Et si c'était vrai...

* Marc Levy est un écrivain français né le 16 octobre 1961 à Boulogne-Billancourt en région parisienne et rendu célèbre dès son premier roman, Et si c'était vrai..., adapté au cinéma en 2005. * A 18 ans, Marc Levy rejoint la Croix Rouge Française ; trois ans plus tard, il est nommé directeur du réseau des secours pour le département des Hauts-de-Seine. Au total, il passera près de 6 ans au service de la Croix Rouge. * Parallèlement, Marc Levy entame des études à l'université Paris-Dauphine

Et si c’était vrai…, Marc Levy I/ Biographie de l’auteur : Né le 16 Octobre 1961 en région parisienne, Marc Levy intégra à 18 ans la Croix Rouge française où il resta six ans. C’est en 1984 qu’il décida de s’installer aux Etats-Unis, à San Francisco et dans le Colorado où il créa deux entreprises spécialisées dans l’imagerie de synthèse. Neuf années plus tard, il revint en France où il fonda avec deux amis un cabinet d’architecture. Au cours de l’année 1998 Marc Levy écrivit Si c’était vrai…

Et si c’était vrai – Marc Levy Résumé : Un matin d'automne, Lauren Kline, medecin interne, se rend à Carmel, pour le week end, quand subitement, elle perd le contrôle de son véhicule. Elle est projetée à plusieurs mètres de sa voiture, traverse une vitre, puis enfin, sombre dans un profond coma. Durant son coma, le corps et l’esprit de Lauren se sépare, son esprit erre mais on ne peut ni le voire, ni l’entendre, ni le sentir pourtant il est bien là. Et pourtant, Arthur, architecte qui vient

Résumés : Marc Levy – Et si c’était vrai… Chapitre 1 Lauren, une assistante du docteur Fernstein vient d’avoir une longue journée à l’hôpital suite à un incendie qui a eu lieu dans le même environnement. Ceci est la raison pour laquelle elle est crevée et dort immédiatement quand elle arrive chez soi. Chapitre 2 Le lendemain c’est weekend, et à cette occasion Lauren décide de faire une sortie. Malheureusement elle est victime d’un grave accident en cours de route. Les secours arrivent

Et si c'etait vraiTu n’as qu’à parler de moi avec la boîte à gants ! reprit Paul, moi tu vois, hier soir j’ai ouvert le frigo, j’ai vu de la lumière, je suis rentré, et j’ai parlé de toi avec le beurre et une salade pendant une demi-heure. Et si c'était vrai..., Marc Lévy, éd. Robert Laffont, 2000 (ISBN 2878217950), p. 74 C’est lorsque l’on donne du peu que l’on a que l’on donne vraiment. Et si c'était vrai..., Marc Lévy, éd. Robert Laffont, 2000 (ISBN 2878217950), p. 96 Citation choisie

Editions Robert Laffont qui acceptent aussitôt de publier Et si c'était vrai. Peu avant la sortie du roman, Steven Spielberg (Dreamworks) en acquiert les droits d'adaptation cinématographique. Le film, intitulé Just Like Heaven, produit par Steven Spielberg, interprété par Reese Whitherspoon et Mark Ruffalo, s'est classé premier du box-office américain lors de sa sortie en 2005. Après la publication de son premier roman, Et si c'était vrai, en 2000, Marc Levy se consacre exclusivement à l'écriture

retourne à Paris où il formera un cabinet d’architecture avec deux amis. Ce cabinet s’appellera Eurythmic Cloiselec. Aimant l’écriture, il voulait écrire un conte pour son fils, Louis, mais sa sœur lui proposa de publier son livre intitulé Et si c’était vrai . . . Il rencontre un réel succès. Son livre a été traduit en 41 langues et DreamWorks (société de Steven Spielberg) acheta les droits d’adaptation du film au cinéma. Les années suivantes, il arrêtera l’architecture, écrira environ un livre par

dut t'aimer autant. Mais tu sais pas toi tout les projets qu'elle avait avec toi. Des tonnes de projets, tous plus beaux les uns que les autres. Puis au fond on le sait tous, elle fait la fille invincible, qui est indifférente à toi, qui souris, comme si de rien n'était. Alors qu'en réalité, elle porte la misère du monde sur ses épaules. Mais elle est forte, enfin elle essaye de le paraître en gardant la tête haute. Mais un jour son coeur va exploser à trop faire semblant. Parce que elle, faire semblant

auparavant et qui l'est toujours car il le loue à sa mère. Arthur ne croyant pas un mot de ce qu'elle dit, pensait que c'était Paul, son acolyte de bureau, qui lui faisait une farce. Pour la croire, elle lui dit d'aller voir son corps à l'hôpital et, après un premier refus, il accepta car il n'arrivait pas à dormir. La ressemblance entre l'esprit de Lauren et son corps était si frappante qu'il finit par la croire et promis de l'aider.
Le jour suivant, Arthur alla à son travail et sa secrétaire pensa

Elle affirme s’appeler Lauren Kline et être chez elle. Elle lui confie ensuite son secret : elle se trouve dans le coma depuis six mois. Elle est donc dans un état proche de la mort, mais elle reste néanmoins la propriétaire de l’appartement, même si c’est sa mère qui s’occupe des questions administratives. Quand Arthur, très perturbé, lui demande de rentrer chez elle, elle lui rappelle qu’il est son « locataire post-mortem » (p. 43). Elle reste donc. Elle lui raconte ensuite qu’elle peut tout entendre