Fait du prince

personnages principaux dans les œuvres Le Petit Prince par Antoine de Saint-Exupéry, Le Route de Chlifa par Michèle Marineau et le film Monsieur Batignole tous fait face à des conflits qui met à l’épreuve leur paix intérieur. Le petit prince traverse les planètes pour trouver une résolution à ces conflits, Monsieur Batignole conflit internement en aidant les enfants et Karim est au milieu d’un grand conflit de la guerre et la mort. Le petit prince subit des conflits interne et externe qui le conduisent

souhaite éradiquer la guerre. La Bruyère ne se contente pas d’énoncer son opinion mais il élargit sa pensée en proposant une réflexion sur une nouvelle conception de la paix. Ce texte est semblable à celui de Candide ou Voltaire utilise l’ironie et fait l’éloge de la guerre pour mieux la dénoncer. La Bruyère va illustrer par un exemple précis, citant le jeune Soyecour, tué à la guerre, qu'il a connu personnellement. Cette référence interpelle le lecteur, "dramatise" l'argumentaire. L'auteur emploie

et « Rimberg » (Rheinberg). Charles Le Brun a très subtilement rendu la hiérarchie des rangs des membres de ce conseil de guerre : Monsieur, frère de Louis XIV, est sur le même degré que le roi ; Condé, prince du sang, a le pied droit sur le deuxième échelon ; enfin Turenne, qui a rang de prince étranger, a les deux pieds sur cet échelon inférieur. La scène se passe dans un camp plein d’agitation où les soldats s’équipent pour partir en campagne. Réponse de M. Racine aux discours de MM. Thomas

demoiselle d'honneur de l'impératrice douairière Maria Feodorovna, se croisent Pierre (revenu récemment d'un séjour de dix ans d'Europe, influencé par les idées révolutionnaires et peu au fait des convenances de la vie mondaine russe), le prince Basile Kouraguine et ses enfants, Hélène et Hippolyte, le prince André Bolkonsky et Lise, sa jeune épouse enceinte, « la femme la plus séduisante de Pétersbourg ». Pierre, grand et massif jeune homme portant lunettes est le fils naturel du vieux comte Bézoukhov

jusqu’en 1671, date où il quitta se poste pour celui de précepteur du Dauphin, fils de Louis XIV, monarque absolu. Le recours à la religion permet à l’auteur de justifier un régime monarchique de droit divin, tout en désapprouvant l’absolutisme du prince. En effet, Louis XIV, seul véritable monarque absolu de l’histoire de France est loin de l’image donné par les écritures saintes du roi chrétien, simple ministre de Dieu tel que Bossuet le concevait. En effet durant la période où vécu Bossuet, la

EXPOSÉ – LITTÉRATURE DE JEUNESSE La Belle Lisse Poire du Prince de Motordu de Pef aux éditions Gallimard paru en 1980. L’auteur : Fils d’institutrice, l’auteur Pef répond à l’acronyme de Pierre-Élie Ferrier. Il est né en 1939. Celui-ci a pratiqué de nombreux métiers avant d’être écrivain/illustrateur : journaliste, testeur de voitures de course ou responsable commercial dans la vente de parfums. C’est à l’âge de 38 ans qu’il que paraît son premier ouvrage : Moi, ma grand-mère ; comme son nom

a provoqué des remous, elle a déclenché des controverses littéraires. Le problème visé était celui des techniques narratives. Quand c’est publié personne ne comprends ce que c’est, car jamais on n’a publié de roman aussi court. Un roman à l’époque fait minimum 3000 pages. L’Archétype est L’Astrée, d’Honoré d’Urfé, c’est aussi Le Grand Cyrus, de Mademoiselle de Scudéry. Toute une époque littéraire marquée par le roman courtois, le roman héroïque. Ces romans-là excluent toute vraisemblance historique

I)INTRODUCTION: Le Prince est un traité politique écrit au début du XVIe siècle par Nicolas Machiavel, homme politique et écrivain florentin, qui montre comment devenir prince et le rester, analysant des exemples de l'histoire antique et de l'histoire italienne de l'époque. Parce que l'ouvrage ne donnait pas de conseils moraux au prince comme les traités classiques adressés à des rois, et qu'au contraire il conseillait dans certains cas des actions contraires aux bonnes mœurs, il a été souvent

L’auteur apporte une justification « parce que ». Ne pas dire la vérité est dû au fait qu’on redoute de blesser, d’affecter « ceux dont l’affection est plus utile » en raison de leur susceptibilité et de leur fierté envers eux-mêmes. Autrement dit, ceux qui nous aident à nous élever dans le monde –à gravir chaque degré de bonnes fortune- et dont « l’aversion est dangereuse ». La vérité à propos de quoi ? Des vices des Princes qui essayent de paraître bons, en outre ils pensent être les seuls à connaitre

............................................................... 10 3 I. La conception absolutiste et de droit divin de la monarchie Le XVII° siècle est marqué par un essor des idées a bsolutistes et l’affirmation théorisée du droit divin des princes. Ces conceptions sont dans une large mesure la conséquence de la période troublée des guerres de religion : lutte violente entre factions, révolte contre l’autorité royale, massacres, pillages, insécurité contre les personnes et les biens. Le rétablissement