Fédération des travailleurs socialistes de France

HISTOIRE DU MOUVEMENT OUVRIER EN FRANCE I / Avant la Révolution de 1789 Dès le Moyen Age, il existe en France toute une organisation s’intéressant aux problèmes du travail. Les relations entre maîtres et compagnons se passent à petite échelle au travers des confréries religieuses et, par la suite les corporations. A partir du XVIème siècle, apparaissent des formes nouvelles d’entreprises : la manufacture, la fabrique, les grands commerces. Une opposition d’intérêts se développe

(1905-1914) PROBLEMATIQUE : Dans quelles mesures, la diversité des courants politiques qui composent la SFIO lors de sa création entravent une totale unité du parti socialiste Français à la veille du premier conflit mondial ? - PLAN : La SFIO des années 1905-1914 : construire le parti I/ L'unification des forces socialistes (1905-1909) A. Création de la SFIO - Congrès du Globe: création du parti - Membres - Courants: quels partis se rassemblent ? - Les préludes de la SFIO :

sont gérées par des administrateurs syndicalistes. Une confédération est au niveau national une direction avec plusieurs fédérations avec le principe de double intégration: - Quand on se syndique, on le fait dans une section syndicale d'entreprise. On fait partie du syndicat. Au niveau professionnel ils vont dépendre d'une fédération du commerce (par exemple). La fédération regroupe tous les syndicats d'un secteur d'activité = intégration professionnelle. - Les syndicats ont aussi des revendications

ne veulent voir, du moins dans un premier temps, dans la loi de 1884 qu'une tentative de récupération et d'intégration du mouvement ouvrier. Une fédération nationale des Syndicats est créée à Lyon en octobre 1886 mais les rivalités en son sein entre "guesdistes" et "possibilistes" diminueront son influence. Elle sera concurrencée en 1892 par la fédération des Bourses du Travail. Ces divisions sont mal vécues par la classe ouvrière. Cette dernière impose dès 1893 un processus de rapprochement entre

politiques dans l’Europe au XIXe siècle Dissertation : l’organisation internationale des courants socialistes, de la Ière Internationale au déclenchement de la première guerre mondiale « Dès le moment où l’histoire est comprise comme une lutte entre deux classes à l’échelle mondiale, le parti de la classe révolutionnaire doit être nécessairement et au départ mondial » Kriegel. Les courants socialistes sont des mouvements qu’ils soient caractérisés par des associations, syndicats ou partis, qui ont

signataires du pacte. La Révolution française tenta sans grand succès d'unifier les peuples d’Europe contre les pouvoirs monarchiques. En 1795, dans son Essai sur la paix perpétuelle, Emmanuel Kant préconisait une « fédération d'États libres » : « Ce serait là une « Fédération » de peuples, et non pas un seul et même État, l'idée d'État supposant le rapport d'un souverain au peuple, d'un supérieur à son inférieur. Or plusieurs peuples réunis en un même État ne formeraient plus qu'un seul peuple

Thème « La conquête et défense des libertés publiques » Etude comparative des syndicats en France et en Norvège Quelles origines, quel fonctionnement, quels enjeux ? Mathilde Bénéteau Vlad Andrei Istrate Classe de 1iere ES Année Scolaire 2008/2009 Remerciements Aux professeurs qui nous ont encadrés dans ce travail pour leurs disponibilité et leur soutien. A Madame Ann-Kristin Hansen qui nous a si gentiment reçus et donné de son temps pour répondre

socialisme français prend place dans le mouvement ouvrier né au XIXème siècle. Les “Lumières” et la Révolution Française lui donnent un premier ferment : Rousseau émet déjà une sérieuse critique de la propriété privée. En effet, même si le terme « socialiste » n’est apparu que vers 1830, la préoccupation sociale était déjà présente dans certains courants de pensées de la fin du XVIIIème siècle. On la trouve également présente pendant la Révolution Française, celle-ci a tété une révolution politique

Michel Peyret 18 mai 2010 AU COMMENCEMENT ETAIT L'ASSOCIATION! ( Le plus gros canular du siècle – 2 ) « Le principe d'association a constitué le coeur du projet politique des premiers socialistes, pour lesquels il devait permettre de concilier bonheur individuel et bonheur collectif. » C'est en toute raison ce qu'affirme Philippe Chanial, maître de conférence en sociologie à l'université Paris-Dauphine dans un article du 12 mars dernier de la Revue du Mauss permanente.

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