Exorde Oraison Funebre Bossuet

pratique de l'oraison funèbre remonte à l'antiquité, elle devient un genre littéraire au seizième siècle, principalement après la mort d'Henri IV. Au dix-septième siècle où écrit Bossuet, elle est généralement constituées de quatre élément: la déploration, visant à créer une profonde émotion collective. l'éloge du défunt, parfois délicat dans le cas de personnages comme Le Tellier. l'instruction des fidèles. enfin, une place est accordée à l'actualité. Bossuet n'appréciait guère

elocutio, dispositio, actio, memoria. 3 Genres : genre épidictique ou démonstratif = louer ou blâmer comme ds les oraisons funèbres, c’est le lieu de l’amplification, de l’emphase. C’est le genre le moins argumentatif, c’est un discours d’apparat. Il s’agit de convaincre l’auditoire du bien fondé de valeurs ds le respect desquelles il est censé communier avec l’orateur. (cf. Bossuet.) / Genre délibératif qui vise à conseiller ou à dissuader d’une action future = lieu du possible. Ex. le sermon //

FICHE METHODE N°4, BOSSUET, Oraison d'Henriette d'Angleterre, 1670. Auteur : Jacques-Bénigne Bossuet, (27 septembre 1627 à Dijon - 12 avril 1704 à Paris) était un homme d'Église, prédicateur et écrivain français. Mouvement Littéraire : Classiscisme. Plan Détaillé I - Un exorde d'oraison funèbre A - L'implication de l'orateur Adresse initiale à "Monseigneur" = Grand Condé, prince de sang = réprésentant le plus prestigieux de l'assemblée. Présence du "je" ( = Bossuet ) + champs lexicaux discours/texte

EXAMEN DU REVET SUPERIEUR BOSSUE ORAISON D'HENRIETTE ÉDITION FUNÈBRE D'ANGLETERRE ANNOTÉE PAR FRÉDÉRIC GODEFROY Auteur ol'Histoire Littérature d dela l française epuiseXVIesiècleusqu'à d j nosjoiirs OUVRAGE PAR L'ACADÉMIE COURONNE FHANÇAISE PARIS GAUME ET Cie, EDITEURS 3, RUE DE L'ABBAYE,3 1882 BOSSUET ORAISON FUNÈBRE DK HENRIETTE D'ANGLETERRE GAUMEet Gie éditeurs, 3, rue de l'Abbbaye,-àParis LE NOUYElU: TESTAMENT CHRIST: nouvelle DE N. S; JÉSUS Traduction

défenseurs de l’esclavage et montre leur absurdité. Il défend l’égalité entre les humains malgré leurs différences physiques. · Le sermon : les sermons de Bossuet (1662) · L’oraison funèbre : Oraisons funèbres de Bossuet (1689) · La maxime : Réflexions ou sentences et maximes morales de La Rochefoucauld (1664) · Adresse aux membres

mercuriales ou philippiques. À l’éloquence de la chaire et au genre académique, se rapportent tous les exemples de discours épidictique, panégyriques, oraisons funèbres ou éloges, mais aussi les sermons, homélies, prônes, ou dissertations oratoires. Le discours se partage en un certain nombre de parties plus ou moins essentielles, exorde, proposition ou narration, division, confirmation, réfutation, péroraison ou conclusion, qui sont depuis les Anciens l’objet d’une étude et de règles spéciales

mercuriales ou philippiques. À l’éloquence de la chaire et au genre académique, se rapportent tous les exemples de discours épidictique, panégyriques, oraisons funèbres ou éloges, mais aussi les sermons, homélies, prônes, ou dissertations oratoires. Le discours se partage en un certain nombre de parties plus ou moins essentielles, exorde, proposition ou narration, division, confirmation, réfutation, péroraison ou conclusion, qui sont depuis les Anciens l’objet d’une étude et de règles spéciales

pour but de décider des décisions à prendre et on y discute de leur côté utile ou nuisible. C’est un discours orienté vers l’action. Le genre épidictique, qui est celui de l’éloge et du blâme. Il s’agit souvent de discours d’apparat, comme les oraisons funèbres. Le genre démonstratif s'adresse à un auditoire réuni à l'occasion d'un événement particulier tel qu'un mariage, un décès, une réception officielle. C'est là qu'on loue ou blâme; c'est là qu'au travers de la louange ou du blâme, on instruit des

(au lieu de : il est mort). « L’époux d’une jeune beauté Partait pour l’autre monde » (LA FONTAINE, Fables, « La Jeune Veuve », VI, 21) : l’euphémisme (un voyage dans l’autre monde) atténue ici l’évocation déplaisante de la mort de l’époux. Exorde (genre masculin) : en rhétorique, la première partie d’un discours, qui a souvent pour but d’attirer l’attention et la bienveillance de l’auditoire. Focalisation (ou Point de vue) : dans un roman, on doit analyser le point de vue choisi pour présenter

1 Pierre-Alain Clerc DISCOURS SUR LA RHETORIQUE MUSICALE ET PLUS PARTICULIEREMENT LA RHETORIQUE ALLEMANDE ENTRE 1600 ET 1750 - EXORDE - Mesdames et Messieurs1, Le 14 mai 1737 paraît à Hambourg, dans Der Critische Musicus, un texte de Johann Adolf Scheibe, le fils du grand facteur d’orgues que Johann Sebastian Bach admirait tant. L’auteur, âgé de vingt-neuf ans, déclenche ainsi cette fameuse “polémique esthétique” qui va durer plusieurs années : “Enfin, M.***, à ***, est le plus distingué parmi les