Félix Faure

sont très forts , l’Algérie compte sur son territoire million d’européen . Il ne s’agit pas d’un régime protectorat , c’est le régime départemental français . La situation relative au mouvement d’indépendance va se dégrader , dès avril 1955 , Edgar Faure décide d’instaurer l’Etat d’urgence , et à partir la situation ne va cesser de se dégrader , le mouvement ne cessant de croître . Au début de l’année 1956 , Guy Mollet se rend sur place , il est l’objet de manifestation d’hostilité , il avait exprimé

la déportation en Guyane), en 1897 Émile Zola commence à prendre partie pour le capitaine. En 1898 Émile est convaincu de l’innocence de capitaine Dreyfus il publie le 13 janvier une lettre dans un article du quotidien « L’Aurore » au président Félix Faure : J’accuse. La France se divise donc en deux camps : les dreyfusards et les anti-dreyfusards, le ministère de la Guerre intente un procès à Émile Zola, il est condamné à 3000F d’amende et un an de prison pour diffamation et un exil à Londres (18

le poison de l’antisémitisme ». ➢ Le 13 janvier 1898, le surlendemains de l’acquittement d’Esterhazy, Emile Zola publie son plus célèbre article, J’accuse, dans l’Aurore, cette lettre écrit à destination du président de la République (Félix Faure) a un retentissement considérable à la fois en France et dans le monde. Cette appelle au peuple dénonce les truquages du dossier d’accusation de Dreyfus, dénonce une brochette d’officiers généraux et supérieur et de ridiculise le gouvernement dans

mort. Mais Zola n'a pas été que romancier, il a aussi été essayiste comme le prouve le Roman expérimentale (1880) une sorte de manifeste de la doctrine naturaliste en littérature. C'est aussi un écrivain engagé avec « J'accuse », lettre ouverte à Félix Faure, président de la République. Sources Henri MITTERAND, « ZOLA ÉMILE - - (1840-1902) », Encyclopædia Universalis [en ligne], consulté le 11 novembre 2014. URL : http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/emile-zola/ Jean-François PÉPIN, « ZOLA ÉMILE - -

dans L’Aurore, il a à cœur de dénoncer l’une des plus grandes conspirations militaire et gouvernementale contre le capitaine Dreyfus, dont le seul défaut avait été de naître juif. Le romancier dénonce directement le président de la République (Félix Faure) de conspiration, ainsi que différents dirigeants de l’Armée dont il cite les noms. La plume devient donc dès cette époque (la brèche avait été ouverte par Hugo quelques temps plus tôt avec ses textes assassins contre Napoléon III) une arme redoutable

peu plus d’un siècle plus tard, c’est Emile Zola, écrivain déjà célèbre, qui publie un article retentissant « J’accuse… ! », dans le journal L’Aurore du 13 janvier 1898, sous la forme d’une lettre ouverte au président de la République française, Félix Faure. Cela, deux jours après que le commandant Esterházy ait été acquitté à l’unanimité par le Conseil de guerre de l’accusation d’être le véritable auteur de la livraison de documents secrets à l’attaché militaire allemand à Paris. Cette trahison avait

ensuite dans le boulangisme Après une absence politique, l'affaire Dreyfus le relance Il se fait élire député en 1898, il relance la Ligue des patriotes Pour lui la révision passe par un coup de force: tentative de coup d'état aux funérailles de Félix Faure (1899), Déroulède est acquitté, exilé pour 10 ans (il revient en 1905) battus aux élections de 1906, il n'a plus d'influence politique et meurt à la veille de sa Revanche en 1914 =>Il dénonce les faiblesses du régime (amendement Wallon) et veux

> 1939, dernier président : Albert le Brun Président assassiné : Sadi Carnot (par un anarchiste italien), Paul Doumer (années 20-25, par un anarchiste russe). Président qui démissionne : Casimir Perier, Alexandre Millerand, Paul Deschanel Felix Faure : mort pendant mandat. Jules Grévy Grand président : Raymond Poincaré, auteur des systèmes d'alliance 1913 "La politique coloniale est fille de notre politique industrielle" Jules Ferry 1912 : Titanic, rupture, idée que le progrès est aussi

un conseil de guerre après une enquête du Général de Pellieux grâce à des faux d’Henry 13 janvier : Emile Zola s’engage pour défendre Dreyfus. Il publie dans le journal « L’Aurore » un article incendiaire « J’accuse ! Lettre ouverte à Monsieur Félix Faure, Président de la République » dans laquelle il accuse les coupables et les complices de l’Affaire. Premiers affrontements entre dreyfusards et antidreyfusards et attentats antisémites. La France se divise en 2 autour de l’Affaire. Arrestation

un rôle primordial dans une affaire très connue qui se nomme L’affaire Dreyfus: Le 13 janvier 1898, Émile Zola publia dans le journal L’Aurore, fondé par Clemenceau et Vaughan l’année précédente, une lettre ouverte au Président de la République, Félix Faure, dont le titre provocateur, « J’accuse… ! », choisi par Clemenceau, s’étalait en gros caractères sur la page de titre du journal. Dans cette longue et dense plaidoirie, qui occupe les deux premières pages du journal sur six colonnes, Zola rappelle