Explication De Texte Hume

jamais personne ne puisse séparer le «mot» de son sens, sauf à recourir au méta-langage d'une définition : si la distinction permet de décrire la structure de l'image d'une façon cohérente et simple et que la description ainsi menée prépare une explication du rôle de l'image dans la société, nous la tiendrons pour justifiée. Il faut donc revenir sur chaque type de message de façon à l'explorer dans sa généralité, sans perdre de vue que nous cherchons à comprendre la structure de l'image dans son

certain areas of the philosophy of knowledge, especially those connected with our knowledge of our own mental states. * Je tiens à remercier Renée Bilodeau et Claude Savary pour leur lecture patiente et critique de versions préliminaires de ce texte. Je tiens aussi à remercier Robert Waldron pour m'avoir aidé à traduire les passages cités. Il va sans dire que je suis seul responsable des obscurités et erreurs que pourrait contenir cet article. 422 PHILOSOPHIQUES Introduction Certains objets

entre diverses grandeurs (calcul infinitésimal, combinatoire…) 2. Philosophie de la connaissance : méthode de connaissance conçue soit sur le modèle algébrique de la résolution(Descartes), soit sur le modèle physique de la décomposition (l’empirisme, Hume, Condillac…) Synthèse 1. Sens ordinaire : moyen par lequel des thèses ou opinions diverses, éventuellement opposées, sont réunies ensemble et conciliées. 2. Chez Hegel : 3e moment de la dialectique, qui unit en les dépassant et en les conservant

programme. Le sujet = l’homme en tant qu’il est auteur de ses représentations et de ses actions → sujet de la connaissance (représentations = connaissances fournies à l’esprit par les sens ou par la mémoire) et sujet de droit (actions). Etude du texte de Pascal, Pensées, fragment 347, « Le roseau pensant ». L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature; mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser: une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour

aujourd’hui. Parmi le grand nombre des éditions de Gargantua, j’ai choisi celle de MarieMadeleine Fragonard 3 puisqu’elle comprend deux versions, une version originale en français moyenâgeux et une plus moderne. Le texte moderne est utilisé dans ce mémoire quand il s’agit des exemples dans le texte. La version originale se retrouve dans l’annexe à la fin du mémoire toutefois dans un autre ordre que dans le mémoire, j’ai choisi de les mettre dans le même ordre que dans le livre. Il y a plusieurs livres qui

qu’une revue comme le Philosophoire propose de livrer une partie des nombreux textes inédits qui constituent à ce jour l’héritage réel de la pensée de Jules Lagneau. Gageure ? En tous cas nous ne commençons pas ici par le plus facile, et un tel texte nécessite sans doute quelques rappels et quelques précisions. Jules Lagneau (1851-1894) a enseigné successivement à Sens, Saint-Quentin, Nancy, où il eut Barrès pour élève, et enfin Vanves. Si c’est à Vanves que son enseignement rayonne de cette

tout intention, ou plus exactement « intentionnalité » : capacité de former une intention, c’est-à-dire mouvement par lequel un objet devient présent (sous forme de représentation) à un sujet ou acte par lequel un sujet « vise » un objet (voir le texte de Sartre dans les textes complémentaires en rapport au cours). Mais il faut aller plus loin pour saisir clairement ce qu’est la conscience perceptive chez l’homme, ce qui en fait sa spécificité… En effet, celle-ci ne se limite pas à distinguer

partir de l’œuvre de KARL MARX, CONTRIBUTION À LA CRITIQUE DE L'ÉCONOMIE POLITIQUE. Traduit de l'allemand par Maurice Husson et Gilbert Badia. Paris : Éditions sociales, 1972, 309 pages. L’ouvrage comporte 3 textes : 1er texte : Critique de l’économie politique 2e texte : 3e texte : Introduction à la critique de l’économie politique Fragment de la version primitive de la «Contribution à la critique de l’économie politique» (1858). Karl Marx (1859), Contribution à la critique de l’économie politique

faut-il répondre au protectionnisme par du protectionnisme ? (unilatéralisme ou réciprocité) • existe-t-il des lois en économie ? Quelle est leur nature ? • existe-t-il un niveau de l’intérêt plus favorable à la croissance économique ? Une théorie : explication détaillée de la façon dont un corps d’hypothèses conduit à une conclusion ou une série de conclusions. 1 1 • • comment définir la richesse ? comment choisir entre deux politiques économiques ? Evidemment les deux « histoires », celle

c'est assigner une cause. C'est ce qu'écrit Karl Popper : "Je propose de dire que le but de la science, c'est de découvrir des explications satisfaisantes de tout ce qui nous étonne et paraît nécessiter une explication"[15]. Ici, il convient de préciser le statut de ce qu'est une explication scientifique. Comme l'écrit Michel Bitbol : "Une explication scientifique est traditionnellement définie comme une assignation causale. On parvient à expliquer un phénomène si on l'a relié de façon