Favela

inégale des richesses = Chili qui n’a pas de protection social et a une répartition inégale ; le Brésil > pays dvpé, spécialisation ds l’informatique, 8éme puissance industrielle mais malgré les avancées sociales, 2/3 de la pop est sous alimenté + MST, favelas et répartition inégales des terres ; la Chine 10% C mais répartition des richesses géographiques (littoral.intérieur des terres). * les pays riches mais avec des poches de pauvreté = « trouée de misère » = USA puissance la plus riche du monde

les familles doivent faire vacciner leurs enfants et contrôler leur assiduité à l’école. Cependant, malgré ces efforts, le Brésil demeure l’un des pays les plus inégalitaires au monde : une grande partie de sa population continue à vivre dans des favelas. La libéralisation de l’économie a eu des conséquences sociales dramatiques en matière d’éducation et de santé. De ce fait, le pays connaît toujours de fortes tensions sociales accentuées par l’organisation de la coupe du monde de football en 2014

est de 140 pour le Sudeste brésilien contre seulement 47 pour le Nordeste. - entre groupes sociaux : bidonvilles, minorités ethniques... Dans le même temps, on trouve des ghettos de pauvreté au sein des régions “riches” ou des grandes villes (les favelas de Rio jouxtent les quartiers riches de Copacabana, la ségrégation sociale est une constante de l’organisation des grandes villes américaines) ainsi que l’inverse (les riches propriétaires de canne à sucre ou de grands domaines d’élevage côtoient

partie du travail effectué par Cuba en matière de santé a porté sur l'enfance. Les média cubains mettent fréquemment en avant la différence entre les enfants cubains et ceux de Bogotá, Los Angeles, Buenos Aires, les «pueblos jóvenes» du Pérou, ou les favelas du Brésil. Tous les enfants cubains ont le droit d'acheter un litre du lait par jour à un prix abordable jusqu'à l'âge de 7 ans. L'espérance de vie à Cuba est officiellement à peine inférieure à celle des États-Unis en 2002, et est la plus élevée

l’ASP et les besoins de formation, une recherche documentaire sur les dispositifs similaires à l’étranger. J’ai produit des études de cas sur les Pact Arim en France, un projet intégré de lutte contre l’exclusion sociale en Catalogne, et le programme Favela Bairro à Rio de Janeiro. Enfin, sur le PGL en soi, j’ai participé au brainstorming de l’équipe sur deux journées pour le bilan de la première année et la déclinaison des objectifs à atteindre pour 2006-2008. J’ai ensuite établi le rapport de cette

fonction de leur catégorie sociale ou de leurs caractéristiques ethniques ou culturelles. Ex : Etats-Unis = ghettos, quartiers pauvres /« gated communities», lotissements très riches OU pays du Sud =centre urbain, quartiers riches / bidonvilles, favelas. II/ Des besoins spécifiques en transports et en mobilités 1. Mobilité en - recomposition des villes : activités s'installent au centre + habitations se multiplient en ville et étalement périphérie, conduisant à des migrations pendulairesle matin

population). Il s'agit d'un problème alarmant, et il contribue à l'inégalité économique dans le pays, ce pays est considéré comme étant leader dans le monde coefficient de Gini. La pauvreté au Brésil se traduit par le grand nombre de bidonvilles (favelas), la plupart d'entre eux existent dans les zones urbaines et dans les régions éloignées où il ya peu le développement économique et de la société. Le Nord-est face au problème chronique en raison du climat semi-aride les régions intérieures, les sécheresses

ayant connu une expérience migratoire. Tout d’abord, Regina est une personne qui est très attirée par l’engagement associatif, elle était déjà très engagée dans son pays où elle travaillait avec son mari sur un projet de réhabilitation d’une favela de Sao Paulo. Comme elle l’explique ici, Regina a donc commencé comme bénévole très peu de temps après son arrivé en Espagne et a pu profité d’une promotion au rang de professionnel, par le fait qu’elle bénéficiait d’un certain profil. Ce profil ou

son désir de ne pas être enfermé dans des catégories liées à sa couleur de peau ou à ses origines : « Traitez-moi de blanc ou de noir  » (« Don't you black or white me »). Spike Lee tournera deux versions de ce clip. L'une où Jackson danse dans les favelas de Salvador de Bahia, l'autre, boycottée par les chaînes musicales américaines qui refusent de la diffuser avant 21 heures, où Jackson interprète le titre dans une cellule de prison tapissée d'écrans qui diffusent des images d'actualités de guerre

(Ley, 1985) tout en travaillant à en éliminer ou contrôler les faiblesses. C’est ce projet que je souhaiterais soumettre à la critique et au débat. Réagir   Bibliographie Michel Agier, L’invention de la ville. Banlieues, townships, invasions et favelas, Paris, Éditions des archives contemporaines, 1999. Michel Aglietta, Régulation et crises du capitalisme, Paris, Odile Jacob, [1976], 1999. Antoine Bailly, « La ville : espace vécu », in Denise Pumain & Marie-Claire Robic (dir.), Théoriser de