Fédération nationale des Camelots du roi

retrouve confrontée à de redoutables problèmes économiques, financiers et politiques que les conservateurs aggravent parfois même délibérément. Dans ces circonstances, la gauche, représentée surtout par les radicaux, nouait avec les modérés une union nationale qui pratiquait une politique conservatrice. La droite se montre patriote sans complexes. Ainsi se méfie-t-elle des règlements internationaux du type de la SDN. Les conservateurs exigent une application stricte du traité de Versailles et reprochent

qui deviendra par la suite un journal quotidien ; des hommes de main, les Camelots du roi, qui s'organisent en fédération tout comme les étudiants d'AF ; une ligue politique ; une maison d'édition, la Nouvelle Librairie nationale ; une commission de propagande pour le soutien financier ; ainsi que de multiples et diverses institutions. Dans les années 1908-1914, l’Action française participe largement au « réveil national » dont le but est d’alerter la population et le gouvernement sur la menace

(traditionalistes) pour la défense des petits paysans face au capitalisme urbain ; -organisations d’anciens combattants (UNC = Union Nationale des Combattants) qui demandent réformes institutionnelles tout en restant fidèles à l’esprit républicain ; -ligues : pression par la rue, apparues sous le Bloc des gauches (1899-1904) et le Cartel des gauches (1924-1926), avec par ex. les Camelots du Roi de l’Action Française de Charles Maurras et les Jeunesses patriotes. Mais aussi nouveaux mouvements aux objectifs distincts

- L’hymne national est la Marseillaise, qui date de 1792 et qui est adoptée en 1879. - La devise est : liberté, égalité (idées fortes de la révolution française) et fraternité (symbole de la 2éme république). - Paris est la capitale, le gouvernement s’y installe donc le pouvoir politique est à Paris. - La fête nationale est le 14 juillet, en référence à la prise de la bastille en 1789 et la fête de la fédération en 1790. C-

l’accuse de cléricalisme. Au delà du respect de l’autorité de l’Eglise, elle respecte aussi l’armée, les valeurs communautaire (l’idée de patrie) et les biens de propriété. Ces droites sont moins structurées que la gauche. En 1903, a été créé la fédération républicaine. Un certains nombres de catholiques qui tentent d'avoir une action politique en tant que cnatholique crée, en 1902, un parti se nommant l’action libéral. En dehors de ces 2 parties qui jouent le jeu de la démocratie, se trouve une

l'Internationale Ouvrière). C'est Jean Jaurès qui est le fondateur de la SFIO. Il l'a dirigé jusqu'à sa mort en 1914 puis c'est Léon Blum qui prend sa place. La SFIO est un compromis entre le parti ouvrier français, le parti socialiste révolutionnaire, la fédération des travailleurs socialistes, le parti socialiste ouvrier révolutionnaire et les socialistes indépendants (comme Jaurès). La SFIO est ente 2 tendances : 2 courants : Un courant légaliste progressiste qui accepte la république (marxiste) Un courant

Girardet Issu d’une famille patriote et républicaine, Raoul Girardet est né en 1917, il est d’historien et s’est attaché à l’étude du nationalisme français, de l’histoire militaire, et à celle de « l’idée nationale ». Il enseigna à la Sorbonne, à l’Institut d’Etudes Politiques de Paris, à l’École nationale d’administration (ENA), l’École spéciale militaire de Saint-Cyr et à l’École polytechnique. Etiqueté à droite de l’échiquier politique, sa vie a été une succession d’engagements politiques autour de

de l'Etat serait un effet involontaire d'un processus sur le long terme et qui voit la concentration du pouvoir économique et militaire du roi. Elias distingue trois grandes phases: monopolisation de la puissance: démarre au 12ème siècle, marquée par une concurrence forte entre des seigneurs et des vassaux et qui débouche au 16ème siècle sur la victoire du roi de France. Besoin d’augmenter les terres cultivables → conquêtes et fusion des territoires → baisse du nombre de seigneurs et augmentation

conscience (du Moyen-Âge au XXe siècle) I. L'oubli de l'Europe : de la Guerre de Trente Ans (1618-1648) aux guerres idéologiques (1814-1914) A – La Guerre de Trente Ans B – L'Etat souverain et la question économique C – L'apparition du sentiment national et le Concert des Nations II. L'Europe en chaos : Les nouvelles guerres idéologiques (1914-1945) A – La première guerre mondiale et les changements d'organisation B – Les économies bellicistes des années 30 C – La Seconde Guerre mondiale :

gauche avec  la manifestation du 17 octobre 1909 contre l’exécution du pédagogue anarchiste Francisco Ferrer, puisque la CGT se rallie à la Fédération de la Seine de la SFIO, et ensemble ils organisent alors une grande manifestation pacifique avec l’accord du gouvernement (Aristide Brian).  On peut également s’intéresser a l’organisation étudiante, Union Nationale des Etudiants de France, fondé en 1907, bien qu’il s’agisse d’une organisation, elle se considère elle-même comme un syndicat. A la base