Faut Il Réguler La Finance Mondiale

négative sur au moins 2 trimestres consécutifs. Dépression = récession mais sur plus de 6 mois. - Reprise : point avant une expansion Même si il existe des phases d’expansion et de contraction, pour savoir si une économie est en extension il faut calculer le TREND, c’est-à-dire la moyenne du taux de croissance sur plusieurs cycles. b. Les différents types de cycles Doc. 3 p 43 On différentie les cycles économiques par leur périodicité, on a des cycles courts et des cycles longs : - Cycle

crises restent difficiles à prévoir par les autorités monétaires nationales ou internationales, et même leur interprétation après coup est sujette à débats. Les crises financières secouent depuis dix ans, presque sans interruption, l’économie mondiale. Elles ont été spécialement fréquentes et profondes pour les économies les plus récemment intégrées aux mouvements financiers internationaux, alors que les économies qui s’inscrivent dans une longue tradition d’intermédiation financière ont été moins

aussi bien être une action, un taux de change, une matière première, une obligation ou un indice. La valeur d’un produit dérivé, son risque et sa rentabilité sont donc « dérivés » d’un autre actif. Les produits dérivés, actifs très ancrés dans la finance de marché s’il en est, sont initiés par un contrat entre un acheteur et un vendeur (qui sont donc les deux parties au contrat). Depuis la fin des années 1980, les produits dérivés ont pris une très grande importance et sont très populaires sur les

l’Enass Ecole nationale d’assurances Le risque systémique révélé par la crise financière et économique a-t-il entraîné l’instauration d’un nouvel ordre économique et financier mondial ? André DEBET Remerciements Je tiens particulièrement à remercier pour son aimable collaboration dans la rédaction de ce mémoire: - M. Alain Borderie 2 Table des matières Remerciements ............................................................................................................

objectifs poursuivis en termes de concurrence, d’innovation et d’allocation des ressources, contribuant indiscutablement à la croissance des vingt dernières années, mais a échoué quant à la stabilité du système qui a engendré sa propre bulle destructive. Faut-il au contraire compléter le dispositif réglementaire défaillant tout en gardant une philosophie de libre marché et de concurrence ?   Avant de trancher cette question, approfondissons les origines et les développements de la crise elle-même.  

Ecidec au Bénin, au début des années 1990, son objectif est simple: aider les cultivateurs d'ananas locaux à exporter leur production. Mais très vite, ces producteurs lui confient que leur principal besoin est de disposer d'avances sur recettes pour financer leurs achats de matières premières et d'outillage. Ecidec développe à cette fin une activité de microcrédit, qu'elle étend ensuite à des personnes sans ressources, des femmes à 80%, afin de leur permettre de développer des activités de petit commerce

se. e produite par ce conflit retrouve aussi une antithè et une synthè cré un cycle. Ce tandem se, se, ant selon E. Kane se retrouve dans l’innovation et la régulation financière. On note deux suites d’enchaînements suivant le point de vue du régulé ou du régulateur : régulation-contournementre-ré gulation et contournement-re-ré gulation-contournement. Cette vision é volutive implique deux politiques : (i) Sous des changements technologiques et de volatilitéé conomique exogènes, les politiques

------------------------------------------------- Le budget de l’etat ------------------------------------------------- Le budget de l’etat Introduction L’équilibre du budget de l’état a été un des fondements de la finance publique jusqu’à la première guerre mondiale. C’est à partir de la théorie générale de Keynes (1936) qu’apparaît l’idée que le budget de l’état peut être un moyen puissant de régulation conjoncturelle. La politique budgétaire c’est-à-dire l’intervention de la puissance

intégralement dépensé. Que se passe-t-il si les agents ne dépensent pas (épargnent) une partie de leurs revenus ? Cela ne pose pour les néo-classiques aucun problème, l’épargne (la partie du revenu qui n’est pas consacrée à la consommation) servant à financer l’investissement. L’épargne en d’autres termes est aussi une dépense, non en biens de consommation mais d’investissement. 2 Les individus ne peuvent en effet jamais avoir d’encaisses oisives : n’ayant aucune préférence pour la liquidité, ils

états-unien et britannique, auxquelles se livre la finance internationale qui ont conduit à la catastrophe du siècle, dont nous vivons désormais les débuts. Des «armes financières de destruction massive » ont été systématiquement mises en place, transformant des régions industrielles entières en « terre brûlée ». Comme Londres et Washington bloquent toute tentative de réguler l’économie-casino mondialisée, c’est aux États-nations d’agir : il ne faut pas sauver les banques allemands qui participent