Fantôme

souvenirs enfouis qualifiés de "fantômes invisibles", et enfin nous verrons qu’il est possible de se rappeler ces souvenirs lorsque l’on dort. Bergson pense que dès « le premier éveil de notre conscience » nous stockons les souvenir dans notre inconscient, c’est-à-dire que dès que nous pensons, que nous disons « je » nous commençons à enregistrer tout ce que nous vivons En effet, de la ligne 6 à la ligne 9, Bergson qualifie ces souvenirs profonds de "fantômes invisibles", ce qui est un pléonasme

poème. C’est également le sujet de la ‘problématique’ du poème, car Desnos expose les conséquences de ses multiples rêveries à son aimée. Champs lexicaux : Les Ombres/fantômes (vers 6 ; 11 ; 23 ; 25 ; 26 ; 27). Tout le poème est centré sur l’irréel et la fantasmagorie. Desnos utilise donc, pour illustrer son propos, les ombres et fantômes, qui sont par définition impalpables et difficiles à percevoir. Le sommeil : représenté par les « rêvés » (vers 1 ; 5 ; 13 ; 22) de l’anaphore et par « dors » (vers

Nietzsche : Ego et fantôme d’ego Nous nous sommes demandés ce qui (en nous, = ego) tenait de notre propre construction et ce qui tenait à l’influence des autres ( positive ou négative ). Cette question faisait suite à l’injonction Socratique " connais-toi, toi-même" c’est aussi la force des pré-jugés ( déjà jugés... avant analyse ) qui est l’objet de cette question. l’examen de conscience qui est impliqué par cette recherche devrait aboutir à épurer ce qui est moi et ce qui ne l’étant pas mérite

obscurité qui compose l’espace. Et comme l’espace, nous sommes éternels. Nous n’aspirons qu’à une seule chose, la destruction. Nos armées ne sont que des fantômes. Des fantômes qui apportent la désolation sur leur passage. Un passage que nous nous frayons à travers la création. Pour n’apporter que le néant. Car tels des fantômes, nous sommes déjà morts. Et comme nous, vous le serez bientôt aussi. Les ténèbres sont nos alliés. Les abysses sont nos royaumes. Et très bientôt

seule qui compte aujourd'hui pour moi, Je pourrais moins toucher ton front Et tes lèvres que les premières lèvres et le premier front venu. J'ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé, Couché avec ton fantôme Qu'il ne me reste plus peut-être, Et pourtant, qu'a être fantôme Parmi les fantômes et plus ombre Cent fois que l'ombre qui se promène Et se promènera allègrement Sur le cadran solaire de ta vie.

FRANC AIS ORAL: r /lere Portraits. proustiens :/LA GRAND-MERE/ "Hélas, ce fantÔme-là, ce fut lui que... que je ne connaissais Le cÔté de Guermantes, -- -- (coll. "QUARTO",Gallimard pas." ,p 853/854) 1/ SITUATION /PRESENTATION /MOUV;EMENT/NATURE : Le narrateur(qui fait son service militaire à quelque distance de Paris)a reçu un coup de téléphone de sa grand-mère;"le téléphone n'était pas d'un usage aussi. courant qU'aujourd'hui" rappelle-t-il afin d'expliquer l'impression d'élOignement

http://www.fichesdelecture.com/auteur/biographie/213-ray-douglas-bradbury/ ------------------------------------------------------------------- Il faut tuer Constance de Ray Bradbury 'La solitude est un cercueil de verre' et 'Le fantôme de verre' avaient déjà permis aux lecteurs de Ray Bradbury de faire la connaissance de Constance Rattingan. Dans 'Il faut tuer Constance', elle réclame l'aide d'un écrivain qui essaie de terminer son roman. Prétendant avoir 'la mort à ses trousses'

Le fantôme de la rue Corneille Il y a déjà deux ans de cela, en Avril 2007, un vendredi en fin d’après-midi. Je sortais alors du cours d’arts plastiques, me dirigeai, vers la sortie du collège Barral, pour rentrer chez moi. J’arrivai alors devant ma maison, au 36, rue Pierre Corneille. J’ouvris la porte: « -C’est moi !, criai-je. -Alors, c’était bien. Tu as passé une bonne journée ? me demanda ma mère. -Oui ça va, mais je suis vraiment fatiguée ! Je vais dormir… » lui répondis-je, extenuée

seule qui compte aujourd'hui pour moi, Je pourrais moins toucher ton front Et tes lèvres que les premières lèvres et le premier front venu. J'ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé, Couché avec ton fantôme Qu'il ne me reste plus peut-être, Et pourtant, qu'a être fantôme Parmi les fantômes et plus ombre Cent fois que l'ombre qui se promène Et se promènera allègrement Sur le cadran solaire de ta vie. Robert Desnos, "Corps et biens". Robert Desnos dans son poème met en scène une peinture

bougent pas « pas un … » (v. 5-6-7). Ils attendent simplement et calmement. Le fait qu’il y est de l’humour dans ce poème dédramatise la situation. Les personnages étranges et rigolos de ce poème comme le petit plaisantin (v.8), mais aussi les fantômes et leur façon d’être qui peut être à la fois drôle et angoissante mettent encore un peu d’humour dans cet incident. En plus de cela, Queneau nous parle de bateau et de pêcheur (v.5-6) alors que ça n’a aucun rapport avec la panne de métro. L’incohérence