Faut Il Punir Ou éduquer Son Enfant

5. Punir / Surveiller / Eduquer Faut-il surveiller ou punir pour éduquer? - Depuis notre enfance, nous sommes constamment éduqués en étant surveillé et puni. A l'école, au travail et au cours des différentes étapes de notre vie. Actuellement, les autorités nous surveillent aussi avec la vidéosurveillance en prétendant toujours l'installer qu'à des endroits essentiels. - Par exemple, la police qui est payée par l'Etat, afflige une punition à un délinquant pour l'avertir, l'éduquer. Mais

crée ainsi la société humaine. Cependant il y une différence notoire entre surveiller et punir. Celle-ci se fait dans la gradation du jugement. Effectivement punir implique sanction. Surveiller, est prévenir le danger, superviser les actions de l’autre. L’autorité, la justice régit le bien être d’une cité, d’une communauté. La société est organisée selon des lois. Mais pourquoi faut-il surveiller et punir l’homme ? En le punissant sommes nous entrain de l’aider à distinguer le bien du mal ? Toutefois

L. Janin J. Guillot Etude de cas Notre étude de cas porte sur un enfant de 7 ans de niveau CP qui ne respecte pas toujours les règles sociales de la classe. Il peut s’agir du fait qu’il parle trop fort, il se lève de sa chaise, qu’il crie, qu’il embête ses camarades etc. Pour le punir donc pour lui faire comprendre que ce qu’il a fait n’est pas bien et qu’il ne faut pas recommencer, son enseignant le prive de récréation. Par cela, il le prive donc de jeux, de défoulement, de vie en société

Autorité Historique/cours La fonction de l’autorité : - Raisons anthropologiques : le monde qui nous préexiste, s’impose aux enfants qui n’ont pas décidé de naitre. Il faut donc que les adultes assument la responsabilité du monde pour leur présenter afin qu’ils le comprennent, pour cela ils font autorité sur eux. - Raisons scolaires : l’éducateur a affaire à un groupe d’élève qui doit respecter des règles communes reliés à un intérêt commun ; discipline du corps et de l’esprit

théorie comportementaliste La théorie : Elle est issue de travaux anglo-saxons qui font de la sanction une vulgaire peine, ils critiquent la position naturaliste de JJ Rousseau. Rousseau défend l’idée d’une sanction naturelle. L’enfant doit être éduqué dans la dépendance des choses, il doit éprouver lui-même les limites de ses actes. S’il mange trop, il sera malade ; s’il est impoli, on ne lui parle plus. Rousseau fait l’éloge des réactions naturelles qui suivent les actions erronées de l’enfant

apprenons aussi certaines informations sur sa pensée. • Le contenu du paratexte nous apprend que cela c’est passé à Belle-Ile-en Mer en Août 1934. Cet évènement choquant attire l’attention et déclenche une polémique car l’évasion des enfants a révélé la maltraitance des enfants. Question 1.2 • Le métier de l’auteur était président, corédacteur en chef, et historien. C’est ce qui prouve la crédibilité et la spécialisation de Jacques Bourquin qui a écrit cet article. • Le gouvernement de Jacques Chirac

PISTE DISSERTATION : « POURQUOI PUNIT-ON ? A. Analyse du sujet : Sujet : pourquoi punit-on ? • Pourquoi : pour quelles raisons, dans quels buts  • Punir : sanctionner, réprimander, pénaliser, infliger un châtiment, une peine Faire du mal au nom du bien. C’est un principe d’autorité. Reformulation : pour quelles raisons et dans quels buts fait-on du mal au nom du bien ? B. Plan : I. La punition

Construisez des écoles à vos enfants, sinon vous finirez par leur construire des prisons. Voilà ce que Victor Hugo, célèbre écrivain français déclara au 19ème siècle « Ouvrez une école, vous fermerez une prison. » Oui, peut-être au 19ème siècle, où l’éducation était donnée par les enseignants des établissements scolaires, où les parents n’avaient pas le temps pour leurs enfants et que tout passait par l’école. Que les élèves étaient obligés d’obéir sinon ils se faisaient punir severement. Mais est-ce

Introduction Le monde des éducateurs est resté étrangement silencieux ces trente dernières années sur la question de la sanction. Désorienté, désemparé, comme si le rappel à la loi ne pouvait se faire que sur le mode de l’incantation. Comment en effet punir quand les principes qui sous-tendent une pratique sont idéologiquement disqualifiés ? Comment sanctionner quand on a le sentiment que la sanction est la marque d’un déficit relationnel, le signe d’un manque de professionnalité ou, plus simplement,

aussi utile à l’autre puisque pour exercer son pouvoir par exemple, l’Etat se serre de la violence. Mais l’était pourrais peut-être mener a bien ses missions sans avoir recours à cette violence ! donc faut t-il qu’ils soit rassemblés ? Sont t-ils indispensables ? Et surtout est-ce-que l’Etat peut punir et faire Reigner la lois sans avoir recours a la violence ?? Ainsi nous essayerons de découvrir si la violence et vraiment nécessaire à l’etat ou si on contraire il pourrai agir sans ! Donc nous verrons