Fatalité Phèdre

La Fontaine, fabuliste et moraliste français du XVIIe siècle classique écrit ses Fables choisies et mises en vers, entre 1678 et 1679 dont est extraite Le Pouvoir des fables (livre VIII, fable 4). Après la chute de Fouquet son protecteur, il se consacre à une critique de la société de son époque à travers ses fables. Ainsi, celles-ci renferment les observations qu'il en fait en mettant en scène des animaux. On parle donc de bestiaire allégorique. La plupart de ses fables sont en fait une réécriture

aussi être des plantes ( Jean de la Fontaine, Fables, « Le Chêne et le Roseau »), des hommes ou des objets. La fable sert à critiquer la société et le mode de vie des hommes. Elle a été présente dès lAntiquité avec Ésope ( VIIe-VIe siècle av. J-C) et Phèdre ( 15av. J-C jusqu'à 50 après J-C. ). L'exemple : Les Deux Mulets Deux Mulets cheminaient, l'un d'avoine chargé, L'autre portant l'argent de la Gabelle. Celui-ci, glorieux d'une charge si belle, N'eût voulu pour beaucoup en être soulagé. Il

Introduction Avec Phèdre, Jean Racine a réussi à surclasser les grands dramaturges de son époque. L’extrait « un aveu involontaire » publié en 1677 est une tragédie classique qui évoque un drame opposant l’amour et la raison. Dans cette œuvre, Phèdre dit à son beau-fils Hippolyte qu’elle l’aime. Dans un commentaire composé partiel, nous allons démontrer que par son drame passionnel, l’extrait « un aveu involontaire » est une vision fataliste de l’être humain victime de ses passions. Dans les paragraphes

ancien, à l’origine oral, qui s’est développé tout autour du bassin méditerranéen et jusqu’en Inde. Pour l’Antiquité, on connaît notamment les fables en prose d’Ésope (poète grec qui a vécu, pense-t-on, au VIe siècle avant. J.-C.) et celle en vers de Phèdre (poète latin du Ier siècle, qui s’est largement inspiré de l’oeuvre d’Ésope). La tradition des fables est également apparue très tôt en Inde, en particulier avec Pilpay (auteur vers le IIIe siècle de fables qui ont été par la suite traduites en persan

R�sum� de Ph�dre : Cr�� le 1er janvier 1677, Ph�dre est la derni�re trag�die profane de Racine avant un long silence de douze ans au cours duquel il se consacrera au service du roi et � la religion. Une nouvelle fois, Racine choisit un sujet d�j� trait� par les po�tes tragiques grecs et romains. Le roi Th�s�e �tant absent, Ph�dre finit par avouer son amour � Hippolyte, fils de Th�s�e d'un pr�c�dent mariage. Tout dans Ph�dre a �t� c�l�br� : la construction tragique, la profondeur des personnages

Français : Commentaire de Phèdre Acte II. Scène 5 ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Nous sommes en présence d’un extrait d’une pièce de théâtre de Racine Phèdre, Racine est un grand dramaturge français. Cet extrait se situe au début de l’œuvre, en effet c’est l’Acte

Le récit de la mort d'Hippolyte dans Phèdre acte V scène 6 Au moment ou il écrit Phèdre, Jean Racine est au sommet de sa gloire : il a été élu a l’académie française en 1672, il est considéré comme le seul rival de Pierre Corneille depuis le succès d' Andromaque, dix ans plus tôt. Dans Phèdre, on voit que Racine c'est inspiré de grands auteurs tel que Sénèque et Euripide. Désemparé par le retour de Thésée, la reine a laissé sa confidente, Oenone, mentir au roi en accusant Hippolyte d'avoir voulu

RESUME – Phèdre, Jean Racine (1677) Acte I, scène 5 Oenone explique à Phèdre que ce n’est plus un problème d’aimer Hippolyte, puisque la raison de son malheur n’est plus (l’adultère n’est plus un problème puisque Thésée est mort). Oenone encourage Phèdre à avouer ses sentiments à Hippolyte. ACTE II Acte II, scène 1 Ismène annonce la venue d’Hippolyte auprès d’Aricie (détrôné par Thésée). Aricie est heureuse de voir que la mort de Thésée lui rend sa liberté et son honneur. Acte II, scène 2 Hippolyte

des mobiles cachés voire ambigus, source de malentendus pour Th. ce qui relance les explications nécessaires au spectateur. Ensuite un premier malentendu intervient aux vers 37à 47. Th se trompe sur les causes du départ d’H. Il pense que c’est Phèdre (=P) qui pousse H à partir. Mais en fait, il s’agit d’Aricie (=A) qui fait partie de la suite de la reine.Puis un deuxième malentendu a lieu aux vers 52-55 et permet d’expliquer l’arrière-plan politique de la situation.Ces procédés sont des ressorts

les plus caractéristiques comportent un double renversement des positions tenues Le plus grand fabuliste de toute l'antiquité est sûrement Ésope, poète grec du VIIe siècle av. J.-C. - VIe siècle av. J.-C. C'est d'ailleurs de lui que s'est inspiré Phèdre. Ses œuvres ont été traduites en 1615 par Erpernius. Ses fables sont fondamentales dans l'histoire de la littérature : Le Corbeau et le Renard, Le lièvre et la Tortue, le Bûcheron et la Mort, Le vent et le Soleil ne constituent qu'une infime partie