Exposé Chomage En Europe

l'économie est de plus en plus ouverte, depuis les années 1970, toutes les zones du monde et tous les secteurs de l'économie sont très imbriqués. Autrement dit, tous les pays, en raison de la mondialisation, sont indépendants et, donc, de plus en plus exposés aux risques systémiques. À ce propos, Stiglitz a pu écrire : «Quand les Etats-Unis éternuent, le moral s’enrhume». La crise née au Etats-Unis, à l'été 2007, constitue immanquablement la plus grande crise systémique internationale que le monde

devait s'aggraver. Globalement, le congrès américain a salué la pertinence générale des tests et la qualité de l'information transmise au public. Toutefois, les prévisions économiques utilisées pour les tests se heurtent à l'écueil d'un taux de chômage qui pourrait bien être supérieur en 2009 à celui envisagé par le pire des scénarios des " stress tests " (8,9% contre 8,5% réellement atteint à fin mai).Ces tests ont permis d'améliorer la connaissance par le public du bilan des principales banques

l'immobilier font faillite aux État-Unis. On voit alors clairement le marché plonger après s'être retourné dès 2006. En juin 2007, c'est Bear Stearns qui annonce des pertes. Le 9 août c'est BNP Paribas qui doit geler trois fonds d'investissement exposés aux subprimes. Le 16 mars 2008 Bear Stearns en faillite est rachetée par JPMorgan. En septembre 2008 c'est au tour des banques de refinancement hypothécaire Freddie Mac et Fannie Mae de frôler la faillite. Ces événements rappellent ceux de 1929 :

Dynamiques des inégalitésDynamiques des inégalités et théories de la justice sociale[Examen écrit : questions de cours et commentaires de documents.]1ère partie (descriptive) : Les inégalités en France et dans le monde1. Inégalités, pauvreté, discriminations : questions de définitions et de mesuresa. Inégalitésb. Pauvretéc. Discriminations2. Les inégalités en Francea. Une photographie en 10 graphiques (Rapports de l’Observatoire des inégalités ; INSEE ; data-gouv.fr ; stata)b. L’évolution des inégalités

Grande-Bretagne (2 millions d'enfants) - E-U (5 millions durant l'été) - Europe de l'Est (4% des 10-14 ans) - Russie (1 million d'enfants actifs) I - 3) Les différentes formes de travail actuellement ● Agriculture (70,4 %) - employés dans des plantations - cueillette du thé, café, applications d'engrais - surveillance et soin du bétail - parfois contraints de s'exiler loin de leur famille dans le cadre d'accords illégaux - exposés aux dangers : produits toxiques, des machines agricoles, chaleur

Principe bismarckien (régime de base français : les individus cotisent sur leur revenu et quand ils seront hors activités, ils auront une retraite liée au montant qu’ils auront versés pendant la vie active) * Par répartition * Le plus répandu en Europe * Régimes d’entreprise ou de branche à prestation définie (contributifs avec solidarité professionnelle stricte) * Par capitalisation (L’individu épargne pour sa propre retraite future) * Ex : RU * Régimes à cotisations définies

: «L'idée d'une Europe démocratique» ( UE4) Année Universitaire : 2013-2014 Professeur : Audi Etudiante : Skrapa Stavroula-Iro Titre du travail : « Refaire l'Europe, une approche philosophique» (Jurgen Habermas, sous la direction de Yves Ch. Zarka) I. Intoduction II. Vers l' Europe démocratique ? III. Comment faire une Europe démocratique ? SKRAPA STAVROULA-IRO Introduction Aujourd'hui, on constate dans un moment d'une crise profonde au sein de l' Europe. La crise montre

question nos fondements et systèmes économiques. Aujourd’hui, en 2011, la crise économique mondiale entre actuellement dans une nouvelle phase alors que des signes d’un retour à une croissance positive apparaissent dans plusieurs pays. Néanmoins, le chômage devrait rester élevé et beaucoup reste à faire pour assurer une reprise durable. Qui dit crise, dit remise en question. Nos fondements, croyances et notre confiance en ce système ont été ébranlés. L’euro ne déroge pas à cette règle et au vue de la

réelle. Le modèle libéral, bien qu’il remette en cause certains de ses fondements, a permis un rapide retour à la croissance, en utilisant le travail comme variable d’ajustement. De fait, le marché du travail US se situe toujours autour de 10% de chômage, alors que son niveau naturel est estimé à 5% environ. Les mesures anti-crise, d’abord perçues comme transitoires, semblent devoir se prolonger, à l’image de la FED qui annonce d’ores et déjà son intention de garder des taux faibles sur « une longue

correspondait à 7 pfennigs d'or. Pour une pièce de théâtre, je devais payer 300 à 400 millions. » Malgré tout, on observe l'une des plus forte croissance depuis des années. Les années 1920 marquent une période de forte croissance aux États-Unis et en Europe, due en partie aux progrès technologiques dans deux secteurs clefs, l'automobile et électricité. Ainsi, entre 1921 et 1929, la production industrielle augmente de 50 %. Le « boom » boursier n'apparaît donc pas ex nihilo. Mais il est trop rapide