Féerie pour une autre fois

comédiennes avant la mise à feu de l’obus - pour Le voyage dans la Lune - dans une position différente de celle du film fini. Celle de La Lune à un mètre nous fait apparaître le décor dans le cadre de la propriété de Méliès à Montreuil, mais encore une fois, rien sur la conception du décor ou des trucages. Les dessins de Méliès pourrait nous offrir plus d’intérêt, mais on est là-aussi déçu : la plupart des dessins conservés à la cinémathèque ne sont pas des documents de travail de l’artiste, mais là encore

des merveilles Pages 12-14 III- Le mythe d’Alice Pages 14-17 A) Les adaptations Pages 14-15 B) Alice Liddell : une jeune centenaire Pages 16-17 Conclusion Page 18 Sources Page 19 Annexes Pages 20-22 Introduction I l était une fois…Alice au pays des merveilles. Cette œuvre de littérature enfantine a été écrite par Lewis Carroll et publiée en 1865. On la considère comme l'un des exemples les plus caractéristiques du genre de non-sens littéraire, et son récit a été énormément influent

de l’équipage de la fée Carabosse et d’une bonne fée. Cette dernière remporte la victoire et ramène la princesse chez ses parents qui lui pardonnent. La princesse épouse le prince qui lui était destiné. - La Chatte Blanche : conte enchâssé dans un autre conte. Ainsi, le conte principal est davantage une nouvelle s’appelant Le nouveau gentilhomme bourgeois. Conte. Dans ce texte, un nouveau bourgeois s’installe en province et se fait construire un château alors que cela est dépassé. Il se fait passer

à Pompée. Il pouvait contenir 30 000 spectateurs. Après lui, beaucoup de personnes ont fait construire des théâtres, ce qui a permis leur expansion. En effet, les Romains avaient peur d’offenser un dieu en construisant un théâtre en l’honneur d’un autre dieu. Il n’en fut érigé que trois dans Rome même. 

L’usage de l’arc permit la construction de théâtres autonomes, alors que les Grecs avaient recours aux pentes naturelles et au flanc des collines pour soutenir les gradins. Le chœur étant devenu insignifiant

4 Elle souffrait sans cesse, se sentant née pour toutes les délicatesses et tous les luxes. Elle souffrait de la pauvreté de son logement, de la misère des murs, de l’usure des sièges, de la laideur des étoffes. Toutes ces choses, dont une autre femme de sa caste ne se serait même pas aperçue, la torturaient et l’indignaient. La vue de la petite Bretonne qui faisait son humble ménage éveillait en elle des regrets désolés et des rêves éperdus. Elle songeait aux antichambres4 muettes, capitonnées

définition générale et complète du sujet que nous allons traiter : les parcs d’attractions. Une définition littérale serait donc, un lieu géographiquement limité où diverses attractions sont proposées. Le terme « attraction » désigne tout à la fois des spectacles, des manèges de type « montagne russes », ou plus généralement toute activité nécessitant une participation physique de la part du visiteur. Ainsi, nous venons de dégager les caractéristiques techniques de notre objet d’étude. Une définition

____________________________________________________________ _____________________ Shakespeare était devenu l’ami et le protégé du jeune comte de Southampton à qui il dédia son premier ouvrage, “Vénus et Adonis” (1593), bientôt suivi d’un autre long poème, “Le viol de Lucrèce” (1594) et de l’admirable et énigmatique recueil des cent cinquante quatre ‘’Sonnets’’, d’une grande intensité pathétique, composés autour d'un seul thème dont ils exploraient successivement toutes les variations, adressés

représentations. Récit fantastique sur la lutte entre Charlemagne et les Sarazins. Episodes annexes qui complètent le récit, dont l’épisode où le prince parvient sur la Lune grâce à des chevaux ailés qui tirent son char. La Lune apparaît comme une autre terre. Francis Godwin, The Man in the Moon, Londres, 1638. Première œuvre anglaise à décrire un voyage interplanétaire. Un noble espagnol se retrouve après un duel exhibé sur une île des Canaris. Il imagine d’apprivoiser des oies sauvages pour les

Le théâtre est donc un lieu de plaisir qui s’attache aux détails qui font en réalité, la réussite de la pièce et suggère un « voyage » au sein du vaste monde qu’est l’imaginaire. Le théâtre relève du domaine de l’imaginaire, parfois même de la féerie. Elle est souvent l’occasion d’obtenir un paradoxe entre une histoire fictive et un décor réaliste (et inversement) qui permet une plus vive imprégnation du spectateur dans la pièce, voir d’une authenticité qui suggère l’expérience vécue et d’un réalisme

noyau de la vision de ce mythe chez Cocteau. Pour ce dernier, Orphée est le poète par excellence, et ce sont ses dons poétiques qui lui ouvrent les portes de l'au-delà. Chez Cocteau, le conception du mythe d'Orphée est fortement empreinte de cet autre souci de devenir poète. La poésie et en même temps l'aspiration à être poète se trouvent effectivement à la base de la conception du mythe d'Orphée chez Cocteau. Tout en fournissant un terrain propice à l'élaboration de sa notion particulière de