Fables Guerrières

1621, et mort le 13 avril 1695) est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et Les Contes Licencieux. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre ainsi que des livrets d'opéra. C'est en s'inspirant des fabulistes de l'Antiquité gréco-latine et en particulier d'Ésope, qu'il écrit les Fables qui font sa renommée. Le premier recueil qui correspond aux livres I à VI est publié en 1668, le deuxième (livres VII à XI) en 1678

du XVIIème. Jean de la Fontaine était un grand fabuliste et moraliste du XVIIème siècle. Il a écrit de nombreuses fables. Dans « le Bûcheron et Mercure » (livre V, 1), La Fontaine se plait à nous décrire la vision qu’il se fait de ses fables. Elles seraient comme « une ample comédie à cent actes divers / et dont la scène est l’Univers ». Nous pouvons donc nous demander si les fables sont une comédie, c’est-à-dire un art de mise en scène habile et plaisante, qui rendraient compte du monde de manière

Jean de la Fontaine est un auteur français de l’époque classique, le XVIIème siècle. Il est surtout connu pour ses fables qu’il a écrites en s’inspirant de Phèdre et d’Esope, dans le but de dénoncer les vices de la politique, les problèmes dans la société de son époque et proposer des solutions. Ces fables étaient destinées au Dauphin, le premier fils du roi, successeur au trône, pour le divertir et l’éduquer. La fable que nous allons étudier est la quinzième du deuxième livre, édité pour la première

Fontaine à tous les enfants, et il n’y en a pas un seul qui les entende. Quand ils les entendraient ce serait encore pis; car la morale […] les porterait plus au vice qu’à la vertu.» Commentez et discutez cette opinion. Nous nous souvenons tous des fables de La Fontaine apprises à l’école primaire (même àl’étranger comme c’est le cas pour moi, cela montre aussi qu’elles ont une vocation universelle et intemporelle) comme « Le Corbeau et le Renard », « La Cigale et la Fourmi », « La grenouille qui seveut

esthétiques sont eux aussi engagés. Baudelaire dans les Fleurs du mal a remis en cause les repères esthétiques de son époque : la censure qu’il a dû affronter prouve d’ailleurs combien son œuvre semblait dérangeante pour la société d’alors. Les Fables de La Fontaine les plus connues l’attestent : la Cigale et la Fourmi nous apprend qu’il vaut mieux être prévoyant, La grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf nous enseigne la modestie, tandis que le Corbeau et le Renard veulent nous

livre VII de Jean de La Fontaine situé dans le second recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1678. Conseil tenu par les rats est la deuxième fable du livre II de Jean de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1668. Le Combat des Rats et des Belettes est la sixième fable du livre IV de Jean de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1668. Le Corbeau

notion que d'autres. On peut citer les fables, forme d'apologues, qui, depuis leur création à l'antiquité avec Ésope ou encore Phèdre, ont étées largement rééditées, notamment par Jean de La Fontaine dont nombre des fables sont des retranscriptions de celle d’Ésope, qu'il qualifie comme le « Père de la fable ». La morale est soit à extraire de l'implicite du texte, soit exprimée à la fin ou, plus rarement, au début du texte. Ces écrits à visée morale (fables ou contes) étaient destinés en grande partie

- Corpus de textes : fables de La Fontaine "Le Loup et l'Agneau" fut publié en 1668. Dans cette fable, le loup désigne la royauté. Il s'adresse à l'agneau à la 2ème personne du singulier "Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ?" ( vers 7 ). Cela montre que le loup manque de respect envers l'agneau. L'agneau apparaît comme un sujet du roi. Il s'adresse au loup à la 3ème personne du singulier, ce qui marque le respect : "Sire, répond l'agneau, que Votre Majesté ne se mette pas en colère

thème mais parallèlement en montrant l’évolution des formes poétiques du Moyen-âge à nos jours. Ainsi nous sommes passés des formes fixes (ballades, sonnets) aux formes libres (vers libres, calligrammes) en passant par les formes régulières (odes, fables) et le poème en prose. Les dix poèmes que j’ai donc choisis sont : -Le temps a laissé son manteau de Charles d’Orléans : Ce texte est un rondeau datant du 15e siècle. Nous sommes alors au début de la poésie avec les formes fixes. -Ballade des

Par exemple lorsque Hugo dit « j'ai disloqué ce grand niai d'alexandrin » il s'approprie, comme beaucoup de « poètes du nouveau », la tradition pour mieux la façonner à sa manière. En outre les poètes se tournent vers les grands Anciens tels que les fables de la Fontaine, ou les poètes de la Pléiade (eux même inspirés d'auteurs comme Orace, Virgile ou Ovide) afin de respecter certains principes, idées et esthétiques tout en les remodelant. Les « poètes du nouveau » ont cependant une volonté de surpasser