Exprimer Le Souvenir

13 à 16. La nature est gardienne du souvenir, gardienne du temps car elle est épargnée par les ravages du temps. Le lac recueille le souvenir de l’amour passé. b) La fuite du temps et la nostalgie La femme aimée s’adresse au temps des strophes 6 à 9 : c’est une prosopopée car le poète donne la parole à une absente, cette voix d’outre-tombe est particulièrement émouvante. Le poète s’adresse au temps des strophes 10 à 12 (notamment vers 45). Le poète exprime sa nostalgie du temps passé et son angoisse

. Il ne sépare pas seulement le vers ou les mots, étroitement liés par le sens, ils encadrent aussi le poème. Le titre - ici « Le Rossignol » - étant souvent évocateur du sujet d'un texte, c'est le thème du souvenir douloureux qui est dévoilé au lecteur comme le montre « [s]es souvenirs s'abattent sur moi » (vers 2), et ce sentiment de fatalité bien que les liens avec cet oiseau soient retranscrits . L’image du poète est souvent celle d’un être souffrant et malade : l’assonance en [a] de termes

et le restituer au poète. C'est le paysage qui conserve le souvenir, et non l'écriture et qui peut dire "ils ont aimé". Pour conclure * Réflexion sur le temps, obsession du poète sur le temps qui passe inexorablement et qui emporte les moments heureux. * Note optimiste : la nature est le témoin vivant du bonheur et elle seule peut garder la trace du souvenir. * Contrairement à Rousseau, c’est le paysage qui conserve le souvenir, et non l’écriture. Conclusion Le poème "Le lac" est une réflexion

« Il est doux de pleurer, il est doux de sourire, au souvenir des maux qu’on pourrait oublier » Alfred de Musset. Car à travers cette scène, on peut voir la souffrance d’une mère qui voit son fils grandir mais pas comme elle le souhaiterait. Alfred de Musset est né le 11 décembre 1810 à Paris est meurt le 2 mars 1857 dans la même ville. Musset est un poète et dramaturge français de la période romantique. Lycéen brillant, il se donna à la littérature en 1828 . Il publie son premier recueil

Andromaque de sauver son fils du sacrifice auquel les Grecs le destinent à condition qu'elle accepte de l'épouser. Dans la scène qui suit, Andromaque s'oppose à sa confidente Céphise qui la pousse à accepter ce mariage pour sauver Astyanax. Ah! de quel souvenir viens-tu frapper mon âme! Quoi? Céphise, j'irai voir expirer encor Ce fils, ma seule joie, et l'image d'Hector? Ce fils, que de sa flamme il me laissa pour gage? Hélas! je m'en souviens, le jour que son courage Lui fit chercher Achille, ou plutôt

avec qui il a eu une liaison. Apollinaire et Marie traversaient souvent le Pont Mirabeau à Paris qui était devenu un symbole de leur amour. Dans ce poème , il se remémore cette époque.Alors, on peut se poser la question suivante: Comment Apollinaire exprime-t-il la douleur de cet échec amoureux? Dans ce commentaire, nous verrons que le temps se révèle comme une fuite cyclique. D’abord, on va analyser la permanence du poète. Enfin, on va voir que « Le pont Mirabeau » se présente comme un poème de rupture

l'année, rapidité du temps "heure fugitive" - opposition entre la demande et l'action B) Images des souvenirs - champ lexical du lieu "lac", "roches", "ondes", "flots" -> proche de lui par "ces" démonstratifs - parle sur un ton familier -> "tu" donc personnification -> le lac a des souvenirs - indices du récit -> "promenades en barque" avec aussi le passé simple et l'imparfait - souvenir heureux -> "harmonie et sérénité" par le rythme régulier et la mélodie des paroles de Julie II ) Dimension

DissertationRomain Boucher 1G2 Victor Hugo, célèbre auteur du XIX° siècle a fait paraître le recueil, de poèmes Les Contemplations en 1856 et il le présente comme les Mémoires d'une âme... C’est dire qu'il entend y exprimer des souvenirs, des émotions personnelles. Son recueil est basé sur la mort de sa fille « Léopoldine ». En lisant le recueil des Contemplations, le lecteur se trouve-t-il devant un « miroir » » ? Avec ce sujet, l’auteur essaye de nous montrer

nouvelle connaissance de l’autre : le couple s’insère dans des relations sociales ou l’autre prend place. Le partenaire peut alors être observé dans son rapport au réel et peut être ainsi mieux compris. L’objet idéal, cependant on garde en soi le souvenir de l’extase. L’auteur nous dis l.23 l’histoire d’amour finit sois par la mort ou par le mariage car la passion ne peut exister que dans un monde clos. La dernière phrase du texte indique que l’on peut garder en soi le sentiment merveilleux d’élation

La 1ère fois se justifie (adverbe « justement » et opposition « mais ») en reconnaissant sa crainte (subordonnée complétive « ce que je crains) et en introduisant une nouvelle difficulté de la mémoire : donner une version qui ne soit pas juste du souvenir (« ça ne tremble pas »), c’est-à-dire quelque chose de fixe, de définitif (« tout cuit », « fixé », « donné d’avance ») alors que la mémoire est quelque chose de fragile. Ici, Sarraute introduit l’idée qu’elle