Esprit

L'homme se voit directement comme constitué d'un esprit et d'un corps, et ce dernier privilégie son esprit par rapport à son corps dans la façon de se voir lui-même. L'expérience quotidienne paraît confronter mon corps à une matière bien présente, si je me cogne la tête contre un mur, ne fais-je pas l'expérience d'un objet solide ? Mon corps rappelle bien son appartenance à la matière. Contrairement à l'esprit, si j'étais un pur esprit le choc n'aurait pas eu lieu. Ainsi on peur concevoir qu'on

n’est pas toujours possible. C’est donc pour tous ceux qui souhaitent sincèrement s’exercer à la méditation que j’ai rassemblé ces ins­tructions puisées aux sources les plus authentiques du bouddhisme. Se transformer intérieurement en entraînant son esprit est la plus passionnante des aventures. Et c’est le véritable sens de la méditation. Les exercices que l’on trouvera dans ce texte sont issus d’une tradition deux fois millénaire. Que l’on s’adonne à la méditation seulement trente minutes par jour

contenu-gratuit.com 09/12/2011 21:35 Problème de concentration ? 10 stratégies efficaces pour maitriser votre esprit Contenu-Gratuit.com 1 - Efforcez-vous du mieux que vous pouvez de ne faire qu’une chose à la fois. Bien entendu, il y a des impondérables, des dérangements mais, quand vous avez la possibilité de le faire, agissez en ne faisant qu’une chose à la fois. Quand on veut multiplier les tâches en même temps, trop souvent, les erreurs sont courantes. Aussi, fréquemment cette

1629) est une œuvre inachevée de Descartes. Il y expose des règles pour diriger son esprit. Elles sont au nombre de 21. Chaque règle est énoncée, puis commentée par Descartes. Règle première L'objet des études doit être de diriger l’esprit de manière à ce qu’il porte des jugements solides et vrais sur tout ce qui se présente à lui. Règle deuxième Il ne faut nous occuper que des objets dont notre esprit paroît capable d’acquérir une connaissance certaine et indubitable. pour sa bonne

l'être humain élabore, au contact de la réalité, des concepts qu'il associe pour apprendre ou pour créer. * La morale, la conscience... Plan : * Introduction * Peut-on penser sans avoir un corps ? * Peut-on avoir un corps sans esprit ? * Conclusion. Faut-il avoir un corps pour penser ? Il existe de nombreuses expressions comme “mon corps ne suit pas” ou “j’ai la tête ailleurs” qui reflètent une image divisée de nous-mêmes. Notre vie se passerait donc à deux niveaux

des habitudes. Nous savons parfaitement que si nous consacrons notre esprit à la confusion (soyons honnêtes !), il deviendra un maître ténébreux de la confusion, expert à nous rendre dépendant, subtil et pervers dans son habilité à nous réduire en esclavage. Chercher dans votre vie des exemples, vous en trouverez, dans le cas contraire vous ne regardez pas assez intérieurement sur vous même. Et cela veut dire que vous votre esprit subit très profondément votre rôle. Consacrons le donc, dans la méditation

alors trouver un critère de vérité. On a avancé avec Descartes celui de l’évidence mais il y a de fausses évidences et l’esprit particulier que je suis peut me laisser prendre. Ne faudrait il pas alors prendre pour critère de vérité l’unanimité des esprits qui garantirait davantage de l’erreur que la simple évidence de l’esprit individuel? I-L’unanimité n’est pas critère de vérité. 1-l’opinion L’opinion fait souvent de l’unanimité le critère de la vérité. On dit tout le monde est d’accord pour penser

tenter d’expliquer les paragraphes sept et huit du chapitre vingt-trois du deuxième livre. Nous verrons que les idées que l’on classe dans une substance sont entre autres choses le résultat des pouvoirs actifs et passifs qui ont atteint notre esprit ; les qualités pourraient être associées aux pouvoirs : puisque nous déterminons ces qualités par rapport aux pouvoirs de la substance que nous analysons. Nous savons par exemple que le feu a le pouvoir de nous brûler car nous en ressentons l’idée

œuvres : et si tu sens ta conscience chargée de péchés, je te conseille de la décharger et nettoyer par vraie contrition et confession, et que tu te délibères de persévérer toujours en la vertu, afin que ton cœur soit conforme en tout bien, et ton esprit éclairé de la lumière de vérité : outre cela délibère en toi même, que si après avoir acquis ce don divin, tu es élevé en honneur, de tendre la main aux pauvres embourbés dans le limon de la pauvreté, refaire et restaurer de ta libéralité ceux qui

matins que l’on a trouvé meilleur ? Nous rencontrons dans la rue des personnes que nous jugeons plus ou moins bien habillées, plus ou moins sympathiques. D’ailleurs, toutes les personnes que nous connaissons ne sont elles pas classées dans notre esprit : il y a d’abord les amis que nous jugeons agréables, ensuite toute une catégorie d’indifférents et enfin les ennemis en qui nous trouvons des défauts exécrables. Il y a aussi dans notre entourage ceux que nous jugeons beaux, ceux que nous trouvons