États généraux de 1614

Coordonnateur a.i. ii Table des matières Résumé……………………………………………………………………..1 Synthèse…………………………………………………………………....1 1. Introduction…………………………………………………………....4 2. Méthodologie…………………………………………………………..7 3. Résultats……………………………………………………………….11 3.1. Général……………………………………………………………………… …11 3.2. Cigarettes………………………………………………………………………..18 3.3. Alcool…………………………………………………………………………....20 3.4. Tranquillisants…………………………………………………………………..23 3.5. Solvants et Inhalants…………………………………………………………….25 3.6. Marijuana………………………………………………………………………

(en haut de la hiérarchie comtale, il dirige le tribunal du palais en l'absence de l'empereur), l'archichapelain (le premier conseiller ecclésiastique), et le chancelier (responsable de la rédaction des actes législatifs). Une assemblée générale = le plaid général, composé de grands fonctionnaires du palais, des comtes, des abbés et des évêques, prend des décisions, censées être prises avec l'assentiment de tous (tous les sujets sont supposés avoir été convoqués et être présents). On y établit les

pour le langage de la guerre. C’est un langage qui est stratégique. Mais ce n’est pas le langage principal. Le langage des relations internationales est un langage stratégique et fort peu mathématique. Il ne permet pas de comprendre pourquoi les Etats-Unis ont perdu la guerre au Vietnam alors qu’ils ont gagné toutes les batailles. Après cela, ils voleront aux russes leurs conceptions stratégiques pour expliquer ce qui s’était passé. A la guerre chacun imite l’autre. C’est donc un domaine très compliqué

échec. * L’aristocratie : a les faveurs de Platon. « aristoi » = les meilleurs. Parce qu’il estime qu’ils détiennent la connaissance. « le savoir conditionne l’action », « le vrai commande le bien », pour lui, ils ne sont même que pour l’intérêt général, en ayant connu le vrai, ils ne tendent que vers le bien, pas d’ambition personnel, pas de pression du peuple. Pour lui, les démocrates ne parviennent pas à un gouvernement correct car ils n’agissent que sur la pression du peuple, ils n’ont pas de

définitivement l'édit du préteur qui devient l'édit perpétuel, il ne revient donc plus aux préteurs de faire le droit mais à l'empereur qui est créateur de droit. On a donc maintenant une Constitution impériale - 4 sortes >les édits: préscription d'ordre général applicable à tout l'empire >les décrets: des jugements qui sont rendus par l'empereur dans le cadre de son conseil soit en première instance soit en appel >les mandats: instructions administratives envoyées par l'empereur à ses fonctionnaires, le

donc répartir correctement les richesses si l’on veut éviter des dysfonctionnements. L’impôt devient donc un prélèvement que la souveraineté exige de l’individu en vertu du principe de la solidarité nationale pour subvenir aux dépenses d’intérêt général et aux charges résultant des dettes de l’Etat (cf. art. 13 Déclaration de 1789 : « une contribution commune est indispensable pour entretenir la force publique et les dépenses d’administration »). • Le moyen de redistribuer les revenus et d’assurer

Genèse de Moïse. Son titre est: De Luce Naturae Physica28 Aux XVe et XVIe siècles, des versions en vers apparaissent, dont un sonnet anonyme remanié par le poète alchimiste Clovis Hesteau de Nuysement dans son Traittez de l'harmonie, et constitution generalle du vray sel, secret des Philosophes, & de l'esprit universel du monde (1621) : C'est un point assuré plein d'admiration, Que le haut & le bas n'est qu'une même chose : Pour faire d'une seule en tout le monde enclose, Des effets merveilleux

"senatus-consultes" qu'il émet. Vers 200, ces avis impériaux deviennent législatifs : l'empereur devient officiellement source de droit. L'ensemble des décisions prises par le princeps est appelé constitution impériale : elle regroupe des prescriptions d'ordre général (édits), des décisions particulières judiciaires (décrets) ou administratives (mandats), ainsi que des réponses à des questions de droit posées par un particulier (rescrits). Les constitutions ont une autorité législative : "Ce qui a paru convenable

I. Les Grandes découvertes II. Le renforcement du pouvoir royal en France sous François Ier III. La Renaissance, un renouvellement intellectuel, artistique et religieux Deuxième Partie : L’Europe moderne L’Europe des Etats puissants mais rivaux I. Les guerres de religions Troisième partie : La monarchie absolue en France Louis XIII et Richelieu I. Louis XIV, le Roi-Soleil II. L’absolutisme contesté Les Grandes découvertes

Bossuet prédicateur des devoirs des sujets et des princes. 11 2.1.2.2. Paragraphe 2 : L’absolutisme, les leçons de l’expérience politique, le testament politique de Richelieu, et les mémoires de Louis XIV. 12 2.1.2.2.1. Richelieu (1585-1614 ) 12 2.1.2.2.2. La majesté du roi, la grandeur du royaume parmi les nations européennes. 12 2.1.2.2.3. Louis XIV et Louis XV 13 2.1.2.2.4. Louis XIV 13 2.1.2.2.5. Louis XV 13 2.1.3. Section 3 : La doctrine absolutiste