Explication De Texte De Schopenhauer Sur La Religion

choses belles, elles participent de l’idée du beau. Exemple : un coucher de soleil, c’est beau = le temps que dure le coucher de soleil est un moment de beauté. Après, il y a par exemple la nuit céleste comme autre représentation de la beauté. Petit texte qu’il a distribué sur La beauté absolue. Socrate s’interroge sur qu’est-ce que c’est que l’amour sur le plan philosophique ? Il explique qu’il a compris ce que l’on désire véritablement quand est amoureux. C’est le commun des hommes, et ce que l’on

naissons tous philosophes La question philosophique est spontanée/naturel et tous les enfants posent d'eux-même des questions philosophiques. Les enfants posent des questions métaphysiques ( au-delà ; « physis » → nature) => ne s'observe pas. Texte de Schopenhauer : Le monde comme volonté et comme représentation A quelle question l'auteur répond t-il ? (problématique) : D'où vient la philosophie ? ; Quelle est l'origine/la source ? ; Qu'est-ce qui nous pousse à philosopher ? Quelle est sa thèse 

travail et la technique ; la religion ; l'histoire. • La raison et le réel : théorie et expérience ; la démonstration ; l'interprétation ; le vivant ; la matière et l'esprit ; la vérité. • La politique : la société ; la justice et le droit ; l'État. • La morale : la liberté ; le devoir ; le bonheur. b)  Série économique et sociale • Le sujet : la conscience ; l'inconscient ; autrui ; le désir. • La culture : le langage ; l'art ; le travail et la technique ; la religion ; l'histoire. • La raison et

un instant, réfléchir avec pessimisme au sens de la vie. Effectivement, si l’on venait à comparer la somme de toutes les souffrances à la somme des plaisirs que l’on éprouve dans son existence, on se rendrait compte que la souffrance prédomine. Schopenhauer affirme d’ailleurs, dans Le monde comme volonté et comme représentation, que « la vie donc oscille, comme un pendule, de droite à gauche, de la souffrance à l’ennui ; ce sont là les deux éléments dont elle est faite, en somme ». D’où l’interrogation

mécanisé, « asservi » ; d’un instinct logique caractéristique d’une forme de vie du sujet sculptée par des circonstances précises. Nietzsche reprend ces termes au profit de sa philosophie qui se calque dans un premier temps sur la philosophie de Schopenhauer. Nietzsche fait donc de l’instinct un principe explicatif des types d’individus (par exemple l’homme moderne, le noble, le style du peuple grec antique) et de la vie. Un principe qui est manié en opposition à l’idéalisme des Lumières et à un certain

traitements dont une même notion aura pu être l'objet dans des moments distincts de son enseignement. • Le sujet : ▪ la conscience ; ▪ l'inconscient ; ▪ le désir. • La culture : ▪ l'art ; ▪ le travail et la technique ; ▪ la religion. • La raison et le réel : ▪ la démonstration ; ▪ le vivant ; ▪ la matière et l'esprit ; ▪ la vérité. • La politique : ▪ la société et l'État ; ▪ la justice et le droit. • La morale : ▪ la liberté ; ▪ le

proposés aux élèves. Par exemple, la distinction cause/fin peut être impliquée dans l’examen des notions de vérité, d’histoire, de liberté, d’interprétation, de vivant, ou la distinction idéal/réel peut intervenir dans celui des notions d’art, de religion, de liberté, de bonheur, etc. C’est aussi pourquoi ces repères ne feront en aucun cas l’objet d’un enseignement séparé ni ne constitueront des parties de cours ; le professeur déterminera à quelles occasions et dans quels contextes il en fera le

moins méchant s’appuie sur l’iconographie. Diderot introduit en France le mot anglais Spline. 19ème siècle : mal de siècle naît. Pessimisme littéraire. Mot allemand (Richter) der Welt/schmerz (monde/douloureux) / Die Schmer/mut (lourd/esprit) Texte de 1820 : Esquirol (1772-1840) très important il redéfinit cette terminologie, inventeur de la psychiatrie moderne de La lypémanie ou mélancolie. Se réfère encore à Aristote. « La mélancolie ne dépend pas toujours de la bile » propose de redéfinir

psychanalyse et de la spéculation Ŕ4Ŕ philosophique, Schopenhauer occupe une place centrale entre Fechner et Nietzsche : « Les concordances étendues de la psychanalyse et de la philosophie de Schopenhauer (il n’a pas seulement défendu la primauté de l’affectivité et l’importance prépondérante de la sexualité, mais il a même deviné le mécanisme du refoulement) ne se laissent pas ramener à ma connaissance de sa doctrine. J’ai lu Schopenhauer très tard dans ma vie » (p. 100). Quoi qu’il en soit de

1. Une production humaine 5 2. La question de l’utilité 5 3. Un statut social 6 B. La notion de beauté 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7 3. La norme du goût (Hume) 8 C. La création artistique 8 1. Le mythe de l’inspiration (Kant) 8 2. La création est le fruit d’un travail (Nietzsche) 9 3. Le créateur selon la psychanalyse (Freud) 10