Façade

libre dans la conception des logements. L'absence de murs porteurs permet de placer les cloisons et fenêtres où on le souhaite ; c'est le plan libre. La facade libre : les murs de façade ne sont plus que des membranes légères de murs isolants ou de fenêtre. La fenêtre–bandeau signifie que les vitres peuvent courir d'un bout à l'autre de la façade. Le toit–terrasse : avec la mise en place du chauffage central, le toit n'est plus en bosse mais en creux. Ainsi, l'eau de pluie favorise une humidité

réglementations concernant le caractère esthétique des immeubles- Les propriétaires doivent nettoyer leur façade tous les dix ans. - Les voies de Paris doivent être nivelées, et les immeubles alignés. Les façades ne peuvent pas dépasser 20 mètres de hauteur dans les rues de 20 mètres de largeur. Les immeubles avoisinants doivent avoir les mêmes hauteurs d’étages et les même lignes principales de façade => Donne un coté esthétiques. Travaux d’Haussmann = importantes répercussions sociales =>

séparation des fonctions portantes et des cloisons ; le plan libre : ce ne sont plus les murs qui portent, mais les poteaux, ce qui permet une grande liberté dans l' agencement des volumes ; la façade libre : comme elle ne porte plus, elle peut se faire très mince, voire être entièrement en verre (les façades non porteuses laissent apparaître à travers les baies vitrées la Loire, Rezé, Nantes…) ; la fenêtre en longueur : elle laisse entrer la lumière à flots ; le toit terrasse : à la place des combles

strictes aussi bien sur le style que la hauteur des bâtiments. Tout d’abord, les façades des bâtiments Haussmanniens doivent désormais être fabriquées en pierre de taille ce qui constitue des blocs de couleurs claires. Ces pierres proviennent parfois de plusieurs centaines de kilomètres de Paris. Les caractéristiques des murs du rez-de-chaussée et de l’entresol sont qu’ils sont striés ce qui marquent fortement les façades Haussmanniennes. Les nouveaux moyens de transports ainsi que les progrès des

de l’ensoleillement des façades 1.     Hauteur Azimut 15-janv 9h 5,33 129,86 13h 21,02 184,97 17h -0,02 237,73 11h 17,57 155,55 15-avr 9h 31,82 112,7 13h 51,59 191,64 17h 22,5 259,68 7h 12,09 88,75 15-juil 9h 29,6 89,89 13h 62,72 161,12 17h 41,77 255,31 20h 11,96 288,83 15-oct 9h 10,4 115,21 13h 33,55 175,1 17h 15,17 238 11h 26,12 141,83 2. Angles d’exposition des façades 3. Les façades les plus exposés au soleil

II) Architecture I) La façade de la Nativité La façade de la Nativité est la seule partie du temple directement construite par Gaudí. Quand il meurt en 1926, seul la tour de Saint Barnabé était totalement finie, les trois autres étaient très avancées. La façade de la Nativité de la Sagrada Família a été récemment reconnue comme "PATRIMOINE DE L'HUMANITÉ" par l’UNESCO. Elle est formée, comme les autres façades de quatre clochers carrés leurs bases, qui prennent une forme cylindriques quand

titre de cette collection porte sur la pathologie des façades. Rédigé par Philippe Philipparie, expert en bâtiment au sein de la SOCABAT, cet ouvrage de synthèse aborde en 200 pages les principales pathologies, quelles soient liées au gros œuvre ou aux revêtements : – tassement du sol d’assise et fondations ; – déformations des poutres, corrosion des armatures ; – pathologies des murs en maçonnerie et en béton ; – pathologies des enduits de façades, des RPE et RSI ; – pathologies des systèmes d’isolation

les techniques et les goûts des époques. Au XVIe siècle, à l’époque de la renaissance les meubles évoluent peu en eux-mêmes si ce n'est leur ornementation. En effet la façade est divisée en un seul panneau central qui est entouré de panneaux latéraux, ceux-ci sont posés sur des pieds en boules ou en griffe de lion, la façade et parfois les montants sont ornés de sculptures mais ils sont en cariatides. Celle-ci fait la synthèse entre les éléments caractéristiques de  l'Antiquité gréco-romaine et

se dressaient en donnant une impression de vigueur et de dynamisme. Les toits eux‑mêmes, en verre, ressemblaient à des parasols ouverts transparents. Les constructions ne reléguaient certes plus la fonction technique au second plan, au profit d’une façade historicisante, mais ne se limitaient pourtant pas à ce seul rôle rationnel, réconciliant, par le biais des décorations modernes, la technique sobre et l’image fastueuse des rues de la métropole. Figure 1 : Hector Guimard Nancy, le paradis du verre

* le plan régulier : tracés rigoureux, façades rectilignes, raccord à angle droit (les angles obtus ou aïgus furent proscrits) * l'égalité des travées (espaces construits entre deux supports verticaux), régularité dans le rythme des ouvertures. Ainsi, les façades de l'hôpital des Innocents (Filippo Brunelleschi, 1419-24), du palais Médicis (Michelozzo) et du palais Rucellai possèdent des baies de largeurs égales et espacées régulièrement (La façade comporte typiquement trois niveaux limités