Farida Belghoul

1 Un roman maghrébin contemporain :   Il était une fois un vieux couple heureux  de  Mohammed Khaïr­ Eddine    Séance 1 : séance de sensibilisation (1heure)    Objectifs :  ­  identifier les composantes du para texte ; ­  formuler des hypothèses de lecture d’après l’analyse de ces composantes ; ­  guider les élèves dans leur lecture en distribuant un questionnaire. Support : Il était une fois un vieux couple heureux, Mohammed Khaïr­Eddine.    Contrainte :  ­  Donner le travail à l’avance (2 semaines environ)

Haraoui-Ghebalou Yamilé, “ paysage littéraire algérien des années 90 et post-modernisme littéraire maghrébin ” in Paysages littéraires algériens des années 90 : témoigner d’une tragédie ?, ouvrage collectif sous la direction de Charles Bonn et Farida Boualit, Paris, L’Harmattan, 1999, p53. 166 L’auteure fait allusion au coup de téléphone anonyme qu’elle a reçu et dont elle nous dévoile le contenu dans son roman « La Transe des Insoumis » : « Je suis entrain d’examiner mon premier patient lorsque

générations sont encore en activité et les jeunes auteurs se multiplient, certains étant appelés à rejoindre, grâce à leur talent, les «classiques». Une littérature «cousine» est apparue depuis quelques années, celle des «Beurs» comme Azouz Begag, Farida Belghoul, Nina Bouraoui, Mehdi Charef, Nacer Kettane, Leïla Sebbar... Les thèmes peuvent être voisins mais l’ «ancrage» principal, lui, est européen.(15) Michel Legras: Michel Legras est professeur de lettres au Lycée Villa Pia de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques)

générations sont encore en activité et les jeunes auteurs se multiplient, certains étant appelés à rejoindre, grâce à leur talent, les «classiques». Une littérature «cousine» est apparue depuis quelques années, celle des «Beurs» comme Azouz Begag, Farida Belghoul, Nina Bouraoui, Mehdi Charef, Nacer Kettane, Leïla Sebbar... Les thèmes peuvent être voisins mais l’ «ancrage» principal, lui, est européen.(15) Michel Legras: Michel Legras est professeur de lettres au Lycée Villa Pia de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques)

optimistically in Le Thé au harem d’Archi Ahmed (1985; dir. Mehdi Charef, b. 1952) and in good-humoured rites of passage movies like Djamel Bensalah’s Le Ciel, les oiseaux . . . et ta mère! (1990). But the more committed approach adopted in the 1980s by Farida Belghoul (b. 1958) was now taken up by film-makers who, on low budgets and with more than a nod towards black American cinema, illustrated the realities of France’s multi-ethnic society. Malik Chibane (Hexagone, 1994; Douce France, 1996) reflected the problems