Existe T Il De Liberté Sans Contrainte

L'indépendance est le contraire de la dépendance, du verbe latin dependere, être attaché à quelque chose ou quelqu'un. Le mot de liberté, souvent considéré comme un synonyme d'indépendance, paraît cependant désigner un champ plus vaste, moins précis, moins concret. La question posée semble définir des rapports entre les deux termes. La nécessité de l'indépendance pour acquérir la liberté est reconnue par la formulation. Mais cette condition est-elle suffisante ? Nous rappelons que dans l'Antiquité

de tous les jours la liberté est définie par l’action de faire ce que nous voulons ou ce qui nous plait. Plusieurs prisonniers parle que la prison est un endroit où la liberté n’existe pas. Elle est donc définie par l’absence totale d’obstacle cependant au cours de notre vie, plusieurs obstacles apparaissent mais ce n’est pas pour autant que l’on ne n’est plus libre. On peut alors se poser la question si être libre, est-ce ne rencontrer aucun obstacle ? En soit la liberté se distingue du désir

représentation mentale. La norme existe d’une façon différente de l’être dans le sens où elle n’est jamais observable, c’est toujours un objet de pensée. La norme c’est ce qui devrait être mais qui parfois n’est pas (normalement ce devrait être comme ça etc.) La norme peut être de politesse, coutumière, juridique etc. Seul un être libre c’est à dire un être pensant, doté de son libre-arbitre, peut comprendre et obéir à une norme ; même créer une norme. Le sens faible du mot liberté : absence d’empêchement

l’entreprise pour le droit | | | | | |aujourd’hui ? |Existe-il une définition juridique du |Pas de définition légale de l’entreprise mais des critères | | | | |l’entreprise ?

Être libre est-ce ne rencontrer aucun obstacle ? La liberté se définirait communément par l’absence de contrainte et d’obstacle, qu’ils soient matériels, physiques, psychologiques, moraux, juridiques ou encore politiques. L’obstacle empêche la progression de l’homme, lui laissant le choix entre la force, la ruse ou le renoncement. Il est à la fois négatif et positif : il oblige l’homme à s’arrêter momentanément et à se confronter à une difficulté, mais peut lui permettre une réflexion dans le

PROBLEMATIQUE : L’enjeu est de comprendre et d’analyser comment, de quelle manière et par quels moyens, le droit va influencer, changer les libertés des individus qui composent une civilisation. Le droit permet-il une liberté aux individus qui composent une civilisation ou au contraire diminue cette liberté ? Les notions principales sont : la société, la liberté, le droit subjectif/ objectif, l’Etat, le pouvoir, et les devoirs. PLAN : I) Le

fait. Nous étudierons des oeuvres théâtrales du XVII au XIX qui présentent de nombreuses règles et des libertés. Nous pouvons donc nous demander si le théâtre est le lieu de la contrainte. Nous montrerons tout d’abord les contraintes aussi bien stylistiques que matérielles puis nous examinerons quelles sont les libertés que comporte le théâtre. Le théâtre est un lieu où demeure des contraintes stylistiques en premier lieu avec l’exemple du classicisme qui à des règles très précises comme la règle

Philosophie Aimer, est-ce vouloir posséder une liberté ? Introduction La possession est l’art naturel de l’homme. Tout homme qui se respecte souhaite posséder, et l’homme possédant le plus est le Chef. Pour autant, posséder la liberté de chacun c’est empêcher les individus de porter à réflexion. Empiéter sur la liberté de chacun, est-ce aimer l’homme ? Est-on libre si l’on aime ? I) Aimer Aimer : « Aimer c'est donner ce que l’on n’a pas à quelqu'un qui n'en veut pas...» Jacques Lacan

LA LIBERTÉ On devient libre, on ne nait pas libre on le devient en faisant des chois et en acceptant des contraintes EX : le pianiste pourra improviser, jouer, créer faire preuve de liberté dans la mesure ou il aura acquis un certain nombre de structure de contraintes et de codes Nos potencialité ne peuvent se developper que par le travail (la contrainte, la repetition), et c'est par cela que l'on peut acquerir une liberté de penser. Ce texte nous permet de dialectiser les notions

« Le nom de veuve emporte celui de liberté » Mme de SEVIGNÉ dans une lettre à sa nièce. Bon nombre des pièces de Molière témoignent du fait que le statut de la femme n’est guère enviable : mariée contre son gré et considérée comme un être dont la sensibilité interdit un raisonnement sérieux, elle ne peut donc prétendre à une autonomie et doit passer de la tutelle de son père à celle de son mari. Un tel statut la conduit à ne pouvoir être un être comme les autres, et semble nous enseigner rétrospectivement