Etranger Prologue

dernier vers→annonce surprenante car impossible). “Rien ne bougeait encore au front des palais.”→récit en analepse (retour en arrière); lexique mélioratif; métaphore pour maison→immobilité et impression de merveilleux. “L’eau était morte.”→calme, étrange et silencieux. “quittaient“→imparfaits→il fait encore nuit→impression de durée. “J’ai marché→Verbe d’action du “je” “les pierreries regardèrent“→personnification “les ailes se levèrent “→passé simple (rupture avec l’imparfait)→le passé simple semble

pièce se déroule de façon classique, rythmée par les entrées et les sorties des personnages, qui permettent de restituer l'architecture traditionnelle des scènes et de proposer la numérotation suivante : Pages Scène Personnages 9-13 1 Le Prologue 13-20 2 Antigone, la Nourrice 21 3 Antigone, la Nourrice, Ismène 22-31 4 Antigone, Ismène 31-36 5 Antigone, la Nourrice 37-44 6 Antigone, Hémon 45-46 7 Antigone, Ismène 46-53 8 Créon, le Garde 53-55

103-105: "mes quant ceo vint al desevrer dunc commencierent a plurer" /---> suite logique plate et rapide, très sobre et dense. II) Structure du lai A) Insertion de la métaphore du Chèvrefeuille > Prologue: sources / résumé rapide v.1-10 v. 10-35: contexte: Tristan expulsé v. 35-43: moteur de la trame: informé du passage du cortège ds forêt v. 44-60: préparation du message v. 61-67: contenu du message v. 68-78: métaphore du chèvrefeuille

L’ARGUMENTATION 4. Dans le prologue du Pantagruel, Alcofribas prétend que ce roman est « un peu plus objectif et digne de foi » que la Chronique gargantuine (célèbre livret de colportage) : où se situe le vrai et le faux ? Il ajoute qu’« il ne [lui] advint jamais de mentir ou d’assurer une chose qui ne fût véritable » alors qu’il a annoncé les « horribles faits et prouesses épouvantables » d’un personnage folklorique, « roi » d’une peuplade imaginaire. Ce prologue est donc construit sur un jeu

savais pas qu'elle avait changé de nom. Ce qui m'a détourné de mon chemin moi qui l'a connu sous le nom d' ''Amoris " . Elle s'appelait maintenant " Sweet-City " . Ce qui la qualifiait bien, car on pouvait dire qu'elle était décorée. Tout m'était étrange que ce soit, en l'espace de quatre années ou en 6 mois. Pour moi, tout avait changé. La ville n'était plus une petite bourgade perdue ; non, loin de là. On pouvait dire qu'elle logeait environ 5 000 habitants maintenant. Je me souviens d'avoir franchi

L’Orestie Agamemnon : la première pièce de la trilogie (qui n’est pas au programme mais dont la lecture est conseillée) raconte le retour d’Agamemnon à Argos : elle s’ouvre sur l’attente de son retour annoncé : dans le prologue le guetteur aperçoit le signal lumineux qui annonce la victoire des grecs à Troie. Le Choeur des vieillards arrive sur scène et rappelle les conditions du départ à Troie, en particulier le sacrifice d’Iphigénie. Il est clair que pour le Choeur, les menaces proférées par

activité désincarnée (implicat° corps + esprit) * C’est un devoir de l’humaniste de chercher à comprendre les livres. « Ce n’est pas une telle désinvolture qu’il faut juger les cœurs des humains ». Cf= « rien de ce qui est humain ne m’est étranger » Terrence. II- du bon usage de l’exégèse Une palinodie ? Critique des commentaires qui veulent tirer le texte vers qqc. Le syncrétisme : on assimile des œuvres plus anciennes comme pré- chrétiens, manipulat° intellectuel. Rabelais

et la littérature de l'époque romaine: il s'en inspire et en joue dans la composition de son intrigue, les noms et caractères des personnages, les descriptions et les symboles présents dans le roman. II) Le roman. *Tout d'abord dans le bref prologue, l'auteur met en scène la conception de son roman en se montrant inspiré par un tableau vu à Lesbos qui représente l'allégorie de l'Amour, dans le bois sacré des Nymphes. A sa découverte, il se présente comme un chasseur, et un guide local lui explique

assister à toutes les représentations de la journée, jusqu’au coucher du soleil: quatre ou cinq pièces, chacune jouée sans entracte. Chaque poète tragique présente trois tragédies appelées " tétralogie" et un drame satyrique. Une tragédie comporte un prologue, l'arrivée du chœur (parodos), des épisodes ou actes séparés par des chants du chœur (stasima) et un acte final avec sortie du chœur (exodos). Cinq poètes présentaient chacun une pièce pour les comédies. Donc les spectateurs assistaient à quinze

=> ce n'est pas une activité culturelle. Le théâtre sert à rendre hommage à Dionysos (=dieu du vin, du théâtre, de la fête, dans le Panthéon il est à part, il est représenté comme le dieu le plus jeune, et dieu de tout ce qui rend l'individu étranger à lui-même=ivresse, masque) Culte de Dionysos = célèbre l'altérité avec soi-même Une fête est entièrement dédiée à Dionysos = Les Grandes Dionysies fête athénienne à la fin de l'hiver, célébrée tous les ans. Une semaine entière est consacrée