Fables De La Fontaine Rire Pour Dénoncer

I) Victor Hugo fait un pastiche réussi et appliqué de La Fontaine dans lequel le lecteur retrouve les mêmes qualités que la fable traditionnelle : A) V. Hugo utilise l’allégorie animale, qui consiste à représenter en les simplifiant et en les amplifiant des caractères humains ou des statuts sociaux par des animaux . Procédé de symbolisation très fréquent dans les fables. a) le singe : symbole de l’imitation. Le lecteur associe automatiquement le singe à la grimace, à l’animal qui fait tout

peu ivre On divague : on laisse errer nos pensées, on déraisonne Le cœur fou Robinsonne : le cœur s’échappe et vagabonde Cavatine : air d’opéra pour soliste Vous êtes amoureux. Loué jusqu’au mois d’août. Vous êtes amoureux — Vos sonnets La font rire. Tous vos amis s’en vont, vous êtes mauvais goût. — Puis l’adorée, un soir, a daigné vous écrire...! — Ce soir-là... — vous rentrez aux cafés éclatants, Vous demandez des bocks ou de la limonade… — On n’est pas sérieux, quand on a dix-sept ans Et

celle à qui il s’adresse. (A ne pas confondre avec la notion de registre de langue qui distingue les langages soutenu, standard, familier, grossier ; dans ce cas on peut aussi parler de niveau de langue). 1) LE REGISTRE COMIQUE Il vise à provoquer le rire ou le sourire, à amuser. Méthode : pour expliquer en quoi un texte est comique, on peut souvent réfléchir aux décalages présents dans le texte (décalages dans le langage utilisé, la situation…). Exemple : J’avais un peu d’argent, je dis : « Je vais

est enflée à cause de l’accumulation, pour mieux la discréditer. L’apparition du comique est précoce (vers 10, « un coup de dent de trop vous perd »). La leçon est évidemment simpliste. 3.2 L’art de la persuasion 3.2.1 LE REGISTRE COMIQUE Faire rire le lecteur pour le faire adhérer à la critique. 4 3.2.1.1 Le comique de caractère L’ogre est ridicule à cause du caractère pataud du personnage (« un brave ogre », vers 11 ; « le bon ogre naïf », vers 34) ; fée volage (vers18 et 21) ; moraliste

comme moyen de critiquer les courtisant. Louis XIV, qui déteste la cour, se servira de cette art comme un outil politique et comme un moyen de propagande. De nombreux auteurs vont y participer : Corneille, Boileau, Molière, De la Fontaine...3) Le ClassiqueLes Lumières :4) RomantiqueLe Romantisme :Le Réalisme :Le Symbolisme :Le Naturalisme :5) Moderne Le Surréalisme : (Cf : 3) ) 6) ContemporainLe Théâtre

. Intro : Le rat et l’huitreLa Fontaine est un écrivain du XVIIe siècle : le siècle Classique. Le classicisme repose sur l’autorité reconnue aux anciens, grecs et latins La Fontaine s’inspire de cette tradition pour écrire ses fables qui visent à plaire et instruire. Dans la fable 9 du livre VII La Fontaine se moque de la prétention et de l’ignorance, qui prétend tout savoir et est donc victime de sa bêtise, il paye de sa vie son ignorance.Cette fable est inspirée d’une fable écrite par un humaniste

LA FONTAINE : 20 FABLES ET LEURS MORALES : 1- Le lion et le moucheron : Un moucheron déclare la guerre à un lion car il l'avait « traité », Il l'attaque de toute part et le fait devenir fou. Le moucheron gagne le combat mais est victime d’une araignée. Morale : « Entre nos ennemis les plus à craindre sont souvent les plus petits … » 2- L’Âne et le petit Chien : L’Âne jaloux du Chien que le maître caresse veut se comporter comme celui-ci mais maladroit ne récolte qu'un coups

Anthologie poétique :   Des poèmes de guerre                                            1                 1S4        Préface…………………………………………………………………………..3    Olivier de MAGNY (XVIème) ­ Aurons­nous point la paix ?.......................4  De la Fontaine (XVIIème) ­ La Ligue des rats……………………………….5  Claude Joseph Rouget de Lisle (XVIIIème) ­ La Marseillaise……………..7  Arthur Rimbaud (XIXème) ­ Le dormeur du Val……………………………..9  Victor Hugo (XIXème) ­ Depuis six mille ans la guerre……………….......11  Victor Hugo (XIXème) ­ Après la bataille………………………

de la première personne du pluriel. Dans les discours Hugo et Mirabeau s’adresse à l’auditoire en employant le . Dans leurs écrits ou paroles, tous défendent leur liberté de penser qui passe donc par la liberté de la presse. Cependant, comme le dénonce Camus, la responsabilité du journaliste est inexistante dans certaines presses dite . Dans les textes A, B et C les auteurs défendent les intérêts de la liberté de la presse. Tous s’insurge contre la censure (Mirabeau), ou la possible suspension

pour cela qu'en France, ce siècle est souvent nommé le Grand Siècle. ème Dans le monde culturel, la fin du XVII​ siècle est caractérisée par une querelle entre les Anciens et les Modernes, entre la tradition et la modernité. Les Anciens tels que La Fontaine, La Bruyère ou encore Boileau, considèrent que l'Antiquité est une période où la civilisation a atteint la perfection et qu'elle doit de ce fait rester un modèle. Tandis que les Modernes, tels que Corneille, Perrault, ou encore de Fontenelle, refusent