Fable Pour Les Enfants

I. Naïveté et profondeur des « morales » Bien des fables conduisent à des morales naïves ou rebattues (« le travail est un trésor » dans « Le laboureur et ses enfants », « Je conclus qu’il faut qu’on s'entr'aime » dans « L’âne et le chien »), qui ne peuvent instruire que les plus jeunes. Certaines morales peuvent même être dénoncées comme immorales (voir les fables du corpus). La forme généralement brève et l’irréalité des personnages et des situations (bestiaire ou univers du conte) font suspecter

narratif Argumentation indirecte: Lorsqu'on utilise un récit ou une histoire pour masquer une argumentation (Fable de la fontaine). Il va utiliser des animaux pour former une critique de la société Éloge + / Blâme - Séquence 3: Les pouvoirs de la fable Problématique: Les fables sont elles le carnaval des animaux ou une comédie humaine Objectif : - Découvrir la fonction de la fable : Plaire et instruire - Se familiariser avec l'argumentation indirecte - Étudier la tonalité de l'ironie

cruauté. Suivez les enfants apprenant leurs fables, et vous verrez que, quand ils sont en état d’en faire l’application, ils en font presque toujours une contraire à l’intention de l’auteur, et qu’au lieu de s’observer sur le défaut dont on les veut guérir ou préserver, ils penchent à aimer le vice avec lequel on tire parti des défauts des autres. Dans la fable précédente, les enfants se moquent du corbeau, mais ils s’affectionnent tous au renard; dans la fable qui suit, vous croyez leur

les animaux ou encore ma maman. En maternelle, les institutrices me montraient des calligrammes comme celui-ci, fait par des enfants en bas age. Pour moi les calligrammes sont représentatifs de la période de la maternelle, ils allient à la fois le dessin et l'amour que les enfants décrivent en allant droit au but. L'Enfant voleur et sa Mère Un jeune Enfant ayant dérobé un Livre à l'un de ses compagnons d'étude, le donna à sa mère. Elle prit le Livre, sans faire aucune réprimande à son

Jean de La Fontaine, Fables,  Livre VII, fable 9 Source : L'origine de la fable semble être la nouvelle XIV de Bonaventure des Périers (secrétaire de l’auteur de l’Heptaméron, Marguerite de Navarre, sœur de François 1er ) : « Comparaison des alquemistes à la bonne femme qui portait une potée de lait au marché ». La comparaison avec les alchimistes n'a pas été reprise par La Fontaine. Fable double avec « Le curé et le mort » qui suit dans le recueil. LA LAITIÈRE ET LE POT AU LAIT Perrette, sur

peine capitale. C’est pourquoi, les grands écrivains ont eut recours à la fiction. Prenons pour exemple La Fontaine. Il écrit des fables apparemment destinés aux enfants. Il met en scène des animaux (parfois des hommes) avec des situations très simples, et très plaisantes (un loup qui veut devenir berger, une lionne qui pleure son enfant, et une araignée qui se plaint chez Jupiter). De première vue, on n’imagine pas que ces fables ont des visées qui dénoncent l’injustice du Roi ainsi que de la Cour

assistant aux efforts du vieillard pour conjurer la mort. Cette fable obéit à une composition originale. En quoi cette œuvre est-elle classique ? Premièrement, nous nous intéresserons à l’aspect didactique de cette fable qui représente une méditation sur la mort, l’universalité et notre vanité. Pour illustrer sa pensée, il représente un mourant de plus de 100 ans de vie et la mort (joute oratoire). I- Tout d’abord, cette fable nous offre bien une méditation sur la mort a) Douceur élégiaque :

la légère,   Descendu dans ce puits. Or, adieu, j'en suis hors;  Tâche de t'en tirer et fais tous tes efforts;   Car, pour moi, j'ai certaine affaire   Qui ne me permet pas d'arrêter en chemin.» Jean De La Fontaine, tiré du Livre III Cette fable est simple. Elle montre deux personnages qui ont deux caractères fondamentalement opposés. Le bouc est crédule et admire le renard qui lui est « maitre en fait de tromperie ». On remarque De La Fontaine utilise beaucoup le renard dans ses fables. Je

étapesde I'histoire, quand bien même celles-ci ngseraient pas très étoffées.Ainsi, dansla fable "La Tortue et les deux canards"(II,2), La Fontaine évoqued'abord I'ennui de la Tortue désireusede découwir d'autrescontréesavant de décrire brièvement les péripétiesde I'exécution de ce projet. Le récit se clôt ensuitesur la chute et la mort de I'animal qui constituentl'élément de résolution et là situation finale de la fable. Le sujet paraît donc assezsimple. A la simplicité de la structure de bien des fables

Dans l'anthologie que je vais vous présentez, les fables sont les suivants : Le Lion (Livre XI, Fable 1), Le Lion amoureux (IV,1), Le Lion et le Rat (II,11), Le Lion et le Moucheron (II, 9) , La génisse ,la chèvre et la brebis en société avec le lion (I,7), Le Lion malade et le renard (VI,14), Le Lion et L'Ane chassant (II, 19), le Pâtre et le Lion (VI, 1), Le Lion s'en allant en guerre (V, 19). Ces textes ont été choisis pour thème commun, le lion, dont les caractéristiques principales sont