Eugénie Niboyet

femmes participent activement aux journées révolutionnaires de février 1848. Elles s'expriment publiquement par le biais d’associations et de journaux. Les lois proclamant la liberté de la presse profitent ainsi à nouveau à la presse féministe : Eugénie Niboyet crée, le 20 mars, La Voix des femmes qui est dans un premier temps le principal relais des revendications féminines, écartées de la presse traditionnelle. Puis viendront en juin La Politique des Femmes de Désirée Gay ou encore L’Opinion des femmes

« égalité des droits » selon les Femmes de 1848. Elles portent une attention toute particulière au sens et à la valeur des mots. Dès le 25 février 1848, le droit au travail est proclamé. Les femmes actives de l’époque (Désirée Gay, Jeanne Deroin, Eugénie Niboyet) entendent favorablement les républicains. Le gouvernement a promis d’ « effacer toute distinction de classes et d’abolir tous les privilèges ». Les femmes vont même demander à « accomplir tous leurs devoirs ». Le gouvernement doit donc faire

l'impulsion de Ledru-Rollin en mars 1848 : en sont exclus ceux qui sont privés de leurs droits par la justice, les faillis, les déments internés?et les femmes ! En 1848, un petit mouvement commence à manifester en faveur du suffrage féminin : Eugénie Niboyet, Jeanne Deroin, Louise Colet et Adèle Esquiros lancent deux journaux : « La Voix des femmes », puis « L'Opinion des femmes ». Leur combat est centré sur la liberté civile et politique des femmes. Un seul député réagit positivement, Victor Considérant

même d'assister aux réunions. En 1850, la loi Falloux oblige les communes de plus de 800 habitants à ouvrir une école primaire spéciale pour les filles. Au cours du 19°siècle, de nombreux personnes défendent l'idée des droits des femmes: Eugénie Niboyet crée La Voix des Femmes, en 1848, qui est un journal socialiste et politique, Hubertine Auclert qui lance le journal La Citoyenne en 1881, Maria Martin crée le Journal des Femmes en 189 et Marguerite Durand crée La fronde, journal quotidien,

place de la bastille et brandissent des affiches ‘La Française doit voter’. Cette | | |revendication a été exprimée la première fois en 1848 par Eugénie Niboyet qui a crée « La voix des femmes », réclamant le droit de vote. | | |La conquête

fouriéristes de la capitale. Les féministes participent à l'abondante littérature de l'époque, favorisée par la levée de la censure sur la presse. La Femme Libre et La Tribune des femmes paraissent en 1832 ; Le Conseiller des femmes, édité à Lyon par Eugénie Niboyet, est le premier journal féministe de province. Sur le plan politique, la constitution de la Monarchie de Juillet privant de ses droits la majorité de la population, leur combat rejoint celui des premiers défenseurs des ouvriers et des prolétaires

socialistes de la capitale. Les féministes participent à l'abondante littérature de l'époque, favorisée par la levée de la censure sur la presse. La Femme Libre et La Tribune des femmes paraissent en 1832 ; Le Conseiller des femmes, édité à Lyon par Eugénie Niboyet, est le premier journal féministe de province. Les femmes se mobilisent contre le statut civil de la femme, soumise en matière juridique et financière à son mari (« La femme doit obéissance à son mari » affirme le Code civil ) et pour le rétablissement

de la société de 1789 ». septembre 1791 Olympe de Gouges publie la Déclaration des droits des femmes (article 10 : « La femme a le droit de monter sur l'échafaud, elle doit avoir également celui de monter à la tribune »). 20 mai 1848 Eugénie Niboyet crée La voix des femmes. 5 mars 1848 Le Gouvernement provisoire de la République instaure le « suffrage universel » masculin. 1849 Jeanne Deroin fait acte de candidature aux élections législatives du 13 mai ; sa campagne est tournée en

et l’écrivain Léon Richer fondent l ‘Association pour le droit des femmes qui sera présidé par Victor Hugo. Des journaux sont créés pour revendiquer les droits des femmes et faire entendre leurs voix tels que: La voix des femmes en 1848 par Eugénie Niboyet, Le journal des femmes en 1891 par Maria Martin, La Fronde en 1893 par Marguerite Durand qui était un journal quotidien et qui passera mensuel de 1903 à 1905. C’est en 1888 que le CIF (Conseil International de la Femme) est fondé. Les féministes

vaudra d'être guillotiné en 1783. Entre 1783 et 1848 ( début de la 2eme République), la monarchie revient au pouvoir et les femmes son exclues de toute la politique. Par la suite, plusieurs féministe recommencent la guerres des sexes telles que Eugénie Niboyet qui crée " La voix des femmes " où elle réclame le droit de vote des femmes. Ou bien encore Hubertine Auclert qui crée à son tour " Le droit des femmes ", association de 1877 puis plusieurs journaux sont publiés tels que " Le journal de la citoyenne