Fascisme

relations internationales de 1918 à 1939, Armand Colin, Paris, 2008 Ouvrages thématiques : ▪ Pierre Milza, Histoire de L’Italie : Des origines à nos jours, Fayard, 2005 ▪ Pierre Milza, Mussolini, Fayard, 2003 ▪ Pierre Milza, Serge Berstein, Le Fascisme italien : 1919-1945, Seuil, 1980 ▪ Max Gallo, L’Italie de Mussolini : Vingt ans d’ère fasciste, Tallandier, Paris, 2011 ▪ Marco Palla, Mussolini et L’Italie Fasciste : XXème siècle, Casterman-Giunti, Firenze ▪ Jacques Georgel, L’Italie au XXème

L'individu n'est rien, l'État est tout. a. Le fascisme : l'idéologie de l'État - Le fascisme nourrit la nostalgie de la grandeur passée de l'Italie. - Il rejette la démocratie source de déclin et de division de la nation. Il considère que l'individu n'a que des devoirs envers l'État. - Il veut un État tout-puissant, totalitaire, dirigé par un chef incontesté, seul moyen de défendre les intérêts d'une nation. - Ultra-nationaliste et impérialiste, le fascisme fait l'apologie de la guerre et du droit

totalitaire » (« totalitario ») apparut en Italie dès le mois de mai 1923 (on prête parfois son invention à Giovanni Amendola[3],[4], opposant et victime du fascisme). Ce concept fut d'emblée un instrument de lutte politique. Son emploi se répandit de manière péjorative dans les milieux antifascistes italiens. En 1925, les théoriciens du fascisme reprirent de manière opportuniste le terme à leur compte, en lui attribuant une connotation positive, celle d'unité du peuple italien. Benito Mussolini exaltait

- Allemagne humiliée par le Traité de Versailles qui a perdu son empire et qui est coupée en 2 - Guerre civile en Russie (grèves, mutinerie) à partir de 1917 qui conduit à l’abandon de la guerre II. Des divergences idéologiques majeures 1. Le fascisme: l’idéologie de l’Etat a. L'exaltation de l'Etat b. Un nationalisme et une volonté d'expansion, de domination basés sur des références historiques 2. Le nazisme: l’idéologie de la race a. La prédominance de la race aryenne b. Un nationalisme

l’hypothèse : on peut bien considérer le fascisme comme un système cohérent de croyances et de rites, c’est-à-dire comme une véritable religion.(…) Dès avant 1922, exaltant la violence, le nouveau mouvement de Mussolini (…) impose le mot d’ordre « croire, obéir, combattre » ; il sut s’entourer d’artistes de talent, d’architectes, d’écrivains et de penseurs disposés à mettre leur plume au service de cette nouvelle foi. Véritable « religion politique », le fascisme ne se contenta donc pas de s’auto représenter

Céline a écrit ce roman dans les années 30, il commence à rédiger Voyage au bout de la nuit, période assez particulière où la vie politique se forme autour de deux idéologies le fascisme et le communisme. Dans La guerre de Troie n'aura pas lieu, J. Giraudoux a écrit cette pièce en 1935 face à la montée en puissance du fascisme et la "guerre d’Abyssinie", c’est bien la France des années trente que l’auteur a finement transposée dans sa pièce. 3- Classez l'ensemble des textes (et les dessins) selon

agricoles "squattées" par des fermiers-paysans et des chômeurs-pillards grèves d'usines gouvernement déchiré, dépassé SOS lancé à Mussolini série d'expéditions violentes contre organisations ouvrières et agricoles gouvernement menace fascisme uni dès 1921 de dissoudre le parti fasciste(=anciens combattants, chômeurs, bourgeois, industriels, bref tous les mécontents) marche sur Rome (oct. 22) Victor-Emmanuel III cède tous les partis politiques sont dissousles chefs de l'opposition

Nina Maag et réalisé par Dennis Gansel en 2008 qui raconte comment des gens ordinaires peuvent adhérer à un régime autocratique tout en tombant dans le totalitarisme et l'intolérance. Dennis Gansel transpose dans son film une étude expérimentale du fascisme plus connue sous le nom de « La troisième vague » qui a été menée par un professeur d'histoire Ron Jones en 1967 dans une université californienne. Le réalisateur vas alors réécrire l'histoire dans un lycée allemand d'aujourd'hui interprétée par

l’entre-deux-guerres au moment de la crise économique. Nous étudierons comment à travers la manipulation des masses, ces régimes se sont installés, ont été gouvernés et se sont terminés. Dans un premier temps, nous étudierons l’idéologie de la masse avec le fascisme italien de Mussolini puis nous nous pencherons sur l’idéologie de la race avec le nazisme allemand d’Hitler. Pour finir, nous verrons l’idéologie des classes avec le communisme russe dirigé par Staline. L’Italie devient une monarchie parlementaire

guerres : genèse, points communs et spécificités Introduction - définition du sujet (termes et cadrage) : Dans l'entre-deux-guerres, l'Europe voit naître et s'épanouir des systèmes politiques d'un type nouveau : les totalitarismes. C'est le fascisme en Italie, le nazisme en Allemagne et le stalinisme en URSS. Leur genèse plus ou moins rapide les conduit à prendre légalement le pouvoir. D'autres points communs s'expriment dans la mise en œuvre totalitaire de ces pouvoirs mais les finalités