Faut Il Opposer Nature Et Culture

rencontre de deux hommes opposés dans un court récit qui se termine par une moralité. Situé dans une antiquité imprécise, l’apologue explicite deux conceptions du bonheur et donne au lecteur une morale qui lui permet de faire son choix et de le justifier. L’auteur n’hésite pas à prendre position. Par quels moyens La Fontaine exprima-t-il sa conception du bonheur ? I : Le récit d’une rencontre La fable est conçue comme le récit d’une rencontre entre deux personnages opposés, par leurs origines

pyramidal n’est donc plus adapté.   Modèle pyramidal    -       Circuit de décision : décision vient d’en haut et se répercute en dessous -       Circuit d’information : info vient d’en bas et remonte. Pour transmettre une info à un autre service, il faut la faire remonter au chef commun. -       Distribution des rôles : fonctions, compétences, rémunérations.   Þ C’est donc un modèle qui repose sur la notion de hiérarchie, notion qui n’est pertinente que quand on est dans un environnement stable

d'un groupe particulier, ex communauté scientifique ou laboratoire de recherche, groupe social restreint. Ce qui va retenir le sociologue sont les caractéristique de ce groupes , les valeurs communes, organisations internes au sein du groupe, la culture scientifique, les savoirs faire locaux. La sociologie des sciences défend des positions très constructiviste et relativisme: considère que le social détermine le cognitif; le social est premier. Pour le sociologue , la notion de vérité scientifique

Philosophie Dossier : La bombe écologique : changer le rapport de l’homme à la nature. Le texte d’introduction fait bilan global de l’écologie, en faisant référence a des catastrophes écologiques : Les abeilles disparaissent, le désert avance dans les zones subtropicales, les sols s'érodent, l'eau potable se raréfie. Les phénomènes météorologiques inhabituels ou violents se multiplient. Ainsi que sur les acteurs qui peuvent les aggraver : La croissance économique de la Chine, celle du nombre d'habitants

EPISTÉMOLOGIE Libre arbitre vs. Déterminisme : oppose Hegel et Marx Les idées font le monde, ou je suis libre de faire ce que je veux, ou je subis le déterminisme et obéit aux lois de ma société. Grand débat : L’homme vit dans un monde ou il fait ce qu’il veut ou il le subit Ce n’et pas une posture universelle, car ce n’est pas toutes les sociétés qui envisagent ce genre de débat. Double paradoxe : Si je postule ce libre arbitre, nous pouvons faire n’importe quoi, mais nous sommes forcés de voir

l’on se propose de réaliser pour soi. Pourtant, on oppose aussi désirer et vouloir. On reproche par exemple à quelqu’un de manquer de volonté parce qu’il cède à ses désirs. Vouloir apparaît alors comme la recherche d’objectifs qui ont une valeur alors que désirer est rabaissé à une fonction quasi animale. Dès lors, on peut se demander si désirer c’est la même chose que vouloir ou bien si on est fondé à les distinguer, voire à les opposer. Si on s’en tient aux objectifs, force est

pour savoir ce que seraient les règles optimales de la société. Jusqu’au XIXe siècle, on ne cherche pas à dire ce qui se passe mais ce qui devrait se passer. 2 CARACTERES 1 ° Finaliste : elle cherche a mettre en évidence la sociologie qu’il faut se donner (le meilleur) 2° Normative : a partir de l’idéale qu’elle s’est fixé, il y a des normes pour conduire à cette sociologie idéale. Jusqu’au XIXe siècle la construction sociale est philosophique. Il existe deux courants : 1°

rituels. CLS : opposition entre l’acte sexuel qui est fait de nature et le mariage qui est fait de culture. Nature/culture => discutable… Successeurs de CLS (Descola par exemple) : opposer nature et culture ne peut pas être universel. Dans certaines sociétés, il n’y a pas cette opposition. On ne peut pas dire que la sexualité soit un fait de nature (selon le prof). Cette opposition de CLS entre sexualité/nature et mariage/culture est fragile. Mais il ne peut pas fonder son analyse structurale

Il y a deux aspects dans cette question : Le problème de l’origine de l’inégalité dans le sens où existe des riches et des pauvres, où existe une distinction entre gouvernants et gouvernés. Le problème est de savoir s’il s’agit d’un fait de la Nature, qui impliquerait une inégalité dont l’homme n’est pas redevable, ou bien il s’agit d’un héritage culturel lié à l’histoire. Le second point concerne le problème du Droit naturel, la loi naturelle légitime-t-elle l’existence d’une inégalité entre

par l’éducation. Sans la culture, nous ne serions alors que des animaux sujets à nos pulsions, cela montre donc l’opposition qu’il y a entre la culture que nous recevons et la nature avec laquelle nous naissons. Ce serait alors par la culture que nous deviendrions des Hommes. Par ailleurs, les connaissances sont propres à chaque peuple mais plus encore à chaque individu. Cependant, le risque encouru par l’individu qui ne cherchent pas à s’ éloigner des préjugés de sa culture peut faire preuve d’ethnocentrisme