Eugène Ionesco

mesures ? Quelle est son originalité ? Auteur : Eugène IONESCO Titre : Rhinocéros Date : 1959 Genre : Théâtre de l'absurde (1938-1960) : rupture totale par rapport aux genres plus classiques comme le drame ou la comédie. Il traite en général de l'absurdité de l'Homme et de la vie, celle-ci menant toujours à la mort. Son origine est due à la chute de l'humanisme à la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Les principaux auteurs de ce mouvement sont Ionesco, Beckett (En attendant Godot). Les caractéristiques

fait encore une fois. «Mais non,Caïus,au contraire».(ligne 11). Ce que je remarque le plus dans ce personnage c’est son coté tyrannique , et le plaisir de voir souffrir les autres, comme une vengeance à dévorer de son coté. Dans l’oeuvre de Eugène Ionesco « Le roi se meurt », le roi qui se croit toujours aussi puissant et respecté qu’auparavant n’admet pas qu’il est malade, faible et qu’il ne contrôle plus grand chose, plus rien .Il pense que la nature,que les hommes et que son entourage lui obéissent

Eugène Ionesco : Rhinocéros Le début de l’Acte 1 : Début de la pièce à « Jean et Bérenger se sont assis » Rhinocéros est une pièce de Théâtre en quatre tableaux pour 3 actes en prose. Eugène Ionesco : -> 1909 – 1994 ( 84 ans ) -> Il a connu : 2 guerres mondiales + Les révolutions communistes -> Etude de Lettres Françaises à Bucarest -> Le français est la langue maternelle d’Ionesco, son père est roumain. -> Associé au théâtre de l’absurde même si il réfute cette idée. -> Il a enseigné

“ En jouant avec les mots, les phrases et le mimiques «toutes faites» Eugène Ionesco introduit le «surréel», voire le fantastique, dans la banalité du quotidien.” -Comment ce jeu avec le langage et les gestes fonctionne? Il faut interroger les mécanismes du texte: les changements de registre, l'absence de liens cohérents entre des répliques, la répétition, l’accumulation, l’assonance, la rime, le rythme.. -Quels sont les effets de ce jeu dans le développement de la piece et sur le spectateur

individualisme - absence de marque de mouvements dans les didascalies et le texte - la didascalie qui clôt cette scène précise : « ils s’embrassent sans expression » - répétition qui souligne l’incertitude et l’éventualité d’une rencontre conclusion : - Eugène Ionesco voulait créer un rythme -ils oublient leur identit -Il s’agit donc d’une scène de reconnaissance et non de rencontre - une vie de couple sans relief et sans intérêt qui unit les Martin -, insistance de Mr Martin et sa volonté de créer une

Eugène Ionesco-L Lecon Ionesco, La Leçon, 1951, éd. Gallimard. Dans La Leçon (1951), Eugène Ionesco met en scène un professeur qui tente d'enseigner son savoir à une jeune élève. Très patient et doux au début, il perd peu à peu son calme. LE PROFESSEUR - Toute langue, Mademoiselle, sachez-le, souvenez-vous-en jusqu'à l'heure de votre mort... L'ELEVE - Oh ! Oui, Monsieur, jusqu'à l'heure de ma mort... Oui, Monsieur... LE PROFESSEUR - ...et ceci est encore un principe fondamental, toute

Ma paroisse est dévorée par l'ennui, voilà le mot. Comme tant d'autres paroisses ! L'ennui les dévore sous nos yeux et nous n'y pouvons rien. Quelque jour peut-être la contagion nous gagnera, nous découvrirons en nous ce cancer. On peut vivre très longtemps avec ça. L'idée m'est venue hier sur la route. Il tombait une de ces pluies fines qu'on avale à pleins poumons, qui vous descendent jusqu'au ventre. De la côte de Saint-Vaast, le village m'est apparu brusquement, si tassé, si misérable sous le

Tout d'abord, on assiste à une mise à l'écart de Bérenger de par, premièrement une multitude d'emplois de la première personne du singulier tout au long du texte : « Je voudrais » (L. 6, 13 et 23) ; « Je pourrai » (L. 9) ; « J'aurai du » (L. 20), ainsi qu'avec l'emploi d'adjectifs possessifs comme : « m'en » (L. 7) et « mes » (L. 8 et 10). Au tout debut du texte, la répétition du pronom personnel : « C'est moi, c'est moi ! » (L. 1) donne le ton du texte en marquant la solitude de Bérenger. Cette

régimes totalitaires) et la perte des repères (religieux, moraux…) traditionnels. Le théâtre de l’absurde, et notamment Ionesco, s’en fait l’écho. Prenant le contre-pied du théâtre traditionnel, il se caractérise par un mélange des registres très dérangeant : le spectateur se prend à rire, mais en même temps se sent mal à l’aise. [Présentation du texte] Dans La Leçon (1951), Ionesco met en scène un vieux professeur qui reçoit chez lui une jeune élève : après l’avoir testée, il lui donne un cours d’arithmétique

certains auteurs dramatiques. Abirached « un héritage de colère et de refus » Il s’ explique par Nietz, Rimbaud, Kafka… Il y a quatre dénominations :  le théâtre « d’ avant-garde » : Ionesco, Beckett, Adamor (écrivain d’ origine étrangère). Ils sont tous à peu près du même âge, environ 40 ans. Ionesco n’ aime pas trop ce terme « d’ avant-garde ». C’ est un terme d’ origine militaire. Il s’ agit plutôt d’ une « opposition-rupture » : « être de son temps mais contre son temps », souci de