Excipit Condition Humaine

extrait de L'Etranger présente un personnage en apparence assez simple mais qui devient plus complexe, notamment par son extrême sensibilité aux sensations et à sa vision confuse du monde qui annoncent le meurtre. On peut rapprocher ce texte de La Condition Humaine d'André Malraux à la différence que Meursault est un personnage passif, qui va subir les événements, alors que Tchen est un homme actif, qui agit poussé par un idéal.

La Condition Humaine La Condition humaine est un roman d'André Malraux publié en extraits à Paris dans la Nouvelle Revue française et dans Marianne, et en volume aux éditions Gallimard en 1933 pour lequel il obtient le prix Goncourt à la fin de la même année. En 1950, ce roman fut inclus dans la liste du Grand Prix des meilleurs romans du demi-siècle. Contexte historique : En mars 1927, l'Armée révolutionnaire du Kuomintang sous le commandement de Tchang Kaï-Chek est en marche vers Shanghai

André Malraux (1901-1976) La condition humaine (1933), incipit Après la publication des Conquérants en 1928, La Voie royale en 1930, Malraux fait paraître La Condition humaine en 1933 (d’abord dans la Nouvelle Revue française). Le roman connaît un grand succès et Malraux se voit décerner le prix Goncourt. Ce roman évoque la Chine de Tchang Kaï-chek (1887-1975) et ses conflits politiques. Première partie 21 mars 1927 Minuit et demi.      Tchen tenterait-il de lever la moustiquaire ? Frapperait-il

La Condition humaine relate le parcours d'un groupe de révolutionnaires communistes préparant le soulèvement de la ville de Shanghaï. Au moment où commence le récit, le 21 mars 1927, communistes et nationalistes préparent une insurrection contre le gouvernement. Pour s'emparer de sa cargaison, Tchen poignarde un trafiquant d'armes. Kyo et Katow, soutenus par le baron Clappique, peuvent alors distribuer le fret aux combattants clandestins. L'insurrection a lieu le lendemain, et ils remportent facilement

crime. Dans ce passage, l'auteur se penche sur la condition humaine pour critiquer le mode de vie des mortels et leurs proposer un mode de vie les rendant heureux. I. Un tableau pessimiste de la condition humaine A. Les reproches adressés aux hommes B. Le bonheur II. Un mode de vie idéal: celui du sage A. La vie du sage 1. A l'écart 2. Le sage connait le bonheur B. Comment être heureux: un mode de vie à la portée des humains 1. Se contenter de plaisirs simples 2

L’absurdité du destin dans la Condition Humaine I) L’absurdité du hasard dans le destin de l’Homme 1) Un hasard menant à la mort * Si Tchen était passé plus tard chez Hemmelrich il aurait vu Katow qui aurait pu l’empêcher de commettre son attentat suicide en l’informant de l’absence de Chang-Kai-Shek dans la voiture. * Si Clappique avait perdu tout son argent rapidement, il serait sorti de la maison de jeux et aurait rejoint Kyo au rendez vous. Le hasard n’étant pas de son coté

être dans la moyenne, divers, ondoyant, et surtout plus riche que tous les modèles idéaux auxquels on s'efforce de l'identifier. Les Essais sont de ce point de vue à l'opposé de tout système philosophique ; si Montaigne cherche la réalité de la condition humaine, c'est à travers l'observation de ce qu'elle a de plus quotidien, de plus banal — chez lui comme chez les autres. À cela s'ajoute la malice de l'auteur à diminuer ce qu'il écrit : « Toute cette fricassée que je barbouille ici n'est qu'un registre

suffocation convulsive. Presque en même temps, l’autre : un cri étranglé auquel nul ne pris garde. Puis, rien. Katow se sentit abandonné. Il se retourna sur le ventre et attendit. Le tremblement de ses épaules ne cessait pas ». André Malraux, La Condition Humaine, Paris, Gallimard, 1933. A partir de  différentes approches proposez une ou plusieurs interprétations   et authentifier les significations mises à jour par des références précises empruntées à cet extrait d texte.

DEL PINO Elizabeth Français VI La condition humaine `L’expression :« la condition humaine» parle de l’expérience complète de l’être humain, une expérience limitée á la morte. Dans le livre d’André Malraux cette condition se fusionne avec une révolution :celle de la Chine, en 1927.` `Lorsqu’une révolution commence, il y a des signes qui l’annoncent, pour analyser ce fragment nous étudierons d’abordla personnification du train et son double processus de puissance irrépressible et demachine

fondamentale de la condition humaine ; de fait, il met en exergue la misère de l’Homme sans Dieu et sa félicité avec Dieu. C'est pourquoi nous pouvons nous demander si les Pensées sont l'œuvre d'un « misanthrope sublime? » comme le considère Voltaire. Sachant qu'un misanthrope est une personne qui n'aime pas les Hommes, il s’agira pour nous d’étudier quelle figure de l’Homme nous est donnée dans Les Pensées de Pascal. Dans un premier temps, nous verrons en quoi consiste la misère humaine, en montrant