Faut Il épargner Pour Investir

Projet Personnel en Humanités INVESTIR EN BOURSE POUR UN PARTICULIER 2010 Sommaire INTRODUCTION A. 1. LES FRANÇAIS ET L’EPARGNE LA BOURSE  PRESENTATION DE LA BOURSE  PRODUITS ECHANGES EN BOURSE PATRIMOINE FINANCIER DES MENAGES FRANÇAIS MAITRISER LES RISQUES BOURSIERS RENTABILITE ET RISQUE DES INVESTISSEMENTS EN ACTIONS SUR LE LONG-TERME  CAS DES MARCHES AMERICAINS  COMPARAISON AVEC LES MARCHES NON-AMERICAINS  QU’EN CONCLURE SUR LA PERTINENCE D’INVESTIR EN ACTIONS POUR UN EPARGNANT

XIXe siècle, Engel, selon laquelle lorsque les reve nus augmentent, les besoins alimentaires diminuent et les ressources supplémentaires s'orientent vers d'autres dépenses : santé, transports, culture (Les lois d’Engel). Remarque importante : il ne faut pas confondre valeur absolue et valeur relative. En valeur absolue, nous dépensons davantage d'argent pour l'alimentation (1 673 euros en 1970 et 2 108 euros en 1992) ; mais en valeur relative, compte tenu de l'augmentation des revenus, le poids de

au salaire permet de stimuler la demande et donc dans une optique keynésienne de relancer ou d’accroitre la croissance : hausse des importations ou de l’épargne. Cependant il y a des couches de la population qui n’ont qu’une faible propension à épargner (les plus pauvres). Le fait que l’état préfère une répartition en faveur des salariés a permis la croissance exponentielle des Trente Glorieuses. L’Etat Providence a soutenu une croissance d’inspiration fordiste avec le five dollars per Day

être plus efficace en utilisant des machines plus performantes, qui sont qualifiées comme de nouveaux moyens, et l'économie d'échelle. → Plus de richesse créée avec autant de travail et de capitale fixe. Pour que les inégalités restent inchangées, il faut que profit et salaires augmentent de la même manière. Jusqu'en 1980, la hausse de la productivité est due à une hausse plus importante des salaires que celle du profit. Cela va entrainer une augmentation des prix ( inflation qui augmente de 10% chaque

proposées entre la fin des années 50 et le début des années 60 grâce à des auteurs tels que Robinson, Pasinetti ou encore Kaldor. Ce dernier va insister sur l’effet régulateur de la croissance grâce à un mécanisme d’ajustement de la propension moyenne à épargner. A. Nicholas Kaldor Économiste britannique d’origine hongroise, Nicholas Kaldor (19081986) est devenu, en 1932, assistant à seulement 24 ans, puis maître de conférences, à la London School of Economics ou il restera jusqu’en 1947. Il deviendra

financière et/ou familiale) B. Les choix du consommateur Analysé par Keynes sous une formule mathématique : Y = C + S (somme des revenus qu’on a touché) (consommation) (épargne) Le consommation se divise en deux : * la consommation collective : regroupe les biens collectifs ; ce sont des biens qui nous apporte un plus sans directement correspondre à une dépense réelle. La consommation collective est réalisée par

Section 2 : Le cercle vertueux de l’accumulation du capital Question centrale : Comment accroitre le produit national, les richesses ? Pour augmenter la production, il faut augmenter le capital. L’accumulation du capital consiste à faire grossir les stocks de capital, ce qui permet de produire de la richesse. C’est de l’argent investi : Argent dépensé par les capitalistes pour les biens d’équipement Argent dépensé par les capitalistes pour les matières premières Argent dépensé pour les salaires des

Section 2 : Le cercle vertueux de l’accumulation du capital Question centrale : Comment accroitre le produit national, les richesses ? Pour augmenter la production, il faut augmenter le capital. L’accumulation du capital consiste à faire grossir les stocks de capital, ce qui permet de produire de la richesse. C’est de l’argent investi : Argent dépensé par les capitalistes pour les biens d’équipement Argent dépensé par les capitalistes pour les matières premières Argent dépensé pour les salaires des

britannique David Ricardo (1772-1823) a mis en exergue le rôle prépondérant des capitalistes, seuls aptes à épargner dans une vision micro-économique. Les capitalistes sont en outre les investisseurs. Dans le cadre de cette approche, Ricardo souligne l’identité entre épargne et investissement, en ce que l’épargne déterminerait l’investissement. Il ne pourrait donc y avoir d’investissement sans épargne. Père fondateur de l’économie de l’offre, Jean-Baptiste Say s’inscrit dans la veine de la pensée classique

L'analyse de marché nous a montré que la clientèle était en majorité une clientèle moyen / haut de gamme, ce qui amène à penser qu'elle pourrait développer un PNB relativement important si elle arrivait à attirer cette clientèle. Cependant, il ne faut pas oublier la concurrence déjà existante et bien implantée malgré le petit nombre. Ainsi, il sera important de trouver des offres attractives pour attirer cette clientèle en répondant aux besoins et attentes non décelés encore afin de pouvoir les