Faut Il Prendre Ses Désirs Pour La Réalité

Philosophie Dissertation   Sujet : Faut-il perdre ses illusions ?     Dans le film Inception de Christopher Nolan, Dom Cobb et sa femme Mall sont heureux avec leurs deux enfants. Malheureusement, après une expérience de Dom sur la science des rêves, ils se retrouvent tout deux piégés dans un monde d’illusions, construit à partir de leurs rêves et leurs envies. Les deux protagonistes créent donc ce monde à leur goût pendant de nombreuses années. Mais Cobb découvre le moyen de s’échapper de

leur vision de l'homme. Pour eux, l'homme est maître de ses sentiments, de ses actions et de ses pensées. La deuxième conception représente l'homme comme un être qui dépend de ses humeurs, des circonstances tangentes à sa vie quotidienne, de ses désirs cachés, ignorés de lui-même ou à jamais révélés: il est fait à la fois d?un corps désirant et d'un esprit incertain. L'homme n'est pas toujours maître de ses sentiments, de ses actions ou de ses pensées. Cette seconde conception résulte des travaux

Introduction : A première vue, il semble assez évident que le désir, loin de se satisfaire de la réalité, ne cesse de se plaindre de ses manques. Contrairement au besoin, qui disparaît une fois assouvi, le désir semble « jouer à saute-mouton », se portant incessamment d’un objet à l’autre en dépassant chacun vers ce qui lui semble être encore mieux. Mais un objet ne nous satisfait-il plus parce qu’il lui manque quelque chose, ou bien parce que notre désir s’en est lassé ? Il s’agit de

la réalité ? Si le physicien a affaire à la réalité, pourquoi décrit-il une réalité que nous ne percevons pas ? Mais s’il ne se rapporte pas à la réalité, de quoi parle-t-il ? d’une réalité construite par la science ? Qu’est-ce qui vient dès lors garantir que le physicien parle bien de la réalité ? Enjeu épistémique du sujet : que pouvons-nous connaître ? Le langage exprime-t-il la réalité ? Si le langage exprime la réalité, pourquoi les mots nous manquent-ils pour dire des réalités singulières

Le Sérieux « Le sérieux, ce symptôme évident d’une mauvaise digestion ». Nietzche définie ici le sérieux comme étant un symptôme d’une mauvaise humeur alors qu’en réalité tous on réclame d’être sérieux et même on prétend être pris au sérieux. En général être sérieux a une connotation positive car cela désigne quelqu’un qui fait les choses bien avec assiduité et « maturité » .Faire les choses au sérieux nous rassure d’avoir fait le mieux. Mais qu’est-ce que vraiment le sérieux ?

lui plaît ? - Est-ce une fonction de l’art que d’embellir la vie ? - Est-il possible d’expliquer une œuvre d’art ? - Expliquer une œuvre d’art, est-ce la comprendre ? - Faut-il connaître l’intention d’un artiste pour juger son œuvre ? - Faut-il recourir à la notion d’inspiration pour rendre compte de la production artistique ? - Faut-il renoncer à définir le beau ? - L’art a-t-il pour fonction d’exprimer ce qui échappe à la science ? - L’art change-t-il la vie ? - L’art doit-il s’intéresser à la laideur

sentiment de crainte, de méfiance peut se mêler à cette liberté tant désirée. Nous commencerons a nous penchez sur le coté «  jouissif » de la liberté, ensuite nous verrons si il n'y a pas de limites à cet «  idéal », puis si cela s'inscrit dans la réalité humaine. Il semble que la liberté est ce que recherche les hommes, qu'elle soit l'essence de l'humanité. Ce sans quoi l'humanité ne serait plus l'humanité, ou plus ce qui diffère l'homme qui peut faire des choix, aux animaux qui eux doivent se

d’inconscient apparait au XIXème siècle avec la venue de philosophes comme Freud qui mettent en place une nouvelle forme de philosophie. L’inconscient est défini comme étant ce qui va à l’encontre de la conscience, une chose dont l’homme ne peut prendre du recul. La notion d’inconscient introduit-elle la fatalité dans la vie de l’homme ? La fatalité étant l’idée selon laquelle les choses doivent se faire d’une manière ou d’une autre, on voit donc que l’on ne peut échapper à la fatalité. Ce terme

donc, le bonheur, dans sa définition n'exclu pas le désir. Le désir étant le propre de l'homme, il est dans sa nature profonde de désirer, il serait donc lié a une certaine envie, c'est à dire un rêve, un souhait d'existence qui peut porter sur une réalité. Cette fuite du désir résulte de la distance qui sépare l'homme du seul état en lequel il pourrait se nourrir, a savoir le bonheur. Qui lui, le bonheur est un état de bien être, ou le porc et l’âme seraient en harmonie avec le monde et ne seraient

satisfaire ses désirs primaires (tel que manger, boire ou assurer sa protection). Les épicuriens se sont intéressés aux fonctionnements de l'Homme en fonctions de ses désirs. Ils ont distingué un groupe de désirs que l'Homme doit satisfaire à tout prix. Ces désirs sont appelés les «désirs naturels nécessaires». Cela regroupe les désirs liés au maintien de la survie de l'espèce humaine comme manger, varier les plaisirs liés au corps, dormir, boire, ou se protéger. La satisfaction de ces désirs peut délaisser