Faut Il Toujours Opposer La Croyance Au Savoir

Mais cette opposition entre idéalisme et matérialisme ressemble for à un dualisme, tout  aussi illégitime. Gilles Deleuze incite à penser la philosophie est un rhizome : il faudrait  trouver une certaine continuité, des « chemins de traverse » entre tous les philosophes et  non les opposer radicalement.   Il semble donc impératif de construire une philosophie des oubliés, une réflexion qui fasse  la part belle aux philosophes que l’histoire abandonne trop souvent.  U N PEU D ’ HISTORIOGRAPHIE  :  LA NOTION D ’ ARCHIPEL ,  LA  QUESTION DES SOURCES

réflexion : avant d’apprendre il faut comprendre la logique de la démarche sociologique. Apprendre par cœur les définitions de base est donc nécessaire pour réussir le concours, mais non suffisant. Il s’agit de comprendre les exemples et d’être capable de restituer la manière, la logique dont les sciences humaines et sociales étudient le monde de la santé/médecine et quel type d’aide elles peuvent apporter à la pratique. La médecine peut être définie comme un savoir appliqué qui repose sur des disciplines

P. QUEREEL, L. GUESPIN, J.P. GOLDENSTEIN, A. WINTHER. C) Post-face B. GARDIN : Quelques remarques p.137 L. GUESPIN : La norme dans la logique du fait « langage » p.142 LES PROBLEMES DE LA NORME J.-P. Kaminker Perpignan Introduction Il me faut commencer par dire qu’à mon avis la norme n’est pas un objet dont il y ait lieu de rendre compte à l’intérieur de la théorie linguistique, entendue comme théorie des grammaires. Non que la linguistique n’ait rien à voir ici. Je vais essayer de montrer

Peut-on juger les opinions ? Une opinion est une croyance, c’est à dire une idée que l’on tient pour vraie, juste ou bonne sans que l’on puisse en fournir de preuve suffisante : elle exprime un jugement personnel ou collectif subjectif peu ou pas argumenté ou dont l’argumentation apparaît rationnellement fautive. En cela toute opinion est en droit critiquable ; c’est même un des rôles principaux de la réflexion philosophique de remettre en question la valeur des opinions, particulièrement celles

pas un individu: Un individu qui a de la culture possède des connaissances nombreuses. C'est dans ce sens qu'on parle de culture générale. → En un 2eme sens, la culture est quelque chose dans lequel l'individu vit: Une culture est un ensemble de croyances, de coutumes, et d'institutions propres à une société, une portion de société, ou plusieurs sociétés. On parle aussi, dans le cas d'une vaste échelle spatiale ou temporelle de civilisation.→ En un 3ème sens, la culture n'est plus une notion statique

Socrate ? Sages qui se faisaient payer pour enseigner à certains citoyens relativement fortuné l’art de la parole. 1er professionnels de la communication. Sophistes = ennemis intellectuels. Sa pratique du doute et du questionnement va s’opposer à leur savoir, leur assurance, leur capacité d’avoir un avis sur toutes les questions, morales, politiques ou existentielles. Deuxième maxime : « Connais-toi toi-même»  La connaissance de soi est une condition nécessaire à la connaissance des autres et plus

« Le scepticisme est la faculté de mettre face à face les choses qui apparaissent aussi bien que celles qui sont pensées, de quelque manière que ce soit, capacité par laquelle, du fait de la force égale qu'il y a dans les objets et les raisonnements opposés, nous arriverons d'abord à la suspension de l'assentiment, et après cela à la tranquillité», Sextus Empiricus, Esquisses pyrrhoniennes, I, 8 » Au-delà de cet usage strict du terme, sceptique est un adjectif abondamment utilisé, dans des sens parfois

 DES CROYANCES ET DES HOMMES Quelques connaissances utiles pour les soignants « Connaître c’est mieux comprendre » Définitions Une religion est un ensemble de croyances et de rites en lequel communient des individus qui y découvrent un sens surnaturel aux questions que pose l’existence. Pratiquer sa religion ou agir selon ses croyances : Capacité d'une personne à connaître et promouvoir ses propres principes, croyances et valeurs. Également à les impliquer dans le sens qu'elle

pratique) est contenue dans ces trois questions : Que puis-je savoir ? Que dois-je faire ? Que met-il permit d’espérer ? » = intérêt de la raison = c’est ce qu’elle a besoin de savoir, ce qu’elle ne peut m’empêcher de se demander. Ces aspirations de la raison peuvent concerner ledomaine spéculatif (=théorique), ou le domaine pratique (=ce qui concerne la liberté). On peut englober l'homme à travers ces trois questions : - Que puis-je connaitre, savoir ? = question d’ordre théorique, spéculative. Cette question

Le résultat en est ce que nous appelons un contrat de communication. Le discours politique, pour ce qui est de ses significations et de ses effets, ne résulte pas de la simple application de schémas de pensée préconstruits qui se reproduiraient toujours de la même façon selon que l’on serait du côté des dominants ou des dominés. On dira que les significations du discours politique sont façonnées et même refaçonnées, à la fois par le dispositif de la situation de communication et par ses acteurs