Essai De Cisaillement

........... Joints de cisaillement .................................................................................................................. Généralités ................................................................................................................................... Prescriptions de base .................................................................................................................. Détermination de la résistance au cisaillement ......................

16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 D´efinition des conventions de signe et notations (cas plan). . . . 13 Courbe contrainte-d´eformation d’un essai de compression. . . . . 16 Essai Br´esilien sur ´eprouvette cylindrique. . . . . . . . . . . . . 16 Contrainte appliqu´ee et d´eformation engendr´ee en fonction du temps pour un essai de fluage d’´eprouvette de b´eton. . . . . . . 17 Evolution de la r´esistance fcj en fonction de l’ˆage du b´eton. . . 18 Evolution de la r´esistance `a la

..................................................................................... 15  4.2-  Séquence d’introduction des fibres ....................................................................................................... 16  5-  Les essais de contrôle de qualité de béton fibré à l’état frais ....................................................................... 16  5.1-  Détermination de la maniabilité ...............................................................................

....................................................................................................... 22 Cisaillement ....................................................................................................................................... 24 A ou I Éléments ne nécessitant pas d'armatures d'effort tranchant ................................................... 24 Cisaillement entre âmes et membrures ...................................................................................

en maintenant l’huile dans sa plage optimale de viscosité, il est aussi possible d’améliorer le rendement en sélectionnant des huiles de base et des additifs qui favorisent la réduction des frottements internes, ainsi que la résistance au cisaillement de l’huile dans des conditions de lubrification élastohydrodynamique. Rendement hydraulique R en d em en t Rendement volumétrique • Faible rendement volumétrique • Bonnes propriétés de démarrage à froid • Faible épaisseur du film d’huile

Torsion Résilience Dureté Table des matières Essai de torsion Page n° 3 Essai de résilience Page n°10 Essai de dureté BRINELL Page n°15 Essai de dureté ROCKWELL Page n°16 Essai de dureté VICKERS Page n°18 Tableau dureté BRINELL Page n°20 Tableau dureté VICKERS Page n°21 Tableau de conversion des différentes duretés Page n°22

exceptionnel et n’est généralement fait que dans le cas où les caractéristiques du terrain d’assise sont médiocres. Pour ce calcul, seules les actions permanentes sont prises en compte. Le plus souvent, on détermine la valeur du tassement à partir des essais pressiométriques (voir détails en annexe, titre A 3.2). Les murs de soutènement sont surtout sensibles aux tassements différentiels : - dans le sens longitudinal, lorsque l’ouvrage, assez long, traverse des zones de sols différents ; - dans le sens

sera plus élevé. La courbe de compaction se déplacera donc vers le haut. -La saturation sera atteinte à une teneur en eau moindre ωsat diminue. La courbe de compaction se déplacera donc vers la gauche. Si l'on superpose les graphes de plusieurs essais effectués sur un même sol, avec des énergies de compaction croissantes (nombre de coups et/ou hauteur de chute croissante), on obtient une figure similaire à la suivante. fig. 3-3 : influence de l'énergie de compactage. On voit en effet, la courbe

barrage-voûte mince agit, en même temps, comme membrane en compression et dalle en flexion ; c’est-àdire comme une coque. On aura donc affaire : 102.1-R-106 8 − à des efforts normaux, tant horizontaux que verticaux, − à des efforts de cisaillement dans le plan de la membrane, et d’autre part − à des moments de flexion horizontaux et verticaux, − à des moments de torsion et − à des efforts tranchants agissant transversalement à la surface moyenne de l’ouvrage. En tenant compte des conditions

induisent un mouvement vertical sur les constructions et sont responsables du grondement sourd que l’on peut entendre au début d’un séisme. Effet d’une onde P sur le sol b. Les ondes S Les Ondes S sont aussi appelées ondes secondaires, ondes de cisaillement ou encore ondes transversales. Elles sont plus lentes que les ondes P, en effet, elles se déplacent de 3 à 5 Km/s. Elles sont perpendiculaires au sens de propagation de l'onde. Elles induisent un mouvement horizontal sur les constructions. Elles