Ex-voto

grande surprise : « Ah! traître! ». Or il suffira d’une phrase de Chrysalde, « C’est Monsieur de la Souche, on vous l’a déjà dit », pour qu’Horace comprenne le machiavélisme d’Arnolphe et sa propre erreur. Molière recourt à la technique du « deus ex machina », héritée de la comédie antique. Un personnage, souvent un dieu ou un envoyé des dieux, descendait d’une « machine » sur scène, et venait tout arranger en révélant la vérité : une naissance secrète, un enfant enlevé… Or ce procédé n’est guère

(renversement brutal), de quiproquos (qui retardent l’action) et de rebondissements (propres à compliquer l’intrigue). • Le dénouement. Il doit être complet et rapide, de manière à résoudre entièrement les conflits présents dans l’intrigue. Le Deus ex machina est un dénouement qui fait intervenir une action divine. Hamlet, 1603. Problématique: Une tragédie de la vengeance. Le dénouement de Hamlet transforme t-il l'injustice en justice ? Lectures: -Les précieuses ridicules, Molière. -Intermezzo

qui se fait passer pour un héros, une personne d’exception. Le singe n’a rien de poétique, bien au contraire : il est vulgaire ! C’est Victor Hugo qui se cache derrière le belluaire et il vient apporter une solution miraculeuse, une sorte de « deus ex machina ». On a une image de dévoilement, d’un masque qui tombe, comme au théâtre. Il veut lancer un message qui est une mise en garde : on peut toujours se faire duper par un imposteur. Conclusion : Le texte constitue un apologue avec une argumentation

Le portrait que le héro brosse de lui-même DOM JUAN, Acte III, scène 2 : La tentation du pauvre I. La remise en cause de l’aumone II. La tentation du lois d’or III. L’attitude de Sganarelle DOM JUAN, Acte V, scènes 5 et 6 : Les deux ex machina I. Un dénouement tragique II. Le dénouement est précipité et baroque III. Le courage de DJ IV. La statue V. Sganarelle Alain, Propos sur le bonheur I. Les trois idées générales et sur le lien II. Convaincre A. La structure

quasi-psychanalitique. Il est le support d’images oniriques complexes qui ne demandent qu’à s’extérioriser. Dans Les Chaises, - il détermine une tension continue et croissante à savoir celle du vide démoralisant - il joue le rôle d’un Deus ex machina qui viendrait non pas susciter un renversement de situation, mais plutôt mettre un terme à une séquence qui menacerait de trop durer. Ainsi, dans l’œuvre, le temps est Mort (donc tragique), car après avoir ramené au seuil de la mémoire des

découpage du texte : acte - scène o la présentation du texte : didascalie - monologue - tirade o Les genres : comédie - comédie de caractère – drame – farce - tragédie o Les procédés d’écriture ; scène d’exposition - coup de théâtre - deus ex machina - dénouement Le metteur en scène Emmanuel Demarcy-Mota : né en 1970, acteur, dramaturge et directeur de théâtre français. 1992 : monte L’Histoire du soldat de Ramuz (Théâtre de la Commune d’Aubervilliers). 1999, prix de la révélation

la dimension théâtrale apporte du sens au texte. I) Ces deux scènes constituent le dénouement 1) L’intervention du surnaturel Don Juan ne peut être arrêté par les humains donc c’est dieux qui se doit de l’arrêter grâce au spectre et à la statue (Deus ex machina) On voit la scène de la punition alors que l’usage veut que dans la tragédie on ne le voit pas donc parodie de la tragédie. Femme voilée = toutes les femmes que Don Juan a séduit Représentation du temps = allégorie de la mort Spectre relayé

• Deux dernières scènes de la pièce. Dénouement : châtiment de Don Juan par le ciel après son ultime péché, l’hypocrisie. • Scènes où apparaissent deux personnages surnaturels (deus ex machina) • Dernier duel entre Don Juan et le Ciel : dénouement classique ? I. Le ciel descendu sur scène 1° Une dernière tentative pour sauver Don Juan : le spectre a)spectre, femme voilée qui peut rappeler toutes les femmes trahies par Don Juan personnage religieux « voilée » qui rappelle Done Elvire.

Aroun Arachide et finalement, c’est par l’effet très théâtral d’un deus ex machina que le roman se dénoue27 : un personnage mystérieux - en réalité Marcel(ine) repérable par sa douceur – active le monte-charge pour sauver Gabriel etson clan. Le dernier chapitre joue simplement le rôle d’un épilogue28. Au fond, le genre sexuel de Marceline importe peu, dans le dénouement à proprement parler, le fait que Marceline deus ex machina soit masculin ou féminin n’a pas de sens : le genre est neutralisé

différents événements qui surviennent avec le problème de la vraisemblance et qui constituent parfois des « coups de théâtre » inattendus et brutaux. > Le dénouement : qui doit être complet et naturel même si les auteurs ont parfois recours à un deus ex machina, c’est-à-dire une solution artificielle par l’intervention d’une force extérieure. > La quête d’un objet par un sujet : un personnage/héros (le sujet), poussé par des motivations intérieures ou des demandes extérieures (le destinataire ou l'émetteur)