Fantine

( Thtre, Roman, Chanson), dnoncent tous les 3 lexploitation des femmes travers des personnages porte-parole Marceline, Fantine et Lily. Il sagit dans le 1er, de lexploitation masculine des jeunes femmes crdules/naves sduites, puis abandonnes. ( ingalit hommes/femmes de lpoque, rquisitoire pathtique et argument). Le texte B quant lui, dnonce la misre sociale qui pousse Fantine jusqu la prostitution. (gradation de la dchance physique, matrielle et morale/ registre pathtique, DIL, bcp de figures

extrêmement émus pendant la description de Fantine, qui accablée par les dettes, a recours à de divers stratagèmes pour continuer à envoyer l’argent aux Thénardier. Ce pathétique nait des détails crus lorsqu’elle se prostitue et vend ses dents : « L’infortunée se fit fille publique » ou encore « C’était un sourire sanglant. Une salive rougeâtre lui souillait le coin des lèvres, et elle avait un trou noir dans la bouche. ». Une misère aussi intense que celle de Fantine suscite chez le lecteur beaucoup de

n'a pas connu grand succée de son vivant. III Le tableau se rattache au mouvement réaliste, qui est apparut au 19ème siecle. Ce mouvement est consacré à la vie et à la société. Il y a Honoré Daumier, Jean-Baptiste Corot, Gustave Courbet, Henri Fantin-Latour. (+ images des oeuvres) IV Les Glaneuses est un tableau qui a été peint par Jean-François Millet en 1857. C’est une peinture à l’huile, peinte sur toile, elle a pour dimension 83.5 cm x 110 cm. Elle est exposée au musée d’Orsay, à Paris

extrêmement émus pendant la description de Fantine, qui accablée par les dettes, a recours à de divers stratagèmes pour continuer à envoyer l’argent aux Thénardier. Ce pathétique nait des détails crus lorsqu’elle se prostitue et vend ses dents : « L’infortunée se fit fille publique » ou encore « C’était un sourire sanglant. Une salive rougeâtre lui souillait le coin des lèvres, et elle avait un trou noir dans la bouche. ». Une misère aussi intense que celle de Fantine suscite chez le lecteur beaucoup de

extrêmement émus pendant la description de Fantine, qui accablée par les dettes, a recours à de divers stratagèmes pour continuer à envoyer l’argent aux Thénardier. Ce pathétique nait des détails crus lorsqu’elle se prostitue et vend ses dents : « L’infortunée se fit fille publique » ou encore « C’était un sourire sanglant. Une salive rougeâtre lui souillait le coin des lèvres, et elle avait un trou noir dans la bouche. ». Une misère aussi intense que celle de Fantine suscite chez le lecteur beaucoup de

Selon les critiques, Bazille souligne les liens d'amitié et les rapports de travail dénués de tout souci d'ordre hiérarchique existant entre les protagonistes. Description Il vaut noter aussi la ressemblance de ce tableau au l’œuvre de Henri Fantin-Latour. Comme vous pourrez le voir, chaque un de ces homme apparaissent dans ce tableau aussi parce qu’ils ont développé une amitié très proche. En outre, les peintures à l’huile sur le mur sont ses propres œuvres ; on peut voir « La Toilette » et

extrêmement émus pendant la description de Fantine, qui accablée par les dettes, a recours à de divers stratagèmes pour continuer à envoyer l’argent aux Thénardier. Ce pathétique nait des détails crus lorsqu’elle se prostitue et vend ses dents : « L’infortunée se fit fille publique » ou encore « C’était un sourire sanglant. Une salive rougeâtre lui souillait le coin des lèvres, et elle avait un trou noir dans la bouche. ». Une misère aussi intense que celle de Fantine suscite chez le lecteur beaucoup de

l’isotopie de l’amitié dans la chanson de Georges Brassens : « Les Copains D’abord » ← Ajout de deux titres à la liste des chansons V. ← Analyse de  « L’amitié » de Pablo Picasso ← Analyse de « Un coin de table » d’Henri Fantin-Latour VI. ← Sitographie ← Annexes I. ← Aristote distinguait trois sortes d’amitiés telles que : - L’amitié en vue du plaisir - L’amitié en vue de l’intérêt - L’amitié

le destin de Jean Valjean : emprisonné à Cayenne pour le faux meurtre d'un faux comte, Henri le père meurt à la suite d'une évasion ratée. Sa femme, Catherine se réfugie avec son fils, chez un aubergiste grippe-sou (Rufus). Catherine, c'est donc Fantine. Et Henri junior, c'est Cosette. Henri junior-Cosette devient boxeur puis, à la fin des années 30, déménageur. Il est tellement fort qu'on le surnomme Jean Valjean. Et c'est alors qu’en 1940, devenu déménageur, il aide André Ziman sa femme Elise et

Le der des ders, le dernier mort de la guerre, respire encore, ce 6 janvier 1920, lorsque le colonel Fantin de Larsaudière, du 296e RI, embauche, pour une banale affaire d'adultère, le détective Eugène Varlot, rescapé de Verdun - Aurélien, d'Aragon, n'est pas loin - et l'abandonne dans les abîmes des tranchées. Daeninckx (son roman date de 1984) et Tardi adressent ici une oraison funèbre aux 9 millions de poilus sacrifiés, aux déserteurs russes massacrés dans la Creuse - qui le savait? - et aux