Exposé Sur La Folie

Baudelaire Liste des poèmes : * Louise Labé : Je vis, je meurs, je me brûle et me noie, 1555 * Pierre de Ronsard : Madrigal, 1578 * Agrippa d’Aubigné : Au tribunal d’amour, XVI° siècle * Jean de la Fontaine : L’amour et la folie, 1685 * Alfred de Musset : Une bonne fortune, XIX° siècle * Victor Hugo, Les femmes sont sur terre, 1856 * Charles Baudelaire : La mort des amants, 1857 * Charles Baudelaire : Le désir de peindre, 1863 * Paul Verlaine : Mon rêve

la tradition et la norme pour percevoir écarts et évolutions des formes poétiques, c’est-à-dire confronter la définition du sonnet et sa pratique au XIXème siècle : un élan vers la modernité - découvrir une poésie engagée ► Exposé sur Arthur RIMBAUD ► Exposé sur « Les Cahiers de Douai » Introduction [contexte] Le sonnet “Le Mal” a été inspiré à Rimbaud par la guerre franco-prussienne (Nap. III déclare la guerre à la Prusse en juillet 1870. Capitulation de Sedan le 2 septembre

de nous prouver le contraire, nous assistons à un véritable plongeon dans le cerveau d'un fou. Par conséquence le jeune homme ressent une angoisse hors norme. L'utilisation d'exclamations, presque interjections (« vrai » l.1, « attention » l.5), expose la tension et la nervosité du personnage ainsi que la répétition de « nerveux » avec « l'  » (l.1) qui entoure « épouvantablement » appartenant au champ lexical de la peur. Ensuite, la nervosité et l'excès sont créés par les parallélismes de construction

imposent, forcent le respect par leur prestance, la terreur qu’ils suscitent. Pourtant rien ne semble le distinguer d’un citoyen lambda lorsqu’il est seul, ainsi Pascal en vient à penser que seule l’ « imagination » soit les préjugés, l’apparence et la « folie» - la faiblesse de ses sujets - portent le roi au rang divin. Le statut du roi n’est donc que vanité et non choix de la nature comme on tend à le croire à l’époque où est écrite l’œuvre. Afin d’illustrer cette première idée, penchons nous sur le fragment

en avant l'horreur de la guerre. Malheureusement, la guerre ne peut pas être considérée comme le seul thème de ces poèmes engagés. Certains poètes ont divulgué à travers leurs œuvres, le colonialisme et le racisme. Par exemple, Aimé Césaire les a exposés à travers « cahier d'un retour vers le pays natal », qui est un poème d'une quarantaine de page écrit en vers libres . D'autres poètes relatent l'esclavagisme, et la liberté perdue en utilisant une ode à la fois lancinante et poétique comme Paul Eluard

Il entreprend dès lors un second discours, véritable palinodie (adressée à Éros) du premier et éloge de la folie. Les activités supérieures de l’homme participent, selon lui, toutes d’une folie qui est la marque de leur origine divine. Pour Platon, il faut distinguer quatre espèces de folie d’origine divine : la folie divinatoire, la folie initiatique, la folie poétique et enfin la folie amoureuse. Toutefois, pour comprendre ces folies, il faut connaître la nature de l’âme et établir son immortalité

Ferdinand Bardamu : Louis-Ferdinand Destouches a participé à la Première Guerre mondiale en 1914 et celle-ci lui a révélé l'absurdité du monde. Il ira même jusqu'à la qualifier « d'abattoir international en folie ». Il expose ainsi ce qui est pour lui la seule façon raisonnable de résister à une telle folie : la lâcheté. Il est hostile à toute forme d'héroïsme, celui-là même qui va de pair avec la guerre. Pour lui, la guerre ne fait que présenter le monde sous la forme d'un gant, mais un gant que l'on aurait

menaçant. Les deux sœurs annoncent leur intention de ne pas recevoir leur père s’il revient. Regan ordonne à ses serviteurs de barrer les portes du château de Gloucester contre le roi. SCENE 8) LA LANDE SOUS L’ORAGE Lear est seul sur la lande, exposé aux éléments. Rendu fou par l’orage, il maudit ses filles, lui-même, le temps et l’humanité en général. Son loyal Fou le retrouve. D’abord le Fou supplie Lear de retourner voir ses filles, mais sans succès. Il l’exhorte alors à prendre refuge dans

reconstituer le parcours artistique de Dubuffet pour ensuite définir ce qu’est le concept d’« art brut » et terminer par l’analyse de plusieurs de ces œuvres tirées de sa période « portrait » de 1947 et « Corps de dames » de 1951. Afin de réaliser cet exposé nous nous sommes référées à la bibliographie suivante : * L’art Brut, un fantasme de peintre, Céline Delavaux, édition palette, Paris 2010. * Jean Dubuffet, 1901-1985 rétrospective du centenaire, centre Pompidou direction de l’action éducative

l’ombre de son père. C'est après une conception si forte et si belle, que Shakespeare se roule à plaisir dans la fange des trivialités les plus inattendues. Horatio rentre avec un autre soldat, et Hamlet ne répond à leurs questions que par des traits de folie, dont on ne voit pas la cause, puisqu'il n'a aucun intérêt à se montrer en démence à leurs yeux, d’autant qu’il exige d’eux le serment de ne jamais révéler ce qu’ils ont vu cette nuit. Le fantôme, qui est sous terre, s’écrie : Jurez. Et Hamlet interpelle