Faucheurs volontaires

l'affiche, non mentionné explicitement sur celle-ci, serait, d'après Michel Wlassikoff, le Centre d'études antibolcheviques ou CEA, affilié au CAA (Comité d'action anti bolchévique) organisme français créé dans le sillage de la LVF (légion des volontaires français) en juin-juillet 1941 « épaulé par les publicistes des mouvements ultra et ceux du ministère de l'Information de Vichy». Cependant, le film Les Faits d'armes de la semaine, réalisé par la société Busdac en 1944, qui contient sous forme

fonde le Parti populaire français (PPF) et reprend le journal La Liberté, lequel prend position contre le Front populaire. Durant la guerre, Doriot est un partisan radical de la collaboration. Il contribue, ainsi, à la création de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme (LVF) et combat personnellement sous l'uniforme allemand sur le front russe, avec le grade de lieutenant. Il se réfugie en Allemagne en 1944, et tente de mettre en place un Comité de libération française; il meurt

premiers directeurs de ce centre fut M.Jean de POLIGNY alias capitaine RIVIERE qui était un ancien résistant jurassien, l'un des fondateurs du Groupe Mobile Alsace (GMA) Vosges. S'y entassent environ 2 000 détenus : des anciens de la Légion des volontaires français, de la Division Charlemagne, des membres de partis collaborationnistes (Parti populaire français, Rassemblement national populaire, Parti franciste,...), des auxiliaires français de la Gestapo, mais aussi des fils de dignitaires du Régime

gouvernement. C'est à un acte de résistance qu'Anouilh doit l'idée de travailler sur le personnage d'Antigone. En août 1942, un jeune résistant, Paul Collette, tire sur un groupe de dirigeants collaborationnistes au cours d'un meeting de la Légion des volontaires français (L.V.F.) à Versailles, il blesse Pierre Laval et Marcel Déat. Le jeune homme n'appartient à aucun réseau de résistance, à aucun mouvement politique ; son geste est isolé, son efficacité douteuse. La gratuité de son action, son caractère

économique : avec l'instauration du STO : Service obligatoire du travail (c’est-à-dire l’obligation pour les hommes de 16 à 60 ans d’aller travailler en Allemagne si besoin.)         - collaboration militaire : avec l'engagement de la Légion des volontaires français (LVF) et de Waffen SS français sur le front de l'Est pour lutter contre le bolchévisme.         - collaboration policière : avec l'établissement de listes d'otages, la participation de la police française aux rafles contre les résistants

(Savoie). C'est à un acte de résistance qu'Anouilh doit l'idée de travailler sur le personnage d'Antigone. En août 1942, un jeune résistant, Paul Collette, tire sur un groupe de dirigeants collaborationnistes au cours d'un meeting de la Légion des volontaires français (L.V.F.) à Versailles, il blesse Pierre Laval et Marcel Déat. Le jeune homme n'appartient à aucun réseau de résistance, à aucun mouvement politique ; son geste est isolé, son efficacité douteuse. La gratuité de son action, son caractère

allemands. C'est à un acte de résistance qu'Anouilh doit l'idée de travailler sur le personnage d'Antigone. En août 1942, un jeune résistant, Paul Collette, tire sur un groupe de dirigeants collaborationnistes au cours d'un meeting de la Légion des volontaires français (L.V.F.) à Versailles, il blesse Pierre Laval et Marcel Déat. Le jeune homme n'appartient à aucun réseau de résistance, à aucun mouvement politique ; son geste est isolé, son efficacité douteuse. La gratuité de son action, son caractère

nombreux hommes vont arriver au pouvoir, les « ultras » de la collaboration,et des collaborationnistes les plus déterminés comme Phlipe Henrit qui devient le secrétaire d'Etat de l'information, Joseph Darnand, un dirigeants de la LVF (Légion des Volontaires Français)devient secrétaire d'État au maintien de l'ordre ou encore Marcel Déat qui obtient le postede secrétaire d'État au travail et à la solidarité nationale.

Sophocle : C'est à un acte de résistance qu'Anouilh doit l'idée de travailler sur le personnage d'Antigone. En août 1942, un jeune résistant, Paul Collette, tire sur un groupe de dirigeants collaborationnistes au cours d'un meeting de la Légion des volontaires français (L.V.F.) à Versailles, il blesse Pierre Laval et Marcel Déat. Le jeune homme n'appartient à aucun réseau de résistance, à aucun mouvement politique ; son geste est isolé, son efficacité douteuse. La gratuité de son action, son caractère

gouvernement. C'est à un acte de résistance qu'Anouilh doit l'idée de travailler sur le personnage d'Antigone. En août 1942, un jeune résistant, Paul Collette, tire sur un groupe de dirigeants collaborationnistes au cours d'un meeting de la Légion des volontaires français (L.V.F.) à Versailles, il blesse Pierre Laval et Marcel Déat. Le jeune homme n'appartient à aucun réseau de résistance, à aucun mouvement politique ; son geste est isolé, son efficacité douteuse. La gratuité de son action, son caractère