Fée marraine

: la beauté, un « paradis artificiel »  Comparaison avec le vin vers 4  La métaphore « bouche » assimilée à une « amphore » au vers 7. Argument 2 : la beauté, une magicienne  Champ lexical de la magie : « philtre, charmé, charmant, sirène, fée » Argument 3 : la beauté, une médiatrice  La beauté ouvre « la porte/D’un Infini que j’aime et n’ai jamais connu » : à noter la première apparition du poète.  Chute du poème fait de la beauté un remède contre la laideur et l’ennui. Argument 4

l’enfer, qu’importe, Ô Beauté ! monstre énorme, effrayant, ingénu ! Si ton œil, ton souris, ton pied, m’ouvrent la porte D’un Infini que j’aime et n’ai jamais connu ? De Satan ou de Dieu, qu’importe ? Ange ou Sirène, Qu’importe, si tu rends, — fée aux yeux de velours, Rhythme, parfum, lueur, ô mon unique reine ! — L’univers moins hideux et les instants moins lourds ? Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, XXI

Comment définir la beauté ? A ce jeu-là, plusieurs théories s’affrontent, nous avons de quoi piocher ce qui nous arrange. L’approche « physiognomiste », centrée sur le visage, explique que le label « beau/pas beau » vient d’un mélange entre les impressions propres de l’observateur et un processus biologique : nous préférerions en général les visages moyens et symétriques, a priori parce qu’ils seraient perçus comme des indicateurs de bonne santé ou d’une capacité reproductive +++. Pour la petite

bal, longue scène du retour à la maison, résumé des dix années de misère, portraits de Mathilde. - expliquer en quoi cette nouvelle est réaliste (milieux sociaux différents, histoire qui pourrait être réelle …) et en quoi elle est proche du conte de fée (points communs avec Cendrillon). - expliquer aussi la chute et la morale que l'on peut dégager de cette histoire. Mots-clés à employer dans votre exposé : schéma narratif, situation initiale, situation finale, élément perturbateur, péripéties, chute

La Belle Dame Sans Merci La Belle Dame Sans Merci est devenue, depuis les poèmes d’Alain Chartier (XVe) et John Keats (XIXe), une légende. Celle d'une dame envoûtante et dangereuse, une fée. Elle a été peinte par de nombreux artistes ici, Frank Cadogan Cowper. C'est du poème de Keats La Belle Dame Sans Merci, qui mêle le mythe courtois du chevalier errant et amoureux, ainsi que la présence aérienne et féerique d'une jeune femme, dont Cowper s'inspire pour le tableau ci-dessous : La peinture

Charles Perrault. La bonne femme ayant bu, lui dit «  Vous êtes si belle, si bonne et si honnête, que je ne puis m'empêcher de vous faire un don ( car c'était une fée qui avait pris la forme d'une pauvre femme de village, pour voir jusqu'où irait l'honnêteté de cette jeune fille). - Je vous donne pour don, poursuivit la fée, » qu'à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou une fleur, ou une pierre précieuse. -Lorsque cette belle fille arriva au logis, sa mère la gronda

 Un sentiment différent Lorsque tu commences à respirer difficilement mais t’es toujours en vie Lorsque t’as cent mots à dire mais tu perds tout en libérant ta voix Lorsque tu arrêtes de saisir le son du monde mais tu peux saisir les bats de ton cœur Lorsque l’Univers arrête de bouger mais tu peux toujours la / le sentir tout près C’est là que tu commences à aimer … Blah blah blah …Oui je sais, pas mal comme paroles mais je trouve toujours que l’amour c’est pour les nuls …Comment

apercevoir. Elle joue le rôle d'une membrane à sens unique qui divise l'Univers en deux domaines ; matière et lumière peuvent passer du domaine extérieur au domaine intérieur, mais non l'inverse (source Larousse) Recherche personnelle : le conte de fée Le conte ; récit merveilleux parlant de princesses, de châteaux, de héros, d’animaux fantastiques mais également de sorcières, de fées, de magie et d’enchantement. Nombre d’entre nous, pendant notre enfance notamment, avons un jour ou l’autre écouté

« L’île de la fée », EDGAR POE Récit à la première personne : le narrateur est un personnage de l’histoire. La nouvelle commence sur une réflexion autour de la musique Le personnage est dans la contemplation lyrique et le personnage est solitaire et référence à un ouvrage inventé par Edgar Poe  Paysage gothique La nature devient une personne vivante personnification Image du cercle présente dans la nouvelle Élément fantastique : la contemplation est comparée à une « vision » : cette

« Marguerite, où es-tu ? » Je l'ai retrouvé seule dans le couloir à cogner sa tête contre le mur. Elle chantait des mots au hasard en espérant trouver un rythme, un sens, une phrase qui aurait fait pleurer mes yeux. Quand ma main s'est posée sur son épaule nue, elle a crié à s'en déchirer les poumons. Sa voix était rayée comme un vieux disque oublié, sa puissance s'est brisée à quelques secondes de la fin. C'était une fleur fanée. C'était un ange déchu. Quand elle me parlait, je ne comprenais jamais