Faucheuse

réalité le plus effrayant, le plus effroyable et le plus étrange de tous les lycées. Ils me tiraient, ils me poussaient et me forçaient à rentrer. Je ne pus leur échapper. Je ne pus me défaire de leur étreinte. C’est alors que je compris que la faucheuse venait de me prendre sous sa cape et jamais plus je ne reverrai ma famille, mes amis et la couleur de la vie.

utilisée pour les tableaux religieux. Les trois scènes rythment la composition : l’entrée des soldats sur le champ de bataille dans des tons de grisailles sur la gauche, les soldats morts au centre, entrailles ouvertes, sanguinolents, et la grande faucheuse. La guerre est un chaos privé d’humanité. Le panneau de droite est en réalité un autoportrait d’Otto Dix. On le voit transporter un blessé, et c’est pour cette raison que c’est le seul personnage vivant du tableau dont on voit le visage, c’est le

monde artistique. Ainsi des peintures, comme La mort de l'avare de Hieronymus Bosch ont traité de la mort dès la fin du 15ème siecle. Mais alors que dans la quasi totalité des œuvres traitant de la mort, la mort est imagée, souvent symbolisée (la faucheuse…), ce n’est pas le cas pour les œuvres de Hirst puisqu’on y retrouve la mort, pure. Comment représenter la mort d’une meilleure façon qu’un corps inerte, qui se décompose lentement, car touché par la mort ? Hirst devient donc célèbre pour ses séries

où va le chien ? ô nuit ! Victor Hugo Mors Dans la poésie « Mors », poème extrait du recueil « Contemplations », Victor Hugo décrit Mars 1854, un moment de la guerre de Crimée. Il réunit les soldats et les maladies, sous la forme de la faucheuse, et décrit comment les gens sont morts durant cette guerre. Il s'aide du champs lexical de la mort pour décrire le massacre. Ce poème m'a plu car il permet de se rendre compte de l'horreur de l’événement. Le dernier vers met la date en valeur,

répartition du travail . Chaque année, 15 ha sont destinés pour le foin. Celui-ci est réservé pour les bovins allaitants. Il est réalisé fin juin pour un rendement de 5 tonnes de matière sèche à l’hectare. Les prairies sont fauchées avec une faucheuse conditionneuse le mardi. Elles sont fanées avec une faneuse 6 toupies le jeudi puis le samedi. Elles sont andainées avec un andaineur 2 toupies latérales le lundi après-midi puis sont pressées avec une presse à boule le mardi. Le foin est stocké

droit 'sans autre forme de procès' → court récit d'une tragédie (= bienséance opposé) La Fontaine : 'Je me sert d'animaux pour instruire les Hommes' → personnage qui représentent : la force : le loup la faiblesse : l'agneau = topos La Faucheuse : allégorie de la mort Le Loup : allégorie de la force L'Agneau : allégorie de la faiblesse → Allégorie : représentation concrète d'une idée abstraire Les personnages sont donc allégoriques et antithétiques (loup contre force) Personnifications

| | | |une chose ou une animal.| | | |L'allégorie |On rend une idée |La mort -> la faucheuse. | | | |abstraite. | |

la guerre : jeu des alliances (« trois contre trois, deux contre trois,… ») → fondement non moral mais pour l’enrichissement personnel) 2. Enrollement des mercenaires → « on les déguise en soldat », « comme des moissoneurs » : allusion à la faucheuse. 3. Hyperbole : ils ont réunis plus de soldats que les 3 grands envahisseurs. 4. La petite province est une forme de monarchie éclairée et de démocratie : « pour donner des lois aux gens, il faut au moins avoir leur consentement ». Les princes

la question Tel est le poison Faut-il laisser un affront impuni ? Faut-il perdre un ami ? Le Destin me joue des tours ! Puis-je vivre sans amour ? M’es tu donné pour venger mon honneur ? M’es tu donné pour briser mon coeur? Courons à la Faucheuse ! Je dois à ma maitresse aussi bien qu’à mon confident J’attire la haine et le courroux de ma femme en restant indifférent Je perds mon ami en choissisant ma mie Je perds le sens de la vie en perdant mon ami Mon mal augmente à vouloir le diminuer

outil de comparaison. Les jeunes filles caquettent au fon de la classe. La personnification On prête des comportements humains à une chose ou une animal. Les arbres gémissent au vent. L'allégorie On rend une idée abstraite. La mort -> la faucheuse.