Favela

de autres.II - Discuter les processus de civilisation et de non-civilisation (illustré par le film “La Cité des Dieux” - Fernando Meirelles & Kátia Lund, 2002.) Le film “La cité des dieux” raconte l'histoire de plusieurs groupes sociaux d’une favela qui a vu le jour à Rio de Janeiro dans les années soixante. A travers

CARDONA JONATHAN Un gangster dans les favelas. 2ndeA Je voyais Juan Jose Rodriguez être poursuivit dès le deuxième étage d’une maison deux heures après le business qu’on avait fait dans les favelas du Brésil. Je l’ai poursuivis avec prudence jusqu’à que j’ai vu un camion avec 10 hommes armés c’était l’armée brésilienne. Ils avaient sur leurs têtes un casque, un gilet pare-balles, une M- 16 que j’ai reconnu à cause d’avoir dépensé mes 15 dernières années de ma vie à vendre des armes et des

- Mexico - Sao Paulo B) Bidon ville et violence urbaine C’est les plus pauvres des campagnes qui vont dans les bidons ville : les Favelas. Elles ont plusieurs caractéristiques, tel qu’un habitat précaire, l’insalubrité, une occupation illégale des terres, et des maisons faites en matériaux de récupération. Rocinha est la plus grosse favela, elle comprend entre 150 0001 et 300 000 habitants, le chiffre exact n'étant pas connu, aucun recensement n'ayant jamais été effectué. Elle

riches acquière en 11 jours. Autrement dit les plus riches, qui représentent 10,5 % de la population (20 millions de personnes), détiennent 50 % des revenus totaux et donc 50% des plus pauvres se partagent 10% du revenu. C'est ainsi que en aval des favelas les classes moyennes et aisées de la ville occupent les quartiers résidentiels qui bordent le front de mer. Ce contraste social est à l’image de l’ensemble du Brésil où 10% de la population contrôlent la majeure partie des richesses du pays alors

Zaïre ils utilisent moins de 21m3 par habitants ce document montre l’inégalité de la consommation dans le monde et la France 669 m3 par habitant et par an ce qui est beaucoup moins par rapport a au Etats-Unis Titre : Eaux polluées dans les favelas de Mexico, 1994 Source : extrait de manuel d’histoire Commentaire : 90% des eaux usées dans le tiers-monde sont rejetés directement dans les rivières. Sur l’image du dessus nous voyons une eau polluée avec plein de déchets recouvrant la surface

effet, les infrastructures sont entourés de favelas, les cités brésiliennes, et pour construire, les autorités marques les maisons à être détruites, plus tard se sont les bulldozers de roulent dessus. Et tout cela sans demander l’accord des habitants, environ 1,5 millions de personnes sont délogé et une majorité n’est même pas rémunérée , donc laissé à la rue, ceci est contre les droits humain. De plus des policiers sont envoyés pour « pacifier » les favelas mais beaucoup y amènent la violence et certains

1960, Río de Janeiro était la capital du brésil, mais cette année là, le gouvernement brésilien décide de déplacer les pouvoirs politique à Brasilia. A cette même époque se construit, de grands hôtels tel que le Sheraton ou le Río Palace. Mais les favelas ( bidonvilles ) se remplissent de plus en plus d'immigrant, qui arrivent des zones le plus pauvres ( Nordeste / l'intérieur du pays ), qui s'ajoutent a ceux qui étaient déjà présent. La délinquance et la violence augmente, ce qui fait perdre du charme

certains, richement. Mais des millions de Brésiliens sont cependant privés des soins les plus élémentaires, restent analphabètes et vivent très pauvrement. Les plus pauvres vivent dans des bidonvilles,favelas, qui sont des quartiers construits avec des matériaux récupérés. On trouve des favelas sur le bord des routes, à l'entrée des villes. Construites la plupart du temps illégalement, elles sont habitées par une grande partie de la population rurale qui, en quête d'un travail, a quitté villages

logements, l’agglomération comptant 16 000 favelas. Comme, par ailleurs, Sao Paolo est le cœur économique d’un pays puissant on y trouve aussi une population très riche. La ville rassemble, parfois sur des faibles distances, les plus riches et les plus pauvres d’un pays connu pour ses grandes inégalités sociales Le problème majeur est la très grande pauvreté de nombreux habitants qui ne peuvent même pas bénéficier des politiques de résorption des favelas ni trouver autre chose que des emplois précaire

torno da cidade, se formarão as actuales famosas favelas de Rio de Janeiro. Podemos dizer que o Samba moderno nasci então nas favelas de Rio de Janeiro, a população desenvolerão o antigo Samba. Durante tempos libres, cantavam e dançavam sobre o ritmo de batucada, o seja de percução que incitava a dançar. Se reunirão em casa da mulheres que se chamarão “tias”. A tia mas conhecida é tia Ciata, Hilária Batista de Almeida, ela morava nas favelas de Rio de janeiro, cerca dum lugar importante pelo