Étoile de la mort

Lectures Analytiques : 1 – Hymne des étoiles, Ronsard Intro : Ronsard, poète humaniste de la Pléiade, s’inspire de la philosophie naturelle d’Aristote pour décrire l’influence du ciel sur la Terre. Dans ce poème avec une alternance de quatrains d’octosyllabes et de sizains d’hexasyllabes, il conseille d’apprendre à lire dans les étoiles le destin de toute chose. I. Attitude des humains face aux étoiles A. Admiration du poète Note leur beauté dans la nuit, c’est un moment d’inspiration

métaphoriquement.§ 2 Dans forêt en bas de la montagne, rencontre viellard qu’il avait déjà rencontré avant ; « Zarathoustra est devenu enfant ». Il affirme aimer Dieu dorénavant. Zarathoustra repart : « Il n’a donc pas appris que Dieu est mort » ( Dieu est mort = Henri Heine)§ 3 Il arrive à une ville, il y a une foule : « Je vous enseigne le surhumain » qui est = H de la plus parfaite perfection (Wohlgerathenheit), qui doit être à l’homme ce que le singe est à l’homme. Les chrétiens « méprisent

L’univers est ni immuable ni éternel. Il y a une histoire, il n’a cessé d’évoluer en se raréfiant, en se refroidissant, en se structurant. L’univers, il y a 10 ou 15 milliards d’année avant, était totalement désorganisé, ne possédait ni galaxies, ni étoiles, ni molécules, ni atomes, ni même de noyaux d’atomes… C’était qu’une bouillie de matière informe portée à des températures de milliards de milliards de degrés = « Big Bang ». Le big bang, limite de nos connaissances L’horizon de nos connaissances

un des thèmes central de la poésie romantique. Le questionnement du poète sur l’environnement qui l’entoure, la nature, la beauté ou encore la douleur constitue un fil directeur important dans son discours. Alphonse de Lamartine dans son poème Les étoiles, contemple une nuit étoilée qui conduit le poète vers des questionnements sans réponses. La contemplation de « tous ces mondes flottants [qui] gravitent en silence » amène le poète à se poser des questions d’ordre métaphysique : « où allons-nous tous

de novembre 1914, il intégra le 38e régiment d’infanterie à Nîmes et l’année suivante, il fut promu sous- lieutenant au 96e régiment d’infanterie. Au front, Guillaume Apollinaire affronta directement la réalité de la guerre, l’omniprésence de la mort et les conditions insupportables de survie telles que la faim, le froid, la boue, les rats ou la vermine… Ce quotidien d’attente et de cadavres n’a pas empêché l’artiste de continuer son œuvre. Loin de l’écriture de la désillusion et du désenchantement

déclin du jour et donc par la mort, ces éléments renvoient peut-être à cet amour perdu avec Marie Laurencin. Le cadre de ce poème est indéfini, le temps est un présent qui confère à la scène un caractère atemporel. Nous verrons par quel procédé Apollinaire parvient-il implicitement à évoquer ses propres sentiments tout le long du poème et comment le mariage d’éléments contraires préside à la structure du poème. En effet, ce poème présente un monde fait de vie et de mort ; de jour et de nuit ; de lumière

du Sahara, il y a six ans. Quelque chose s'était cassé dans mon moteur, Et comme je n'avais avec moi ni méchanicien, ni passagers, je me préparai à essayer de réussir, tout seul, une réparation difficile. C'était pour moi une question de vie ou de mort. J'avais à peine de l'eau à boire pour huit jours. [pic]Le premier soir je me suis donc endormi sur le sable à mille milles de toute terre habitée. J'étais bien plus isolé qu'un naufragé sur un rideau au milieu de l'océan. Alors vous imaginez ma surprise

l'ornementation, les décors, l'art du trompe-l'œil. Un fils naît au roi de Pologne. La mère meurt en couches et le roi voit dans le ciel des signes funestes et certains. Pour empêcher que l'enfant devienne un jour le tyran de la Pologne, le roi le déclare mort-né et l'enferme dans une tour. 1er Jour Rosaure se dirige vers la cour royale de Pologne pour se venger du duc Astolphe qui lui a fait une promesse de mariage, puis l'a abandonnée. Déguisée en homme, elle est accompagnée de son valet Clairon. Elle

Apollinaire – Commentaire littéraire / Analyse préalable Le ciel est étoilé par les obus des Boches La forêt merveilleuse où je vis donne un bal La mitrailleuse joue un air à triples-croches Mais avez-vous le mot         Eh ! oui le mot fatal Aux créneaux Aux créneaux Laissez là les pioches Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mille soleils ont vidé les caissons Que les dieux de mes yeux remplissent en silence Nous vous

placé dans une situation terrible : soldat, il passe la nuit dans une forêt en pleine guerre. Le texte se passe la nuit. Apollinaire ne le dit pas dès le début ; au contraire même, il faut attendre la dernière strophe pour que la référence aux « étoiles » nous le fasse comprendre. Ceci est presque immédiatement confirmé par l’adjectif « nocturne » de l’avant-dernier vers. Dès lors, revenant sur le début du texte, on s’aperçoit de l’importance de la couleur rose, mot répété cinq fois dans le poème