Faucheuse

présente à travers "les bois noirs". Ce contraste est retrouvé dans le vers 25 : "les lueurs trop blanches des armes qu'il faut cacher au milieu des branches sombres", créant ainsi une impression d'imminence du combat et la présence toute proche de la Faucheuse. Les "deux yeux qui flamboyaient" v.28 accentuent plus encore l'effet inquiétant de la scène. Enfin, le silence des lieux, troublé uniquement par "la girouette en deuil qui criait", pose le point sur le "i" du mot "angoissant". Tout au long du

| |Allégorie |Elle représente de façon concrète et |Ex : La Mort est souvent représentée par | | |imagée les divers aspects d’une idée |une faucheuse. | | |abstraite. Elle se repère souvent grâce à |Mon beau navire ô ma mémoire | | |l’emploi de la majuscule.

de vie , la nature ne remplit plus sa fonction , elle ne génère plus la vie , mais la mort. Ce personnage dégage une légère lueur d'espoir avec sa main tendue , même si le destin de tout les soldats est tracés : la mort leur est assurés avec la faucheuse qui plane au dessus de eux , une guerre pleine de de sauvagerie , de barbarie , d'inhumanité , d'horreur , de snag , et d'injustice leur est garantie , avec une mince chance de s'en sortir … [ En référence avec ce tableau , Otto Dix s'inspire

pour moi sera comme la nuit. » vers 8) J’ai choisi ce poème car il m’a fait voyager à travers des paysages hivernaux et Victor Hugo m’a fait ressentir un apaisement qui vient de son indifférence sur le monde qui l’entoure. Mors Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ.  Elle allait à grands pas moissonnant et fauchant,  Noir squelette laissant passer le crépuscule.  Dans l'ombre où l'on dirait que tout tremble et recule,  L'homme suivait des yeux les lueurs de la faulx.  Et les

est de monter sur les planches = Métonymie  Bernard est un Hercule = Métaphore  Le rocher chancelle, s’élance, se précipite, roule et court à nos trousses = Personnification  En parlant de la mort, Hugo dit, « je vis cette faucheuse … » = Allégorie  La Faucheuse s’approcha et et lui dit : « il est temps, je suis venue te chercher » = Prosopopée  Je cherche un toit = métonymie  Il te faut de l’argent pour vivre mais il ne faut pas vivre pour l’argent = Chiasme  Chocolat commence

maladroits et honteux (Baudelaire) L’Habitude venait me prendre dans ses bras et me portait jusque dans mon lit comme un petit enfant. (Proust) Allégorie Elle représente de façon concrète et imagée les Ex : La Mort est souvent représentée par une faucheuse. divers aspects d’une idée abstraite. Elle se repère Mon beau navire ô ma mémoire souvent grâce à l’emploi de la majuscule. Avons-nous assez navigué Dans une onde mauvaise à boire Avons-nous assez navigué De la belle aube au triste soir. (Apollinaire)

cheval sur les principes »). L'allégorie Elle représente de façon imagée (par des éléments descriptifs ou narratifs) les divers aspects d'une idée. La Mort, lorsqu'elle est représentée comme une femme armée d'une faux.(souvent appelée « La Faucheuse ». La colombe et le rameau d’olivier pour représenter la Paix. La personnification Elle représente une chose ou une idée sous les traits d'une personne. (Cf La Fontaine) Les livres me tiraient par le bras, ils m'appelaient en leur

pleure! » L'allégorie est la personnification d'une idée abstraite. Elle donne corps à une idée. Ex : « Allégorie de la justice représentée par une femme aux yeux bandés tenant d'une main, une épée et de l'autre une balance. » « Je vis cette Faucheuse. Elle était dans son champ. Elle allait à grands pas moissonnant et fauchant, Noir squelette laissant passer le crépuscule. » ( Hugo, Les contemplations) –} allégorie de la Mort Les figures de substitution: La métonymie consiste à remplacer

|jusque dans mon lit comme un petit enfant. (Proust) | |Allégorie |Elle représente de façon concrète et imagée les divers |Ex : La Mort est souvent représentée par une faucheuse. | | |aspects d’une idée abstraite. Elle se repère souvent grâce à |Mon beau navire ô ma mémoire | | |l’emploi de la majuscule.

souveraine, Dessus le vôtre, Amour agisse en roi.   Rendez-vous donc, ô divine Amarante, Soumettez-vous aux volontés d’Amour ; Aimez pendant que vous êtes charmante, Car le temps passe et n’a point de retour. Molière. Mors Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ.  Elle allait à grands pas moissonnant et fauchant,  Noir squelette laissant passer le crépuscule.  Dans l'ombre où l'on dirait que tout tremble et recule,  L'homme suivait des yeux les lueurs de la faulx.  Et les