Fable de Venise

P. 288 Van Cauwelaert P. 292 Levy P. 295 Les auteur(e)s du XVIIme sicle Il sera partag entre le baroque ( barroco perle irrgulire) (1580 1660), synonyme de fantaisie, dexubrance, est un style qui nat en Italie Rome, Mantoue, Venise et Florence la charnire des XVIe et XVIIe sicles et se rpand rapidement dans la plupart des pays dEurope. Il touche tous les domaines artistiques, sculpture, peinture, littrature, architecture, thtre et musique, et le classicisme, mouvement littraire

paternel, autant par les frais de transport que par les prix d'acquisition. Il avait employé de la même manière la succession de sa mère durant le voyage qu'il fit en Italie, après ces trois ans officiels passés à Rome. Il voulut visiter à loisir Venise, Milan, Florence, Bologne, Naples, séjournant dans chaque ville en rêveur, en philosophe, avec l'insouciance de l'artiste qui, pour vivre, compte sur son talent, comme les filles de joie comptent sur leur beauté. Pons fut heureux pendant ce splendide

Schmitz « De même que l’art délicieux et évasif du grand fabuliste ne nous laisse entrevoir que les lignes générales du décor, assez pour l’imaginer, mais sans plus, de même celui de Chagall se contente de créer l’atmosphère, l’atmosphère d’une fable ! […] Et si pour l’exprimer il a choisi les couleurs, les couleurs et rien que les couleurs, c’est que les lignes eussent pu trahir son dessein, situer inutilement la scène dans l’espace et dans le temps […]. »72 A sa voix, s’unira celle de Raïssa

population, et d’un débouché aux ambitions de seigneurs avides d’exploits, de richesses et d’aventures. Elles ont également offert de riches opportunités commerciales aux marchands des cités méditerranéennes d’Occident, en particulier Gênes, Pise et Venise. b) La peste noire La peste noire est apparue en 1334 en Chine (1320 selon certaines sources), dans la province du Hubei et se répand rapidement. Elle va s’étendre à tout l’Occident en moins de 15 ans, transmise par les marchands, les pèlerins et

population, et d’un débouché aux ambitions de seigneurs avides d’exploits, de richesses et d’aventures. Elles ont également offert de riches opportunités commerciales aux marchands des cités méditerranéennes d’Occident, en particulier Gênes, Pise et Venise. b) La peste noire La peste noire est apparue en 1334 en Chine (1320 selon certaines sources), dans la province du Hubei et se répand rapidement. Elle va s’étendre à tout l’Occident en moins de 15 ans, transmise par les marchands, les pèlerins et

11 Avec cette charrue perfectionnée, on laboure de vastes étendues de terrain. 12 Les employés contrôlent le flux des clients attirés par les soldes d’hiver. 13 La Fontaine a imaginé que la tortue est arrivée avant le lièvre ; mais ce n’était qu’une fable ! 14 Le vent violent a déséquilibré la grue du chantier, heureusement sans trop de dommages. 57 Copiez les phrases en les complétant avec des mots de la même famille que les mots entre parenthèses. 1 Gwenaëlle attend avec impatience le début (débuter)

sont l'aurore des choses." [ André Breton ] "Le venin et le parfum sont toujours dans de petits flacons." [ Luis Sepulveda, extrait de "Une sale histoire" ] "On se voit d'un autre œil qu'on ne voit son prochain." [ Jean de La Fontaine, extrait de la fable "La besace" ] "Parler juste, c'est comme chanter juste, c'est un don. Mais ça étonne moins." [ Jean Piat, extrait de "Les plumes de paon" ] "La littérature ne bégaie pas l'existence, elle l'invente, elle l'a provoque, elle la dépasse." [ EricEmmanuel

teatrale) fa pensare al testo di Sciascia, perché racconta in prima persona un’avventura personale, sebbene non ci siano dei veri e propri personaggi come in Sciascia. Il secondo (di Pietro Citati) fa pensare al testo di Rodari, perché è una favola (une fable). ■ Corrigés séquence 2 – IT11 Corrigés séquence 3 A.I.1 a) Un uomo e una donna. b) Una bambina. c) Cinque, senza contare l’episodio del telefono. d) Al telefono. Lei dice che deve mettere giù il telefono. e) Il primo a casa di amici e il secondo

tournai de nouveau vers lui et lui parlai comme si rien ne s’était passé. Marceline aimait beaucoup cet enfant ; pourtant ce ne fut pas, je crois, la peur de la peiner qui me fit, quand je la revis, plutôt que dénoncer Moktir, imaginer je ne sais quelle fable pour expliquer la perte des ciseaux. À partir de ce jour, Moktir devint mon préféré.   V Notre séjour à Biskra ne devait pas se prolonger longtemps encore. Les pluies de février passées, la chaleur éclata trop forte. Après plusieurs pénibles jours

tournai de nouveau vers lui et lui parlai comme si rien ne s’était passé. Marceline aimait beaucoup cet enfant ; pourtant ce ne fut pas, je crois, la peur de la peiner qui me fit, quand je la revis, plutôt que dénoncer Moktir, imaginer je ne sais quelle fable pour expliquer la perte des ciseaux. À partir de ce jour, Moktir devint mon préféré. – 40 – V Notre séjour à Biskra ne devait pas se prolonger longtemps encore. Les pluies de février passées, la chaleur éclata trop forte. Après plusieurs