Explication Texte Hobbes Desir

normative formelle à un certain donné empirique minimum. Or, l’aspiration au souverain Bien est quelque chose de tel parce qu’elle résulte de l’application de la loi morale au contexte d’un 5 être raisonnable fini qui ne peut s’empêcher de désirer le bonheur. L’aspiration au souverain Bien apparaît alors comme une détermination métaphysique, partant a priori, du concept d’un être raisonnable fini. La théorie du souverain Bien est issue d’une réflexion entreprise a priori sur l’essence de

ancêtres (Comte, Tocqueville, Marx) " " 2.2 traditions nationales fondatrices puisqu’on a choisi de distinguer de grands ancêtres plutôt que des pères fondateurs (analyse idéale-typique, c’est-à-dire qui ne prétend pas à l’exhaustivité) " " France - explication, " " Allemagne - compréhension, " " États-Unis - interaction sociale, " " 2.3 les grands système théoriques " " fonctionnalisme, structuralisme, culturalisme (en sociologie) " " théories contemporaines… Retour aux manière de voir ! Conclusion générale :

par une pénétration du quotidien par des forces sacrées théologie, qui, sous une forme plus systématisée, repose sur l’existence d’un sacré plus lointain, séparé de la vie quotidienne(transcendant) philosophie et science, qui proposent des explications sans recours à un sacré. La société comme réalité subjective L’intériorisation se fait par la socialisation, primaire et secondaire. Mais comment se maintient et se transforme la réalité ainsi intériorisée ? La maintenance de routine se fait

ne nie pas l’existence et l’importance du souci pédagogique, même si cette reconnaissance prend, dans son argumentation, la forme d’un retour à Platon, pour qui la pédagogie ne renvoie pas à la psychologie mais aux nécessités de la pensée dans son désir du Vrai, mais aussi du Bien et du Beau, contre Piaget qui, fondant la pédagogie sur la seule psychologie, ne peut produire qu’une doxologie et nous enferme dans le cercle des opinions. C’est pourquoi la conclusion reste malgré tout nuancée : “(..)

LA POLITIQUE D'ARISTOTE TRADUITE EN FRANÇAIS D'APRÈS LE TEXTE COLLATIONNÉ SUR LES MANUSCRITS ET LES ÉDITIONS PRINCIPALES J. BARTHÉLÉMY-SAINT-HILAIRE DEPUTE A L'ASSEMBLEE NATIONALE Membre de l'Institut (Académie des Sciences morales et poétiques.) TROISIÈME ÉDITION Revue et corrigée. PARIS LIBRAIRIE PHILOSOPHIQUE DE LADRANGE 1874 Numérisé par Abbé Stéphane TORQUEAU http://remacle.org/ Nouvelle édition numérique http://docteurangelique.free.fr 2008 Les œuvres complètes de saint Thomas

Partiel 1 : question de cours Partiel fin d’année: Commentaire de texte – méthodologie très précise 15 septembre 2011 Introduction I – Le droit A- La définition du droit Dico : « Le droit est ce qui est exigible, ce qui est permis dans une collectivité humaine » Le droit est composé d’une triade : permis, défendu, obligatoire (il y a ce que je peux faire, ce que je ne peux pas faire, et ce que je dois faire). Le droit est inhérent à la collectivité humaine : il n’y a pas de société sans

La relation entre les deux est très étroite. Les premiers pays constitués en nations (Grande-Bretagne, USA, France) sont les premiers à être entrés dans cette mondialisation libérale. N’est-ce pas le retour de cette question de la nation ? Premier texte du choix de Beshpo : Pierre Manent (français), défenseur de l’État nation. Il formule des doutes sur la possibilité de sortir du cadre national, de dépasser l’État nation. Il a publié La raison de nations. Il faut imaginer trois cercles concentriques

relative en particulier leur existence ne peut suffire à fonder ou a justifier des annexions violentes comme celles de l'Alsace-lorraine. Pour les auteurs Français une nation existe qui si ses membres ont le désir d'en faire partie. C'est ce que Renan appelle le « désir de vivre ensemble ». Ce désir s'appuie sur des éléments immatériels, une histoire partagée mais aussi la volonté de vivre ensemble dans le présent du fait d'intérêts communs et de construire l'avenir ensemble ; c est pour cela qu'on parle

peu à peu dessiné l’équilibre des pouvoirs au sein de nos institutions. La 1e expérience constitutionnelle en France fut monarchique, c’est dans le cas de la monarchie française capétienne que l’Etat à pris corps. Là, réside sans doute l’une des explications de la violence de la Révolution, on ne se défait pas de 800 ans d’expérience monarchique. Jusqu’en 1789 la monarchie apparaît comme le régime le plus naturel, le plus légitime. Le 10 mai 1789 peu après la convocation des états généraux

communauté. Depuis le Moyen-Age, la persistance de l’idée de communauté a procuré aux hommes le sentiment sans doute très fort d’appartenance à un groupe, à une communauté. C’est un sentiment si fort, que dans toutes ces communautés, est apparu un désir de se rassembler, de s’organiser, en un mot de se gouverner. Il en est donc résulté un grand fractionnement des centres de pouvoir, qui constituera, jusqu’en 1789, une limite à l’absolutisme, c’est-à-dire une limite à la possession centralisée du