Exposé Graffiti

diplomatiques au Viêt-Nam et en Iran ont brisé la confiance absolue que les Américains avaient en leur pays. Dans les quartiers périphériques des grandes villes, notamment dans le Bronx à New-York, une contreculture émerge alors de la rue. Les style dits Graffiti/ Bad Painting / Néo Expressionniste auxquels l'œuvre de J.M.Basquiat se rattache, s'opposent à la froideur du courant minimaliste qui occupait la scène artistique à ce moment-là. Son univers contraste avec l'esthétique du « propre», du « bien peint

I/ Des supports revendicateurs 1/ Le graffiti et les murs Le street art, tel qu’on le connait aujourd’hui, est en quelque sorte l’évolution du graffiti. On peut considérer les inscriptions que traçaient les hommes préhistoriques sur les murs des cavernes, ou encore des mots gravés en Grèce Antique comme tels, mais le graffiti qui nous intéresse a commencé plus tard. C’est au début des années 70 qu’un jeune coursier new-yorkais, connu sous le nom de Taki 183 (de

technique du XXI° siècle qui se réalise essentiellement à l’aide de bombe de peinture, de posca ou de marqueurs. Graffiti : Le graffiti est un dessin très travaillée, ceci est un moyen d’expression particuliers qu’utilisent les jeunes de nos jours. Ce type d’œuvre n’est pas récent, on a retrouvé des graffiti à Pompéi qui sont vieux de presque 2000 ans mais depuis toutes ces années le graffiti a beaucoup changé grâce aux nouvelles technologies ( bombes de peintures par exemple ). Maintenant, c’est un

Partie 1 Histoire du graffiti … Petite préface... Le graffiti est un phénomène qui intrigue toute personne quelque peu curieuse de son environnement urbains ;quelques soit notre jugement esthétiques à leurs propos tout citoyens a été un jour confronté à ces « tags »,ces « graffitis » (selon les appelations).Les «  graffeurs »,  « graffiteurs », « tagueurs » ne sont pas tous pauvres, noir ou des « voyous » ce sont avant tout des artistes à part entières qui pratiquent un art plus ou moins

du côté des voies de triage – il y en a une tapée à Des Moines -, et j’échouais dans une vieille gargote ténébreuse, près de la rotonde des locomotives, passai toute une journée à dormir sur un grand lit blanc, bien propre et bien dur, avec des graffitis obscènes gravés sur le mur, près de mon oreiller, et de foutus rideau jaunes tirés sur le spectacle fuligineux des rails. Je m’éveillai quand le soleil se mit à rougeoyer ; et ce fut la seule fois de ma vie qu’aussi nettement, moment étrange entre

organise ou participe à des expositions et performances au Club 57, qui devient le lieu fétiche de l'élite avant-gardiste. C'est à cet endroit que le Bébé rayonnant, un des pictogrammes les plus connus de l'artiste, fut inspiré. Inspiré par le graffiti, tenant du Bad Painting, et soucieux de toucher un large public, Haring commence à dessiner à la craie blanche sur des panneaux publicitaires noirs du métro de New York. Il grave également des dalles de grès des trottoirs dans l'East Village (elles

seul signe du mur est une rangée de pavés retraçant le chemin du mur de Berlin. D’un autre côté, des tronçons du mur ont été préservés avec le chemin de ronde pour garder cette image intacte et réaliste. On peut voir des segments du mur, ornés de graffitis, dans le paysage berlinois et beaucoup de personnes en ont gardé des morceaux chez eux. Cela permet d’entretenir le souvenir. L’article parle également des touristes qui viennent voir les restes du mur, traverser le plus connu des points de contrôle

bien sur son site perso : http://www.lachapellestudio.com/ David Fuhrer ( aka Microbot ) David Fuhrer est un célèbre artiste suisse né en 1985. Passionné d’illustration et d’ordinateur depuis son plus jeune âge il s’inspire de l’univers du graffiti et des tendances urbaines. On retrouve néanmoins entre ses projets « street » de magnifiques illustrations. Ses œuvres sont détaillées et complexes ne laissant aucune part de hasard dans le moindre détail. Il est maintenant l’auteur d’incroyable

annoncée de la peinture, et critiquant autant le " bon goût " que l'intellectualisme de l'art conceptuel, les artistes du mouvement donnent l'impression de bâcler leurs représentations graphiques. Jean-Michel Basquiat (1960-1988) utilise des graffitis disproportionnés, maladroits, chargés d'une violence gestuelle. Julian Schnabel, peintre et cinéaste, son dernier film, "Le Scaphandre et le papillon" a obtenu le prix de la mise en scène au Festival de Cannes 2007. L'artiste se fit connaître

document : Une fresque: une peinture murale. On peut aussi dire un graffiti urbain mais il faut préciser que les graffitis graffitis sont avant tout illégaux. Cette peinture est légale (donc la technique est soignée, pas de contrainte de réaliser un travail rapidement). Par contre, comme elle n’est pas sécurisée dans un musée, elle a déjà été restaurée et est actuellement à nouveau partiellement couverte par des graffitis et tags (signatures calligraphiées) illégaux. Cette fresque est donc