans les zones de cultures et libre dans la zone sèche et la savane. Il n’y a pas de programmes

vice-président du WWF Résumé « Administrer la nature », ces termes semblent antinomiques. L’homme a une certaine idée de la nature et s’efforce de la faire prévaloir. Les politiques de protection de la nature, récentes, ont connu d’indéniables succès : des espèces et des espaces au bord de l’extinction ont été sauvés. Mais elles ont montré leurs limites tant que leur rationalité était calquée sur celles des activités économiques. L’administration actuelle de la nature a l’ambition de faire intégrer ses objectifs

symbiotique entre les espèces. La vie naquit des océans, depuis les plus infimes molécules jusqu’aux gigantesques reptiles et mammifères, un équilibre s’instaura entre les espèces qui formèrent en leur ensemble, la chaine alimentaire, d’où les fondements de la vie. Il en était ainsi ; les plus forts se nourrissaient des plus faibles assurant l’instinct de survit de chacun. Ce perpétuel recommencement représentait de toute évidence une harmonie équilibrée entre les espèces, pour le bien de leur

les espèces en voie d’extinction pour en deuxième temps comprendre la raison de la disparition des animaux et pour finir nous verrons les mises en place pour limiter les pertes. I] LES ANIMAUX EN VOIE DE DISPARITION DANS LE MONDE 1) Les espèces L’UICN (Comité français de l’Union mondiale pour la nature) s’occupe de recenser le nombre d’animaux qu’il y a dans le monde et ceux qui sont en voie d’extinction. Les chiffres de 2009 nous montrent que, dans le monde, il y a 47 677 espèces répertoriées

termes de diversité des espèces et des habitats; si la variabilité génétique des espèces végétales très répandue est également augmenté dans ces domaines exige une enquête plus approfondie. Surtout dans les régions alpines, les herbes transgéniques pourraient éventuellement causer des changements profonds dans la structure communautaire. Évaluation des risques écologiques des communiqués de culture transgénique ne doit pas seulement tenir compte des effets négatifs sur les espèces non-cibles et les écosystèmes

de 3 à 5 millions de personnes chaque année par suite de maladies communiquées par l'eau. Finalement un autre problème environnemental trouvé par les scientifiques est que la diversité biologique de la planète est de plus en plus menacée. Le taux d'extinction des espèces serait en train de s'accélérer. La destruction ou la modification des habitats seraient les principales causes de pertes de diversité biologique, mais l'invasion d'espèces allogènes en serait la deuxième cause. ``1 Bref, les scientifiques